Boudée par les puristes qui lui préférent Top Spin, la série Virtua Tennis (Power Smash au pays du soleil levant) n’en reste pas moins une valeur sûre pour les amoureux du genre -trop souvent mis de côté- du jeu de sport sentant bon l’arcade. Son 4ème épisode est d’ailleurs en cours d’adaptation sur PS Vita (console qui pourrait d’ailleurs se trouver au pied du sapin des amateurs d’import, mais refermons là la parenthèse). Nous avons eu l’occasion de le découvrir il y a quelques jours de cela…
Au l’ouest, rien de nouveau ?
S’il ne devrait pas faire partie de ces jeux qui transpirent l’originalité, Virtua Tennis 4 : WTE dans sa mouture PS Vita (prévue pour débouler le 17 décembre au Japon) semble tout de même bien parti pour nous donner une rapide idée de la puissance de la console portable sur laquelle il a décidé de s’inviter. Reprenant les bases de sa version débarquée sur les consoles de salon il y a quelques temps, il assume une fois de plus son penchant arcade, et balaie d’un revers de main toute notion de simulation. Pas de réalisme, hein : de simulation. Sans s’étaler sur les mécanismes du jeu qu’on réservera à la version finale (aux antipodes d’un Top Spin, puisque basées sur des coups lâchés après un temps de charge plus ou moins long : on aime ou on aime pas), il est à noter que la prise en main de ce dernier sur PS Vita est un régal, en grande partie grâce à l’ergonomie générale de la console, qui a réussi l’exploit d’intégrer intelligemment des sticks analogiques certes assez petits, mais maniables. Résultat : aucun problème pour déplacer son joueur, ni pour balancer des missiles dans les couloirs. Efficace. Par contre il est difficile, pour ne pas dire impossible, d’en dire autant sur cette idée (saugrenue ?) des développeurs qui nous permettent de jouer au jeu en mêlant les stick analogiques et l’écran tactile. Dans la pratique, le tout se révèle assez imprécis, tout en n’autorisant jamais la réactivité nécessaire dans un match digne de ce nom. Anecdotique, voir même dangereux, dans le sens où vous serez en plus amené à tenir votre console à une main. Et oui…
Un soin graphique évident
N’allez pas croire que c’est là la seule nouveauté apportée par cette version. Virtua Tennis 4 : WTE intègre également une nouvelle vue de style FPS, amusante, mais là encore trop imprécise pour être adoptée sur le long terme et cela même si elle permet à l’accéléromètre de la console de diriger le regard de votre joueur. Citons aussi l’existence de ce mode de jeu, qui utilise la caméra de la PS Vita pour intégrer dans un décor réel les sprites de vos joueurs favoris afin de générer des clichés que vous allez pouvoir publier sur, je ne sais pas, vos réseaux sociaux favoris par exemple. Bref, on nage dans les fonctions gadgets mais assumées. Pour tout vous dire, la seule véritable nouveauté de cette mouture m’ayant paru intéressante est ce mode VS, sorte de Pong 2.0, où vous allez pouvoir disputer un match contre un second joueur humain, en usant de l’écran tactile. J’explique : arborant une vue du dessus, le jeu reproduit l’intégralité du court sur l’écran tactile de la console. A vous ensuite de balayer des mouvements à l’aide de votre doigt sur votre moitié d’écran pour déplacer votre joueur et lui permettre d’amorcer la batterie de coups dont il dispose. Divertissant. Alors voilà, le soft de SEGA ne devrait pas, sauf surprise de dernière minute, faire partie de ces jeux PS Vita inoubliables. Par contre, avec sa partie graphique relativement impressionnante, ses mécanismes de jeu rodés et sa durée de vie conséquente (ne serait-ce que grâce à son mode Carrière et ses possibilités de jeu en ligne), il pourrait tout à fait convenir aux gamers à la recherche d’un bon jeu de sport, aussi arcade soit-il. A confirmer !
Au l’ouest, rien de nouveau ?
S’il ne devrait pas faire partie de ces jeux qui transpirent l’originalité, Virtua Tennis 4 : WTE dans sa mouture PS Vita (prévue pour débouler le 17 décembre au Japon) semble tout de même bien parti pour nous donner une rapide idée de la puissance de la console portable sur laquelle il a décidé de s’inviter. Reprenant les bases de sa version débarquée sur les consoles de salon il y a quelques temps, il assume une fois de plus son penchant arcade, et balaie d’un revers de main toute notion de simulation. Pas de réalisme, hein : de simulation. Sans s’étaler sur les mécanismes du jeu qu’on réservera à la version finale (aux antipodes d’un Top Spin, puisque basées sur des coups lâchés après un temps de charge plus ou moins long : on aime ou on aime pas), il est à noter que la prise en main de ce dernier sur PS Vita est un régal, en grande partie grâce à l’ergonomie générale de la console, qui a réussi l’exploit d’intégrer intelligemment des sticks analogiques certes assez petits, mais maniables. Résultat : aucun problème pour déplacer son joueur, ni pour balancer des missiles dans les couloirs. Efficace. Par contre il est difficile, pour ne pas dire impossible, d’en dire autant sur cette idée (saugrenue ?) des développeurs qui nous permettent de jouer au jeu en mêlant les stick analogiques et l’écran tactile. Dans la pratique, le tout se révèle assez imprécis, tout en n’autorisant jamais la réactivité nécessaire dans un match digne de ce nom. Anecdotique, voir même dangereux, dans le sens où vous serez en plus amené à tenir votre console à une main. Et oui…
Un soin graphique évident
N’allez pas croire que c’est là la seule nouveauté apportée par cette version. Virtua Tennis 4 : WTE intègre également une nouvelle vue de style FPS, amusante, mais là encore trop imprécise pour être adoptée sur le long terme et cela même si elle permet à l’accéléromètre de la console de diriger le regard de votre joueur. Citons aussi l’existence de ce mode de jeu, qui utilise la caméra de la PS Vita pour intégrer dans un décor réel les sprites de vos joueurs favoris afin de générer des clichés que vous allez pouvoir publier sur, je ne sais pas, vos réseaux sociaux favoris par exemple. Bref, on nage dans les fonctions gadgets mais assumées. Pour tout vous dire, la seule véritable nouveauté de cette mouture m’ayant paru intéressante est ce mode VS, sorte de Pong 2.0, où vous allez pouvoir disputer un match contre un second joueur humain, en usant de l’écran tactile. J’explique : arborant une vue du dessus, le jeu reproduit l’intégralité du court sur l’écran tactile de la console. A vous ensuite de balayer des mouvements à l’aide de votre doigt sur votre moitié d’écran pour déplacer votre joueur et lui permettre d’amorcer la batterie de coups dont il dispose. Divertissant. Alors voilà, le soft de SEGA ne devrait pas, sauf surprise de dernière minute, faire partie de ces jeux PS Vita inoubliables. Par contre, avec sa partie graphique relativement impressionnante, ses mécanismes de jeu rodés et sa durée de vie conséquente (ne serait-ce que grâce à son mode Carrière et ses possibilités de jeu en ligne), il pourrait tout à fait convenir aux gamers à la recherche d’un bon jeu de sport, aussi arcade soit-il. A confirmer !
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