Les craquements de doigts des plus grosses masses de muscles vous ont manqué ? Ils sont de retour pour vous après une absence d’un an et demi ! UFC Undisputed 3 revient avec des arguments, tous plus frappants les uns que les autres, tout en mettant en avant quelques nouveautés. Est-ce que ce nouveau mastodonte blindé de testostérone est aussi fiable qu’il en a l’air ?
The eye of the player
Si le nouveau UFC se veut ultra-réaliste, le jeu a réussi à surmonter son challenge à travers différents points. À commencer par l’entrée sur le ring, qui est enfin devenue la vraie sacralisation reflétée à la télévision. Les entrées ne sont pas toujours bluffantes, mais elles parviennent à faire bouillir notre sang pour nous préparer à l’attaque ! Les vrais fans de l’UFC apprécieront forcément cette nouveauté qui retranscrit parfaitement le show à l’américaine. Encore plus fort : entre les rounds, votre coach ne sert pas qu’à vous encourager. Il vous donne des conseils comme “il y a beaucoup d’opportunités dans ce match : attend la bonne occasion pour placer un coup”. De plus, les commentaires en version anglaise sont assurés par les commentateurs officiels du sport : de quoi régaler les connaisseurs. Des petites choses qui peuvent paraître insignifiantes pour certains gamers, mais qui sont très appréciables pour d’autres, puisqu’elles permettent une totale immersion dans la folle ambiance de l’octogone. Toujours au niveau des nouveautés, on compte à présent près de 150 figures emblématiques du sport à incarner. Il s’agit encore et toujours d’un vrai bonheur pour les fans de la discipline, mais il faut bien l’avouer, quand on est un bon joueur, on ne peut pas cracher sur un large choix de personnages ! Mais ce n’est pas tout, le versus pur intègre désormais sept catégories de poids, ainsi qu’un mode miroir qui permet de faire s’affronter deux combattants égaux en tout point (enfin… on parle de biscotos, hein ?).
L’intensité des combats est également bien reflétée sur le ring virtuel grâce à un gameplay juste qui met sous pression. Les coups sont précis, et les enchaînements plutôt fluides. Une alchimie agréable dans l’ensemble, et assez proche de celle présente dans UFC Undisputed 2. À deux détails près : le nouveau système de soumission, et les nouveaux coups dans le mode Pride. Lorsque vos deux masses musculaires ambulantes se retrouveront couchés sur le ring, vous verrez apparaître un octogone sur le lequel pour pourrez déplacer, chacun, votre curseur. Le système reprend le jeu du chat et de la souris, puisque le soumis doit tout faire pour éviter de croiser le curseur de son adversaire. Si cette nouvelle mécanique ne séduira pas tout le monde, elle a au moins le mérite d’être innovante et de rendre le combat plus stressant. Concernant le mode Pride, il s’agit, à mon sens, d’un argument vendeur pour les fans car, hormis certains coups non-autorisés en UFC, on retrouve autant de pression. Et j’entends déjà d’ici des gameurs rochonner… Mais ces mécontents pourront toujours se rabattre sur les nouveaux coups surtout présents lorsque les deux combattants sont à terre : les coups de pieds facials et les coups de genoux sont désormais possibles, bien qu’ils ne soient pas forcément tolérés dans la réalité.
Un beau bébé
Bien au-dessus de cette volonté d’apporter des nouveautés au jeu, il est clair que la réalisation UFC 3 est totalement aboutie. Les lieux sont extrêmement bien animés, vous pourrez, d’ailleurs, noter la présence de caméramans et autres photographes qui scrutent la scène. On sent que chaque détail a été minutieusement pensé, comme la sueur qui coule, ou encore le sang qui jaillit des coups pour finir en tâches sur le ring. Au niveau des graphismes, les textures sont tout simplement sublimes, et on ne perd pas une miette d’abdo. Du côté des caméras, elles sont extrêmement réactives et suivent le moindre mouvements des joueurs. Une dynamique qui retranscris, encore une fois, à merveille l’esprit des retransmissions télévisées et qui renforce le stress éprouvé sur le terrain. Les plans rapprochés mêlés aux travellings donnent une bouffée d’adrénaline incontestable. Ajoutez à cela la foule en délire en fond sonore, et vous pourrez affirmer que vous connaissez la pression sur le ring ! Détail plaisant (mais anecdotique) : les musiques des différents menus, vous retrouverez des thèmes avec des guitares électriques à pleine disto qui donne vraiment la patate. Mais si THQ se montre minutieux sur tous les aspects graphiques et sonores, le jeu a clairement joué la carte de la perfection en se concentrant également sur l’animation, et ça se sent ! Les coups paraissent vraiment réels avec des impacts proches de la réalité. Wanderlei, que vous pourrez incarner dans le jeu (et que nous avons d’ailleurs rencontré pour l’occasion) a affirmé de son côté que l’équipe de développeurs avait scanné son corps, et lui avait demandé de reproduire certains mouvements qui ont été, ensuite, enregistrés et adaptés au jeu. De la motion capture classique, certes.
Concrètement, UFC 3 Undisputed s’annonce comme un soft sportif de haute volée.. Le jeu n’a pas hésité à introduire une nouvelle mécanique avec un système incongru (soumission), ainsi que le tant attendu mode Pride, et enfin, il est allé encore plus loin dans les possibilités de coups. Ces quelques nouveautés risquent de ne pas suffire pour certains joueurs, mais il faut tout de même avouer qu’il y a peu de choses à lui reprocher en tant que jeu de free fight. Bon par contre, si le free fight et vous, ça fait deux, il est évident que le soft, aussi bien réalisé soit-il, verra son intérêt descendre en flèche. Inutile de se mentir, il s’agit là d’un jeu de niche. Extrêmement bien réalisé, mais très ciblé également…
The eye of the player
Si le nouveau UFC se veut ultra-réaliste, le jeu a réussi à surmonter son challenge à travers différents points. À commencer par l’entrée sur le ring, qui est enfin devenue la vraie sacralisation reflétée à la télévision. Les entrées ne sont pas toujours bluffantes, mais elles parviennent à faire bouillir notre sang pour nous préparer à l’attaque ! Les vrais fans de l’UFC apprécieront forcément cette nouveauté qui retranscrit parfaitement le show à l’américaine. Encore plus fort : entre les rounds, votre coach ne sert pas qu’à vous encourager. Il vous donne des conseils comme “il y a beaucoup d’opportunités dans ce match : attend la bonne occasion pour placer un coup”. De plus, les commentaires en version anglaise sont assurés par les commentateurs officiels du sport : de quoi régaler les connaisseurs. Des petites choses qui peuvent paraître insignifiantes pour certains gamers, mais qui sont très appréciables pour d’autres, puisqu’elles permettent une totale immersion dans la folle ambiance de l’octogone. Toujours au niveau des nouveautés, on compte à présent près de 150 figures emblématiques du sport à incarner. Il s’agit encore et toujours d’un vrai bonheur pour les fans de la discipline, mais il faut bien l’avouer, quand on est un bon joueur, on ne peut pas cracher sur un large choix de personnages ! Mais ce n’est pas tout, le versus pur intègre désormais sept catégories de poids, ainsi qu’un mode miroir qui permet de faire s’affronter deux combattants égaux en tout point (enfin… on parle de biscotos, hein ?).
L’intensité des combats est également bien reflétée sur le ring virtuel grâce à un gameplay juste qui met sous pression. Les coups sont précis, et les enchaînements plutôt fluides. Une alchimie agréable dans l’ensemble, et assez proche de celle présente dans UFC Undisputed 2. À deux détails près : le nouveau système de soumission, et les nouveaux coups dans le mode Pride. Lorsque vos deux masses musculaires ambulantes se retrouveront couchés sur le ring, vous verrez apparaître un octogone sur le lequel pour pourrez déplacer, chacun, votre curseur. Le système reprend le jeu du chat et de la souris, puisque le soumis doit tout faire pour éviter de croiser le curseur de son adversaire. Si cette nouvelle mécanique ne séduira pas tout le monde, elle a au moins le mérite d’être innovante et de rendre le combat plus stressant. Concernant le mode Pride, il s’agit, à mon sens, d’un argument vendeur pour les fans car, hormis certains coups non-autorisés en UFC, on retrouve autant de pression. Et j’entends déjà d’ici des gameurs rochonner… Mais ces mécontents pourront toujours se rabattre sur les nouveaux coups surtout présents lorsque les deux combattants sont à terre : les coups de pieds facials et les coups de genoux sont désormais possibles, bien qu’ils ne soient pas forcément tolérés dans la réalité.
Un beau bébé
Bien au-dessus de cette volonté d’apporter des nouveautés au jeu, il est clair que la réalisation UFC 3 est totalement aboutie. Les lieux sont extrêmement bien animés, vous pourrez, d’ailleurs, noter la présence de caméramans et autres photographes qui scrutent la scène. On sent que chaque détail a été minutieusement pensé, comme la sueur qui coule, ou encore le sang qui jaillit des coups pour finir en tâches sur le ring. Au niveau des graphismes, les textures sont tout simplement sublimes, et on ne perd pas une miette d’abdo. Du côté des caméras, elles sont extrêmement réactives et suivent le moindre mouvements des joueurs. Une dynamique qui retranscris, encore une fois, à merveille l’esprit des retransmissions télévisées et qui renforce le stress éprouvé sur le terrain. Les plans rapprochés mêlés aux travellings donnent une bouffée d’adrénaline incontestable. Ajoutez à cela la foule en délire en fond sonore, et vous pourrez affirmer que vous connaissez la pression sur le ring ! Détail plaisant (mais anecdotique) : les musiques des différents menus, vous retrouverez des thèmes avec des guitares électriques à pleine disto qui donne vraiment la patate. Mais si THQ se montre minutieux sur tous les aspects graphiques et sonores, le jeu a clairement joué la carte de la perfection en se concentrant également sur l’animation, et ça se sent ! Les coups paraissent vraiment réels avec des impacts proches de la réalité. Wanderlei, que vous pourrez incarner dans le jeu (et que nous avons d’ailleurs rencontré pour l’occasion) a affirmé de son côté que l’équipe de développeurs avait scanné son corps, et lui avait demandé de reproduire certains mouvements qui ont été, ensuite, enregistrés et adaptés au jeu. De la motion capture classique, certes.
Concrètement, UFC 3 Undisputed s’annonce comme un soft sportif de haute volée.. Le jeu n’a pas hésité à introduire une nouvelle mécanique avec un système incongru (soumission), ainsi que le tant attendu mode Pride, et enfin, il est allé encore plus loin dans les possibilités de coups. Ces quelques nouveautés risquent de ne pas suffire pour certains joueurs, mais il faut tout de même avouer qu’il y a peu de choses à lui reprocher en tant que jeu de free fight. Bon par contre, si le free fight et vous, ça fait deux, il est évident que le soft, aussi bien réalisé soit-il, verra son intérêt descendre en flèche. Inutile de se mentir, il s’agit là d’un jeu de niche. Extrêmement bien réalisé, mais très ciblé également…
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