Véritable surprise de l’année 2011, le premier opus de Payday se présentait comme un FPS coopératif bien nerveux. Cette deuxième édition a bien l’intention d’enfoncer le clou. Découvrez nos impressions sur cette suite solide.
Braquer plus pour gagner plus
Si le premier épisode de Payday faisait office de jeu d’appoint, en ne proposant que six braquages, son succès a permis au studio Overkill de travailler plus en profondeur sur cette suite. Cela se remarque tout de suite dans les graphismes, mais surtout sur le contenu, bien plus important qu’auparavant. Les joueurs sont désormais en contact avec une organisation nommée Crimenet, sorte d’ANPE du truand, qui lui signale les différents casses auxquels il peut participer. Au total, une centaine de missions sera disponibles, ce qui devrait rassasier la majorité des gamers.
Le jeu offre également plus de diversité. Nos quatre voleurs masqués n’effectueront pas uniquement des braquages de banque. Bijouterie de quartier, tableaux dans les musées, paquets de drogues, les butins et les environnements divergent et orientent le jeu vers la méthode forte ou l’infiltration. Le placement des gardes et le déroulement des missions sont aléatoires, ce qui devrait éviter la lassitude après plusieurs tentatives infructueuses.
Vous pourrez aussi remplir des objectifs secondaires, qui permettront d’amasser encore plus d’argent. Ainsi, après avoir volé le collier de luxe que votre employeur réclame, rien ne vous empêche de casser les vitrines et de vous servir dans la bijouterie. À vos risques et périls, car l’IA des policiers a été amélioré, et les forces spéciales se feront un plaisir de vous éliminer. Les parties auxquelles nous avons participé ont majoritairement fini en boucherie. Même à quatre, vous n’êtes jamais invincible. C’est plutôt un bon point.
Ma petite entreprise…
L’argent amassé va vous permettre d’investir dans du matériel plus efficace. Overkill a donc implémenté un système de personnalisation des armes assez poussé. Vous pourrez donc adapter votre équipement à votre manière de jouer. Une tenue de combat vous protègera mieux, mais vous vous déplacerez moins rapidement et aurez l’air plus suspect.
Des bonus de début de partie sont également disponibles. Vous pourrez par exemple vous offrir les plans d’une banque, la désactivation des caméras ou encore un moyen de fuite alternatif. Les quatre classes que vous pouvez incarner (Mastermind, Heavy Guy, Ghost et Technician) disposent d’un arbre de compétence plus qu’étoffé ou vous pourrez dépenser vos points de compétences acquis lors des casses. Le jeu propose également un système de création de masques plutôt réussi. Le tout laisse espérer des heures de jeu en vue du voleur parfait.
Que penser de cette suite ?
Manette en main, le gameplay est toujours aussi instinctif. Les multiples bonus et compétences permettre d’avoir un personnage qui nous ressemble. La jouabilité ne connait pas de bouleversement pour autant. Mais on peut clairement dire que ce n’était pas l’ambition première du studio. Au final, ce Payday 2 est plus une évolution qu’une révolution, mais le premier épisode semble bien maigre en comparaison.
Cela en fera-t-il un fps coopératif de première classe ? En l’absence de nouveau Left 4 Dead, il y a des chances. Il faudra malgré tout un léger temps d’adaptation pour comprendre tous les rouages du jeu. Mais les joueurs qui s’en donneront la peine devraient passer un bon moment sur ce titre, vendu à un tarif plus qu’appréciable.
Payday 2, prévu pour août sur PS3, Xbox 360 (39,99 €) et PC (29 ,99 €).
Braquer plus pour gagner plus
Si le premier épisode de Payday faisait office de jeu d’appoint, en ne proposant que six braquages, son succès a permis au studio Overkill de travailler plus en profondeur sur cette suite. Cela se remarque tout de suite dans les graphismes, mais surtout sur le contenu, bien plus important qu’auparavant. Les joueurs sont désormais en contact avec une organisation nommée Crimenet, sorte d’ANPE du truand, qui lui signale les différents casses auxquels il peut participer. Au total, une centaine de missions sera disponibles, ce qui devrait rassasier la majorité des gamers.
Le jeu offre également plus de diversité. Nos quatre voleurs masqués n’effectueront pas uniquement des braquages de banque. Bijouterie de quartier, tableaux dans les musées, paquets de drogues, les butins et les environnements divergent et orientent le jeu vers la méthode forte ou l’infiltration. Le placement des gardes et le déroulement des missions sont aléatoires, ce qui devrait éviter la lassitude après plusieurs tentatives infructueuses.
Vous pourrez aussi remplir des objectifs secondaires, qui permettront d’amasser encore plus d’argent. Ainsi, après avoir volé le collier de luxe que votre employeur réclame, rien ne vous empêche de casser les vitrines et de vous servir dans la bijouterie. À vos risques et périls, car l’IA des policiers a été amélioré, et les forces spéciales se feront un plaisir de vous éliminer. Les parties auxquelles nous avons participé ont majoritairement fini en boucherie. Même à quatre, vous n’êtes jamais invincible. C’est plutôt un bon point.
Ma petite entreprise…
L’argent amassé va vous permettre d’investir dans du matériel plus efficace. Overkill a donc implémenté un système de personnalisation des armes assez poussé. Vous pourrez donc adapter votre équipement à votre manière de jouer. Une tenue de combat vous protègera mieux, mais vous vous déplacerez moins rapidement et aurez l’air plus suspect.
Des bonus de début de partie sont également disponibles. Vous pourrez par exemple vous offrir les plans d’une banque, la désactivation des caméras ou encore un moyen de fuite alternatif. Les quatre classes que vous pouvez incarner (Mastermind, Heavy Guy, Ghost et Technician) disposent d’un arbre de compétence plus qu’étoffé ou vous pourrez dépenser vos points de compétences acquis lors des casses. Le jeu propose également un système de création de masques plutôt réussi. Le tout laisse espérer des heures de jeu en vue du voleur parfait.
Que penser de cette suite ?
Manette en main, le gameplay est toujours aussi instinctif. Les multiples bonus et compétences permettre d’avoir un personnage qui nous ressemble. La jouabilité ne connait pas de bouleversement pour autant. Mais on peut clairement dire que ce n’était pas l’ambition première du studio. Au final, ce Payday 2 est plus une évolution qu’une révolution, mais le premier épisode semble bien maigre en comparaison.
Cela en fera-t-il un fps coopératif de première classe ? En l’absence de nouveau Left 4 Dead, il y a des chances. Il faudra malgré tout un léger temps d’adaptation pour comprendre tous les rouages du jeu. Mais les joueurs qui s’en donneront la peine devraient passer un bon moment sur ce titre, vendu à un tarif plus qu’appréciable.
Payday 2, prévu pour août sur PS3, Xbox 360 (39,99 €) et PC (29 ,99 €).
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