Voler, c’est mal, et notre ami Charles Deckard va l’apprendre à ses dépends… Voleur professionnel, le héros de Legendary the Box, prochain titre de Spark Unlimited, aurait dû y réfléchir à deux fois avant d’accepter d’aller dérober la boîte de Pandore gardée secrètement dans les tréfonds d’un musée New Yorkais, renfermant un concentré de grosses vilaines créatures mythologiques et maléfiques…
Nous avons ainsi pu essayer de survivre aux conséquences des bêtises de cet Arsène Lupin de pacotille, sur le premier niveau de la version Xbox 360 du titre. Le jeu nous propose ainsi de débuter l’aventure en s’échappant du musée. Premier constat : le héros dispose d’une sacrée tronche de looser. Aucun charisme ne transpire des traits de Charles Deckard. Dommage, les autres PNJ rencontrés dans le musée lors de notre cavalcade ont semblé souffrir des mêmes maux…
Autant être honnête tout de suite, ce Legendary ne semble pas très ambitieux. Sa prise en main est des plus classique et ne propose rien de vraiment original, malgré l’intégration de quelques pouvoirs sensés diversifier un peu votre façon de jouer. De plus, le titre déçoit rapidement sur de nombreux points. Disposant de graphismes peu attrayants et parfois douteux (on ne peut qu’esquisser un sourire devant la modélisation des blessés, recouverts d’une surréaliste confiture rouge luisante sensée représenter le sang…), de textures d’une laideur déconcertante et d’une absence totale d’interaction avec le décor, Legendary ne semble vraiment pas à même de faire face à la concurrence. A cela s’ajoute une progression ultra scriptée, très répétitive (vas y que je te pirate un digicode, puis le suivant) et bien trop simple (on est rapidement harcelé par des espèces de chiens fait de roche en fusion mais que l’on élimine en quelques balles…).
Un mal pour un bien en fait, puisque l’omniprésence de ces scripts assure tout de même un certain rythme, grâce à des cut-scènes impressionnantes, se déclenchant sans qu’on s’y attende : bâtiments qui s’effondrent, voitures qui s’envolent, personnages enlevés et dévorés par des griffons gigantesques. Classique, mais pour le coup efficace… De la même façon, les premières rencontres avec les créatures mythologiques sont jouissives. Imaginez un golem de plus de 100 mètres de haut se formant à partir des restes de carcasses de véhicules reposant dans les rues !
Au final, même si Legendary ne semble pas en mesure de concurrencer les ténors du genre, il faut bien reconnaitre qu’il dispose, malgré ses défauts, d’un petit côté exotique avec son action omniprésente et ses créatures mythologiques à la pelle. Jeu à réserver lors des mois de disette vidéoludique ou achat neuf conseillé ? Attendons la version définitive prévue pour le 31 octobre pour se faire un avis plus tranché.
(Article une fois de plus rédigé par Yannick)
Nous avons ainsi pu essayer de survivre aux conséquences des bêtises de cet Arsène Lupin de pacotille, sur le premier niveau de la version Xbox 360 du titre. Le jeu nous propose ainsi de débuter l’aventure en s’échappant du musée. Premier constat : le héros dispose d’une sacrée tronche de looser. Aucun charisme ne transpire des traits de Charles Deckard. Dommage, les autres PNJ rencontrés dans le musée lors de notre cavalcade ont semblé souffrir des mêmes maux…
Autant être honnête tout de suite, ce Legendary ne semble pas très ambitieux. Sa prise en main est des plus classique et ne propose rien de vraiment original, malgré l’intégration de quelques pouvoirs sensés diversifier un peu votre façon de jouer. De plus, le titre déçoit rapidement sur de nombreux points. Disposant de graphismes peu attrayants et parfois douteux (on ne peut qu’esquisser un sourire devant la modélisation des blessés, recouverts d’une surréaliste confiture rouge luisante sensée représenter le sang…), de textures d’une laideur déconcertante et d’une absence totale d’interaction avec le décor, Legendary ne semble vraiment pas à même de faire face à la concurrence. A cela s’ajoute une progression ultra scriptée, très répétitive (vas y que je te pirate un digicode, puis le suivant) et bien trop simple (on est rapidement harcelé par des espèces de chiens fait de roche en fusion mais que l’on élimine en quelques balles…).
Un mal pour un bien en fait, puisque l’omniprésence de ces scripts assure tout de même un certain rythme, grâce à des cut-scènes impressionnantes, se déclenchant sans qu’on s’y attende : bâtiments qui s’effondrent, voitures qui s’envolent, personnages enlevés et dévorés par des griffons gigantesques. Classique, mais pour le coup efficace… De la même façon, les premières rencontres avec les créatures mythologiques sont jouissives. Imaginez un golem de plus de 100 mètres de haut se formant à partir des restes de carcasses de véhicules reposant dans les rues !
Au final, même si Legendary ne semble pas en mesure de concurrencer les ténors du genre, il faut bien reconnaitre qu’il dispose, malgré ses défauts, d’un petit côté exotique avec son action omniprésente et ses créatures mythologiques à la pelle. Jeu à réserver lors des mois de disette vidéoludique ou achat neuf conseillé ? Attendons la version définitive prévue pour le 31 octobre pour se faire un avis plus tranché.
(Article une fois de plus rédigé par Yannick)
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