Egalement présenté lors du Press Tour de THQ à Dublin, Company of Heroes 2 est la suite hivernale tant attendue par les fans de la franchise. Le premier opus date en effet de 2006 ! Six ans donc de patience pour les fans, regardons ensemble si l’attente était justifiée !
Dans l’hiver Russe, personne ne vous entendra crier…
En 1941, l’armée allemande débute ce qui sera le conflit le plus brutal de la seconde guerre mondiale, avec l’invasion de l’Union Soviétique… Le résultat, qui résonnera toujours à l’oreille de l’histoire, c’est la mort de plus de 14 millions de soldats. C’est ce cadre, parfois méconnu, que les développeurs de Relic Entertainment ont voulu utiliser pour le second opus de Company of Heroes. Les Russes ont appelé l’hiver de 1941 le « General Winter ». Ils ne croyaient pas si bien dire, vu qu’il est maintenant admis que cet hiver fut le plus froid qu’ait connu le 20ème siècle. Du coup, les développeurs ont dû réfléchir à comment rendre cet aspect météorologique omniprésent dans leur titre. Pour ce faire, ils ont ajouté à la nouvelle version du moteur maison, l’Essence 3.0 Engine, un moteur de gestion du froid nommé le « Cold Tech System ». Le moteur physique est donc mis à contribution pour que les soldats et véhicules se déplacent différemment en fonction de la surface. Votre escouade aura une animation et un rythme de déplacement différent si elle traverse une zone de poudreuse, et vos tanks laisseront une trace énorme dans cette même poudreuse. En plus de la toundra gelée, vous devrez parfois traverser des lacs ou des rivières glacées. Là aussi, le moteur physique a été mis à contribution : si vos tanks légers patinent sans vergognes sur la glace, l’usant et la fragilisant, ils risquent fort de la briser, entrainant tout ce beau monde dans un bain de glace mortel. Mais cette couche de glace regèlera, plus ou moins en vite en fonction de l’intensité du blizzard. Encore un élément qu’il faudra prendre en compte dans vos tactiques.
L’exposition au froid de vos soldats sera donc un paramètre réellement important, pour ce faire, un petit logo en forme de thermomètre vous renseignera en temps réel sur l’état de froid de vos escouades. Si vous laissez trop longtemps vos soldats à l’extérieur en plein blizzard, sans la protection d’une couverture quelconque ou d’un point chaud (un feu de camp par exemple), ils finiront par mourir. Heureusement, vos soldats du génie seront capables de créer les dits feux de camps, ce qui permettra d’avancer en sécurité dans le froid. Mais vous pourrez également vous mettre à l’ abri dans des structures ou dans les véhicules abandonnés par vos ennemis. Evidemment, ces endroits seront des points stratégiques importants, les contrôler, les détruire vous permettra de prendre l’ascendant sur l’ennemi. Le blizzard n’est pas en permanence présent, et quand ce dernier se lève, vous pourrez non seulement souffler un peu et avancer sans craindre de voir vos soldats mourir, mais vous pourrez également avoir accès à des options de commandements, comme un bombardement aérien par exemple. Le premier titre était connu pour l’aspect destructible de ses environnements, et pour nous démontrer qu’il en est toujours de même dans le second opus, les développeurs ont sorti les fameux orgues de Staline (les Katyushas) connus pour leur aspect psychologique et le niveau fortement aléatoire de leurs bombardements. Rien à dire, quand les explosions s’enchainent, c’est vraiment impressionnant !
Visuellement le titre est plaisant sans être révolutionnaire. Malgré tout, la monté en puissance des PC depuis la sortie du premier opus a bien été pris en compte, et tout ceci est plutôt joli. Si tant est que l’on aime la glace, la neige et la toundra soviétique en hiver. On attendra de pouvoir tester le titre pour se faire une opinion sur la variété des environnements. Toutefois, connaissant Relic, nous devrions en avoir pour notre argent ! Rien de révolutionnaire donc, mais les fans de la franchise devrait trouver le challenge intéressant à relever. En attendant le prochain opus, qui pourrait bien se balader sur un front bien plus chaud… Le titre est prévu pour 2013, sur PC.
Dans l’hiver Russe, personne ne vous entendra crier…
En 1941, l’armée allemande débute ce qui sera le conflit le plus brutal de la seconde guerre mondiale, avec l’invasion de l’Union Soviétique… Le résultat, qui résonnera toujours à l’oreille de l’histoire, c’est la mort de plus de 14 millions de soldats. C’est ce cadre, parfois méconnu, que les développeurs de Relic Entertainment ont voulu utiliser pour le second opus de Company of Heroes. Les Russes ont appelé l’hiver de 1941 le « General Winter ». Ils ne croyaient pas si bien dire, vu qu’il est maintenant admis que cet hiver fut le plus froid qu’ait connu le 20ème siècle. Du coup, les développeurs ont dû réfléchir à comment rendre cet aspect météorologique omniprésent dans leur titre. Pour ce faire, ils ont ajouté à la nouvelle version du moteur maison, l’Essence 3.0 Engine, un moteur de gestion du froid nommé le « Cold Tech System ». Le moteur physique est donc mis à contribution pour que les soldats et véhicules se déplacent différemment en fonction de la surface. Votre escouade aura une animation et un rythme de déplacement différent si elle traverse une zone de poudreuse, et vos tanks laisseront une trace énorme dans cette même poudreuse. En plus de la toundra gelée, vous devrez parfois traverser des lacs ou des rivières glacées. Là aussi, le moteur physique a été mis à contribution : si vos tanks légers patinent sans vergognes sur la glace, l’usant et la fragilisant, ils risquent fort de la briser, entrainant tout ce beau monde dans un bain de glace mortel. Mais cette couche de glace regèlera, plus ou moins en vite en fonction de l’intensité du blizzard. Encore un élément qu’il faudra prendre en compte dans vos tactiques.
L’exposition au froid de vos soldats sera donc un paramètre réellement important, pour ce faire, un petit logo en forme de thermomètre vous renseignera en temps réel sur l’état de froid de vos escouades. Si vous laissez trop longtemps vos soldats à l’extérieur en plein blizzard, sans la protection d’une couverture quelconque ou d’un point chaud (un feu de camp par exemple), ils finiront par mourir. Heureusement, vos soldats du génie seront capables de créer les dits feux de camps, ce qui permettra d’avancer en sécurité dans le froid. Mais vous pourrez également vous mettre à l’ abri dans des structures ou dans les véhicules abandonnés par vos ennemis. Evidemment, ces endroits seront des points stratégiques importants, les contrôler, les détruire vous permettra de prendre l’ascendant sur l’ennemi. Le blizzard n’est pas en permanence présent, et quand ce dernier se lève, vous pourrez non seulement souffler un peu et avancer sans craindre de voir vos soldats mourir, mais vous pourrez également avoir accès à des options de commandements, comme un bombardement aérien par exemple. Le premier titre était connu pour l’aspect destructible de ses environnements, et pour nous démontrer qu’il en est toujours de même dans le second opus, les développeurs ont sorti les fameux orgues de Staline (les Katyushas) connus pour leur aspect psychologique et le niveau fortement aléatoire de leurs bombardements. Rien à dire, quand les explosions s’enchainent, c’est vraiment impressionnant !
Visuellement le titre est plaisant sans être révolutionnaire. Malgré tout, la monté en puissance des PC depuis la sortie du premier opus a bien été pris en compte, et tout ceci est plutôt joli. Si tant est que l’on aime la glace, la neige et la toundra soviétique en hiver. On attendra de pouvoir tester le titre pour se faire une opinion sur la variété des environnements. Toutefois, connaissant Relic, nous devrions en avoir pour notre argent ! Rien de révolutionnaire donc, mais les fans de la franchise devrait trouver le challenge intéressant à relever. En attendant le prochain opus, qui pourrait bien se balader sur un front bien plus chaud… Le titre est prévu pour 2013, sur PC.
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