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Test – Alphalt 7 : Heat (iPhone et iPad)

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Cher Gameloft, Après une dizaine d’années de production, des jeux par paquet de milles, et des succès commerciaux qui n’en finissent plus, te voilà revenu avec…

Cher Gameloft,

Après une dizaine d’années de production, des jeux par paquet de milles, et des succès commerciaux qui n’en finissent plus, te voilà revenu avec ta licence la plus historique, mais aussi la moins évoluée. C’est dire déjà, le niveau d’innovation du titre en question. Asphalt 7 sort donc du garage et espère couper l’herbe sous le pied à Electronic Arts et son Need for Speed : Most Wanted, disponible lui, en novembre prochain. On peut reprocher un manque criant de courage dans le développement du jeu, il n’empêche que cela fonctionne, et que dans les faits, la titre est réussi. Mais alors pourquoi Asphalt 7, et pas Asphalt 6 ?




Asphalt
se résume à de l’adrénaline pure et dure sur route, avec des virages serrés, du boost et des couleurs à vous rendre épileptique ; le crédo de la licence étant d’en mettre encore plus d’épisode en épisode. Ce septième opus ne déroge pas à la règle, de la valeur ajoutée découle de chaque menu : de nouvelles voitures, de nouvelles améliorations, des circuits inédits. Sauf que la base est sensiblement la même, on retrouve le même noyau de voitures et de circuits, si bien qu’on ne voit dans cet Asphalt 7 qu’une mise à jour de l’épisode précédent. La volonté des développeurs de ne pas vouloir, si ce n’est révolutionner, au moins revisiter le gameplay, se retourne contre eux.

Certes, il y a quand même quelques nouveaux modes de jeu qui relancent un peu l’envie, et des graphismes qui s’améliorent dans le détail. Mais après six épisodes de monotonie, et des moyens renforcés au sein des équipes de développement de Gameloft, on était en droit d’espérer autre chose qu’une amélioration partielle. D’autant plus qu’en face, le concurrence est de plus en plus rude. Electronic Arts en s’appuyant sur son rachat de Firemint, les développeurs de la série Real Racing, s’apprête à sortir Need for Speed : Most Wanted qui est une petite bombe de sensations et de graphisme. D’ici là, Asphalt 7 se doit de faire son trou pour espérer s’en sortir. Nul doute que le jeu y arrivera, les sensations sont réussies, et s’appuie sur une longue durée de vie. Dernier très bon argument pour le jeu : Gameloft a revu complètement sa politique économique et vend Asphalt 7 pour 0,79 €. Ainsi, le studio ne succombe pas aux chants de sirènes du freemium, et livre pour moins d’un euro, un jeu complet. Enfin une innovation.

Impossible de vous conseiller Asphalt 7, le titre se contente du minimum, et n’essaye même pas de nous charmer. Une certaine suffisance se dégage du jeu, certain de plaire peu importe s’il est une copie quasiment conforme de son prédécesseur. Et on ne peut pas vraiment contredire ce fait : oui Asphalt 7 est un bon jeu de voiture, qui répond agréablement grâce à de bonnes sensations de vitesse et de trajectoire. Mais sept épisodes plus tard, l’engouement n’est plus là, le sentiment de déjà-vu ne fait que s’accentuer et on finit par s’ennuyer.

Cher Gameloft,

Après une dizaine d’années de production, des jeux par paquet de milles, et des succès commerciaux qui n’en finissent plus, te voilà revenu avec ta licence la plus historique, mais aussi la moins évoluée. C’est dire déjà, le niveau d’innovation du titre en question. Asphalt 7 sort donc du garage et espère couper l’herbe sous le pied à Electronic Arts et son Need for Speed : Most Wanted, disponible lui, en novembre prochain. On peut reprocher un manque criant de courage dans le développement du jeu, il n’empêche que cela fonctionne, et que dans les faits, la titre est réussi. Mais alors pourquoi Asphalt 7, et pas Asphalt 6 ?




Asphalt
se résume à de l’adrénaline pure et dure sur route, avec des virages serrés, du boost et des couleurs à vous rendre épileptique ; le crédo de la licence étant d’en mettre encore plus d’épisode en épisode. Ce septième opus ne déroge pas à la règle, de la valeur ajoutée découle de chaque menu : de nouvelles voitures, de nouvelles améliorations, des circuits inédits. Sauf que la base est sensiblement la même, on retrouve le même noyau de voitures et de circuits, si bien qu’on ne voit dans cet Asphalt 7 qu’une mise à jour de l’épisode précédent. La volonté des développeurs de ne pas vouloir, si ce n’est révolutionner, au moins revisiter le gameplay, se retourne contre eux.

Certes, il y a quand même quelques nouveaux modes de jeu qui relancent un peu l’envie, et des graphismes qui s’améliorent dans le détail. Mais après six épisodes de monotonie, et des moyens renforcés au sein des équipes de développement de Gameloft, on était en droit d’espérer autre chose qu’une amélioration partielle. D’autant plus qu’en face, le concurrence est de plus en plus rude. Electronic Arts en s’appuyant sur son rachat de Firemint, les développeurs de la série Real Racing, s’apprête à sortir Need for Speed : Most Wanted qui est une petite bombe de sensations et de graphisme. D’ici là, Asphalt 7 se doit de faire son trou pour espérer s’en sortir. Nul doute que le jeu y arrivera, les sensations sont réussies, et s’appuie sur une longue durée de vie. Dernier très bon argument pour le jeu : Gameloft a revu complètement sa politique économique et vend Asphalt 7 pour 0,79 €. Ainsi, le studio ne succombe pas aux chants de sirènes du freemium, et livre pour moins d’un euro, un jeu complet. Enfin une innovation.

Impossible de vous conseiller Asphalt 7, le titre se contente du minimum, et n’essaye même pas de nous charmer. Une certaine suffisance se dégage du jeu, certain de plaire peu importe s’il est une copie quasiment conforme de son prédécesseur. Et on ne peut pas vraiment contredire ce fait : oui Asphalt 7 est un bon jeu de voiture, qui répond agréablement grâce à de bonnes sensations de vitesse et de trajectoire. Mais sept épisodes plus tard, l’engouement n’est plus là, le sentiment de déjà-vu ne fait que s’accentuer et on finit par s’ennuyer.

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Notre avis

Peut mieux faire
Note : 6  /  10

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