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[Impressions] Killzone : Mercenary – Les renforts arrivent enfin

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Lors de sa sortie, il y a un an et demi, la PS Vita avait tout pour ravir les amateurs de FPS. Ce ne fut pourtant…

Lors de sa sortie, il y a un an et demi, la PS Vita avait tout pour ravir les amateurs de FPS. Ce ne fut pourtant pas le cas. Mais Killzone : Mercenary risque enfin de changer la donne.

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Taillé pour le combat

76153-killzone-mercenaryAvec ces deux joysticks, un écran OLED (presque) HD et un hardware solide, la portable de Sony avait de quoi faire saliver tous les fans de shooters. Et pourtant… Entre un médiocre Resistance : Burning Skies et un Call of Duty : Declassified honteux, la carrière vidéo ludique de la Vita commençait mal. Il fallait une grosse licence à la rescousse, et le studio Guerilla nous a concocté un titre solide.

Killzone : Mercenary nous montre enfin que la console en a dans le ventre. Les environnements sont bien modélisés, les effets de lumières étonnent et le niveau de détails (armes, ennemies) est vraiment convaincant. Malgré une ou deux chutes de framerate, on n’avait pas vu cela depuis Uncharted : Golden Abyss. Autant dire que ça fait rudement plaisir. Ce n’est évidemment pas aussi fin qu’une PS3, mais l’immersion est totale, si tant est qu’on adhère à l’ambiance. Car il faut bien le dire, le monde de Killzone n’est pas des plus réjouissants.

Bon pied, bon œil

killzonemercenary_screense313_0018On se demandait si la jouabilité serait au point mais ici encore, le soft rassure par sa maîtrise. Les deuxièmes gâchettes, si importantes aux FPS sur consoles, sont habilement remplacées par des icônes sur l’écran tactile. Tout s’enchaine facilement, hormis la commande de sprint qui demande de rester appuyé un petit moment sur la touche rond. Pour une fois, le tactile ne fait pas simplement office de gadget. Notamment dans les attaques de mêlée, qui vous demanderont de faire glisser votre doigt dans une direction en un temps donné afin d’éliminer violemment vos adversaires. Heureusement, vous n’avez pas besoin de le faire en plein milieu de l’écran.

Une idée qui pourrait paraître agaçante, mais qui fonctionne plutôt bien et donne un vrai rythme à l’action. Les combats sont plus dynamiques puisque tirer comme un fou furieux n’est plus la seule alternative pour avancer. Bon, vous allez quand même vider un paquet de chargeurs.

Des ambitions, mais lesquelles ?

killzonemercenary_screense313_0014Notre incertitude réside dans la durée de vie du titre. La mission à laquelle nous avons joué nous a pris une cinquantaine de minutes, dans un niveau de difficulté moyen (et en fouillant un peu). Sachant qu’il y en a neuf en tout, l’ensemble devrait offrir entre 6 à 7 heures de jeu. Le mode multijoueur n’était pas disponible, mais on espère qu’il s’inspire de celui des versions de salon. Un élément important, car la rejouabilité n’a pas l’air d’être un point fort du titre.

Cet épisode se démarque des autres en se permettant des petits ajouts, comme la possibilité d’acheter des équipements (armes, combinaison…) dans les magasins disséminés un peu partout dans les niveaux. En bon mercenaire (eh oui, c’est quand même le nom du jeu), vous pouvez choisir la manière forte ou la furtivité, ce qui influera directement sur vos finances. La recette n’est pas neuve, et l’ensemble bien qu’enthousiasmant, ne révolutionne pas le genre.

Killzone : Mercenary va devenir le meilleur FPS de la Vita pendant un bon moment. Evidemment, l’absence de concurrence joue en sa faveur, mais Guerilla semble avoir pondu un jeu-référence de la portable, qu’il sera bien difficile de détrôner.

Lors de sa sortie, il y a un an et demi, la PS Vita avait tout pour ravir les amateurs de FPS. Ce ne fut pourtant pas le cas. Mais Killzone : Mercenary risque enfin de changer la donne.

killzonemercenary_screense313_0005

Taillé pour le combat

76153-killzone-mercenaryAvec ces deux joysticks, un écran OLED (presque) HD et un hardware solide, la portable de Sony avait de quoi faire saliver tous les fans de shooters. Et pourtant… Entre un médiocre Resistance : Burning Skies et un Call of Duty : Declassified honteux, la carrière vidéo ludique de la Vita commençait mal. Il fallait une grosse licence à la rescousse, et le studio Guerilla nous a concocté un titre solide.

Killzone : Mercenary nous montre enfin que la console en a dans le ventre. Les environnements sont bien modélisés, les effets de lumières étonnent et le niveau de détails (armes, ennemies) est vraiment convaincant. Malgré une ou deux chutes de framerate, on n’avait pas vu cela depuis Uncharted : Golden Abyss. Autant dire que ça fait rudement plaisir. Ce n’est évidemment pas aussi fin qu’une PS3, mais l’immersion est totale, si tant est qu’on adhère à l’ambiance. Car il faut bien le dire, le monde de Killzone n’est pas des plus réjouissants.

Bon pied, bon œil

killzonemercenary_screense313_0018On se demandait si la jouabilité serait au point mais ici encore, le soft rassure par sa maîtrise. Les deuxièmes gâchettes, si importantes aux FPS sur consoles, sont habilement remplacées par des icônes sur l’écran tactile. Tout s’enchaine facilement, hormis la commande de sprint qui demande de rester appuyé un petit moment sur la touche rond. Pour une fois, le tactile ne fait pas simplement office de gadget. Notamment dans les attaques de mêlée, qui vous demanderont de faire glisser votre doigt dans une direction en un temps donné afin d’éliminer violemment vos adversaires. Heureusement, vous n’avez pas besoin de le faire en plein milieu de l’écran.

Une idée qui pourrait paraître agaçante, mais qui fonctionne plutôt bien et donne un vrai rythme à l’action. Les combats sont plus dynamiques puisque tirer comme un fou furieux n’est plus la seule alternative pour avancer. Bon, vous allez quand même vider un paquet de chargeurs.

Des ambitions, mais lesquelles ?

killzonemercenary_screense313_0014Notre incertitude réside dans la durée de vie du titre. La mission à laquelle nous avons joué nous a pris une cinquantaine de minutes, dans un niveau de difficulté moyen (et en fouillant un peu). Sachant qu’il y en a neuf en tout, l’ensemble devrait offrir entre 6 à 7 heures de jeu. Le mode multijoueur n’était pas disponible, mais on espère qu’il s’inspire de celui des versions de salon. Un élément important, car la rejouabilité n’a pas l’air d’être un point fort du titre.

Cet épisode se démarque des autres en se permettant des petits ajouts, comme la possibilité d’acheter des équipements (armes, combinaison…) dans les magasins disséminés un peu partout dans les niveaux. En bon mercenaire (eh oui, c’est quand même le nom du jeu), vous pouvez choisir la manière forte ou la furtivité, ce qui influera directement sur vos finances. La recette n’est pas neuve, et l’ensemble bien qu’enthousiasmant, ne révolutionne pas le genre.

Killzone : Mercenary va devenir le meilleur FPS de la Vita pendant un bon moment. Evidemment, l’absence de concurrence joue en sa faveur, mais Guerilla semble avoir pondu un jeu-référence de la portable, qu’il sera bien difficile de détrôner.

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