Ubisoft joue le jeu de la PS Vita, et nous proposera 5 softs pour accompagner le lancement de la console dans l’hexagone le 22 février prochain. Parmi ces jeux, on retrouvera le très prometteur Lumines : Electronic Symphony, qui, comme ses prédécesseurs, a été développé par l’équipe de Q Entertainment.
Rebelote : après s’est auto-proclamée porte-étendard de la PSP en 2004, la saga Lumines a décidé de s’inviter sur PS Vita, à travers un tout nouvel épisode nommé Lumines : Electronic Symphony. Inutile d’espérer des changements en profondeur, cet opus conservera les bases efficaces de la série en vous confrontant à un espace confiné qui viendra peu à peu se remplir par de cases 4×4. Le but du jeu est simple : pour faire disparaître ces blocs, il vous faudra les coller par couleurs, pour qu’ils forment des groupes de 4, au minimum. Ceux ayant déjà expérimenté un épisode de la licence le savent déjà : une fois lancé dans une partie, difficile d’en décrocher, tant Q Entertainment est réputé pour ne jamais badiner avec la notion de challenge. Et cette fois encore, la tâche devrait être ardue. Mais voilà, Lumines : Electronic Symphony semble plus carré dans sa construction. Déjà, il se base sur un système d’avatars, qu’il sera possible de débloquer au fur et à mesure de sa progression, et qui viendront faciliter votre expérience de jeu. Par exemple, vous pourrez choisir un avatar qui vous autorisera à augmenter le temps d’attente des blocs suivants dans le mode solo, et qui sera utile pour changer l’un des blocs de votre adversaire dans le mode multi. Et oui, vous avez bien lu : Lumines : Electronic Symphony embarque également un mode multi, Ad-Hoc (local) et en ligne. Si nous n’avons malheureusement pas pu tester ces modes, on s’imagine déjà jouir d’une sorte d’équivalent diabolique aux modes online des Tetris et compagnie, qui devrait nous tenir en haleine un bon moment. Et comme je vous le disais quelques lignes plus tôt, l’arrivée des avatars, offrant des alternatives de gameplay intéressantes, devrait permettre de bien belles batailles, arborant un côté technique plaisant. Dernier point : une alternative au jeu en ligne jouera sur le côté communautaire, et vous proposera d’unir vos forces avec les autres joueurs pour débloquer des récompenses. Par exemple (je donne un exemple hein, seulement pour vous donner une idée !), lorsque la communauté aura fait disparaître un certain nombre de blocs, un bonus sera offert.
Mais le multijoueur ne sera pas le seul mode de jeu capable d’offrir un peu de renouveau. Il sera accompagné d’un mode Expert ne laissant pas le droit à l’erreur (rapide, cruel, alternant les thèmes visuels toutes les 2 minutes pour mieux déstabiliser !), ainsi que d’un mode Contre la Montre. Concrètement, les amoureux des Succès devraient en avoir pour leur argent, tant la tâche s’annonce fournie. Bon par contre, PS Vita oblige, Q Entertainment s’est senti obligé d’implanter un mode de contrôle tactile, où les blocs pourront être déplacés au doigt. Inutile de tourner autour du pot : l’initiative a beau être louable, elle n’apporte rien : Lumines se démarque par un gameplay réactif, où les décisions doivent être prises très rapidement. La moindre erreur, le moindre bloc mal placé, et vous vous retrouvez avec une aire de jeu polluée qui, si elle n’est pas rapidement rétablie, vous entraînera très rapidement vers le Game Over. Cerise sur le gâteau : pour la toute première fois, Q Entertainment s’est décidé à offrir à sa production une bande-son compilant des morceaux issus des discographies des pontes de l’electro. Inutile d’insister, nous n’avons pas le droit de vous en dire plus. Une chose est sûre : Takayuki Nakamura n’a pas eu le droit de toucher à la partie sonore, pour une fois… Vous l’aurez compris : Lumines : Electronic Symphony s’annonce comme le futur mètre-étalon des puzzle-games sur PS Vita. On vous en reparle rapidement…
Rebelote : après s’est auto-proclamée porte-étendard de la PSP en 2004, la saga Lumines a décidé de s’inviter sur PS Vita, à travers un tout nouvel épisode nommé Lumines : Electronic Symphony. Inutile d’espérer des changements en profondeur, cet opus conservera les bases efficaces de la série en vous confrontant à un espace confiné qui viendra peu à peu se remplir par de cases 4×4. Le but du jeu est simple : pour faire disparaître ces blocs, il vous faudra les coller par couleurs, pour qu’ils forment des groupes de 4, au minimum. Ceux ayant déjà expérimenté un épisode de la licence le savent déjà : une fois lancé dans une partie, difficile d’en décrocher, tant Q Entertainment est réputé pour ne jamais badiner avec la notion de challenge. Et cette fois encore, la tâche devrait être ardue. Mais voilà, Lumines : Electronic Symphony semble plus carré dans sa construction. Déjà, il se base sur un système d’avatars, qu’il sera possible de débloquer au fur et à mesure de sa progression, et qui viendront faciliter votre expérience de jeu. Par exemple, vous pourrez choisir un avatar qui vous autorisera à augmenter le temps d’attente des blocs suivants dans le mode solo, et qui sera utile pour changer l’un des blocs de votre adversaire dans le mode multi. Et oui, vous avez bien lu : Lumines : Electronic Symphony embarque également un mode multi, Ad-Hoc (local) et en ligne. Si nous n’avons malheureusement pas pu tester ces modes, on s’imagine déjà jouir d’une sorte d’équivalent diabolique aux modes online des Tetris et compagnie, qui devrait nous tenir en haleine un bon moment. Et comme je vous le disais quelques lignes plus tôt, l’arrivée des avatars, offrant des alternatives de gameplay intéressantes, devrait permettre de bien belles batailles, arborant un côté technique plaisant. Dernier point : une alternative au jeu en ligne jouera sur le côté communautaire, et vous proposera d’unir vos forces avec les autres joueurs pour débloquer des récompenses. Par exemple (je donne un exemple hein, seulement pour vous donner une idée !), lorsque la communauté aura fait disparaître un certain nombre de blocs, un bonus sera offert.
Mais le multijoueur ne sera pas le seul mode de jeu capable d’offrir un peu de renouveau. Il sera accompagné d’un mode Expert ne laissant pas le droit à l’erreur (rapide, cruel, alternant les thèmes visuels toutes les 2 minutes pour mieux déstabiliser !), ainsi que d’un mode Contre la Montre. Concrètement, les amoureux des Succès devraient en avoir pour leur argent, tant la tâche s’annonce fournie. Bon par contre, PS Vita oblige, Q Entertainment s’est senti obligé d’implanter un mode de contrôle tactile, où les blocs pourront être déplacés au doigt. Inutile de tourner autour du pot : l’initiative a beau être louable, elle n’apporte rien : Lumines se démarque par un gameplay réactif, où les décisions doivent être prises très rapidement. La moindre erreur, le moindre bloc mal placé, et vous vous retrouvez avec une aire de jeu polluée qui, si elle n’est pas rapidement rétablie, vous entraînera très rapidement vers le Game Over. Cerise sur le gâteau : pour la toute première fois, Q Entertainment s’est décidé à offrir à sa production une bande-son compilant des morceaux issus des discographies des pontes de l’electro. Inutile d’insister, nous n’avons pas le droit de vous en dire plus. Une chose est sûre : Takayuki Nakamura n’a pas eu le droit de toucher à la partie sonore, pour une fois… Vous l’aurez compris : Lumines : Electronic Symphony s’annonce comme le futur mètre-étalon des puzzle-games sur PS Vita. On vous en reparle rapidement…
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