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Impressions : Killzone 3

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En attendant le 23 février 2011, date de sortie de Killzone 3 dans l’hexagone, nous avons eu l’occasion de recevoir une version preview du jeu, trop…

En attendant le 23 février 2011, date de sortie de Killzone 3 dans l’hexagone, nous avons eu l’occasion de recevoir une version preview du jeu, trop courte, évidemment, mais qui nous permet déjà d’entrevoir les tendances posées par ce 3ème volet. N’allez pas me parler d’une quelconque révolution, elle n’aura pas lieu avec ce 3ème volet. Mais…

killzone-3-playstation-3-ps3-029

Inutile de tourner autour du pot des heures durant : il est d ‘ores et déjà évident que ce Killzone 3 ne révolutionnera pas le genre du FPS. Parce que d’une part, il se permet de reprendre une grande partie du squelette de son prédécesseur direct, et que d’autre part, sa compatibilité avec le PS Move et la 3D ont beau être appréciables, elles ne seront au final adaptées que par un nombre très restreint de joueurs. Même si, de notre côté, et ça pourrait semble déroutant au premier abord, nous ne pourrons que vous pousser à tester la prise en main au PS Move, très agréable. Même s’il est évident que votre degré de réactivité le périphérique en main ne sera pas des plus optimales, c’est une évidence… Bref, focalisons nous directement sur cette version preview, à la plastique irréprochable (malgré quelques baisses de frame-rate ici et là…) qui nous permet de découvrir le premier “niveau” du jeu. Pour faire simple : les mécanismes de jeu ont beau avoir été empruntées à Killzone 2, il apparaît une fois de plus que Guerilla Games dispose d’un don certain pour ce qui est de la mise en scène. A peine débarqué dans le jeu, on se retrouve dans une fusillade qui pourrait sembler interminable, face à des helgasts aux aguets, qui n’hésitent à la fois pas à utiliser des snipers, des amateurs du fusils à pompe, tout autant que des mitrailleurs bougrement précis pour espérer vous coller vous et vos collègues à terre. Si le jeu semble embrasser un scénario dans le fond assez bourrin, porté par une équipe de “gentils” n’hésitant pas à lâcher des “fils de flûte” et autres “fuck yeah !” (ben oui) à chaque fin de phrase, une chose est sûre : les diverses phases de jeu s’enchaînent sans le moindre temps mort, et on se retrouve à chaque fois (du moins dans le niveau en question) dans des situations épiques, qui ne nous placent jamais dans la situation déjà vue 1000 fois du “je planque, je shoot, j’avance, ect.” Bien au contraire, vous devrez constamment vous déplacer, prendre en compte les menaces arrivant de chaque côté, et tenter d’utiliser du mieux que possible de l’arsenal déjà conséquent mis à votre disposition. Alors évidemment, une fois la première demi-heure de jeu passée, alors qu’on allait enfin entrer dans le feu de l’action, on en arrive à voir le jeu revenir au menu, on enrage. Alors on retente une seconde fois l’aventure si je puis dire, en faisant monter d’un cran la difficulté. Mais rien à faire, l’envie d’en voir plus demeure, et on se met déjà à penser que si le jeu ne devrait pas permettre au genre du FPS de s’ouvrir à de nouveaux horizons, il devrait par contre en utiliser efficacement toutes les facettes pour nous offrir une aventure bien menée. Reste qu’on devra tout de même attendre la sortie du jeu pour se faire une idée précise du multi, que nous n’avons à l’heure actuelle pas encore eu l’occasion de voir tourner…

En attendant le 23 février 2011, date de sortie de Killzone 3 dans l’hexagone, nous avons eu l’occasion de recevoir une version preview du jeu, trop courte, évidemment, mais qui nous permet déjà d’entrevoir les tendances posées par ce 3ème volet. N’allez pas me parler d’une quelconque révolution, elle n’aura pas lieu avec ce 3ème volet. Mais…

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Inutile de tourner autour du pot des heures durant : il est d ‘ores et déjà évident que ce Killzone 3 ne révolutionnera pas le genre du FPS. Parce que d’une part, il se permet de reprendre une grande partie du squelette de son prédécesseur direct, et que d’autre part, sa compatibilité avec le PS Move et la 3D ont beau être appréciables, elles ne seront au final adaptées que par un nombre très restreint de joueurs. Même si, de notre côté, et ça pourrait semble déroutant au premier abord, nous ne pourrons que vous pousser à tester la prise en main au PS Move, très agréable. Même s’il est évident que votre degré de réactivité le périphérique en main ne sera pas des plus optimales, c’est une évidence… Bref, focalisons nous directement sur cette version preview, à la plastique irréprochable (malgré quelques baisses de frame-rate ici et là…) qui nous permet de découvrir le premier “niveau” du jeu. Pour faire simple : les mécanismes de jeu ont beau avoir été empruntées à Killzone 2, il apparaît une fois de plus que Guerilla Games dispose d’un don certain pour ce qui est de la mise en scène. A peine débarqué dans le jeu, on se retrouve dans une fusillade qui pourrait sembler interminable, face à des helgasts aux aguets, qui n’hésitent à la fois pas à utiliser des snipers, des amateurs du fusils à pompe, tout autant que des mitrailleurs bougrement précis pour espérer vous coller vous et vos collègues à terre. Si le jeu semble embrasser un scénario dans le fond assez bourrin, porté par une équipe de “gentils” n’hésitant pas à lâcher des “fils de flûte” et autres “fuck yeah !” (ben oui) à chaque fin de phrase, une chose est sûre : les diverses phases de jeu s’enchaînent sans le moindre temps mort, et on se retrouve à chaque fois (du moins dans le niveau en question) dans des situations épiques, qui ne nous placent jamais dans la situation déjà vue 1000 fois du “je planque, je shoot, j’avance, ect.” Bien au contraire, vous devrez constamment vous déplacer, prendre en compte les menaces arrivant de chaque côté, et tenter d’utiliser du mieux que possible de l’arsenal déjà conséquent mis à votre disposition. Alors évidemment, une fois la première demi-heure de jeu passée, alors qu’on allait enfin entrer dans le feu de l’action, on en arrive à voir le jeu revenir au menu, on enrage. Alors on retente une seconde fois l’aventure si je puis dire, en faisant monter d’un cran la difficulté. Mais rien à faire, l’envie d’en voir plus demeure, et on se met déjà à penser que si le jeu ne devrait pas permettre au genre du FPS de s’ouvrir à de nouveaux horizons, il devrait par contre en utiliser efficacement toutes les facettes pour nous offrir une aventure bien menée. Reste qu’on devra tout de même attendre la sortie du jeu pour se faire une idée précise du multi, que nous n’avons à l’heure actuelle pas encore eu l’occasion de voir tourner…

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