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Impressions – Assassin’s Creed 3 : Multijoueur

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Mode horde pour Gears of War, mode zombie pour COD : Black Ops : c’est un fait, la coopération est plus que jamais à l’ordre du…

Mode horde pour Gears of War, mode zombie pour COD : Black Ops : c’est un fait, la coopération est plus que jamais à l’ordre du jour au sein des modes multijoueur contemporains. Celui d’Assassin’s Creed 3 ne déroge pas à la règle, avec son tout nouveau mode de jeu intitulé Wolfpack. On l’a dosé, on vous raconte tout !

Qu’on s’y essaye à deux, trois ou quatre joueurs, l’objectif reste le même : éliminer en toute discrétion les Intelligences Artificielles qui nous sont assignées en cours de partie. L’idéal étant de synchroniser ses assassinats avec ceux de ses camarades assassins dans l’espoir d’additionner quelques précieuses secondes à ce maudit compte-à-rebours qui n’en finit plus de s’égrainer !

Les contrôles ont été simplifiés : un même bouton sert à étourdir ou égorger sa cible.

Quatre Intelligences Réelles opposées à quatre Intelligence Artificielles : ça a l’air super abordable sur le papier, si ce n’est que les cibles deviennent de plus en plus sournoises et perspicaces manche après manche… Enfin, rien d’insurmontable non plus, vu que ces dernières se contentent la plupart du temps de flâner dans les rues ou de se réunir en conciliabule sans se méfier un seul instant de la mort subite qui plane sur elles. Une manière de dire que, dans Wolfpack, la menace ne provient pas directement de l’ennemi, mais plutôt d’une mauvaise estimation du temps qui passe et d’un éventuel déficit de communication entre joueurs. Gestion et communication : deux prérequis indispensables pour faire bonne figure au classement mondial de l’Abstergo, cette sorte de réseau social (en gros : ça poke automatiquement tes amis dès que tu ridiculises leur score) appliqué à l’univers d’Assassin’s Creed 3.

Quelque part entre Pocahontas et Pirates des Caraïbes, le character design claque et surprend.

Assassin un jour…

Alors l’entraide, c’est bien sympa, mais heureusement qu’Assassin’s 3 nous permet de nous taper un peu dessus quand même. Outre les classiques matches à morts et autres chasses à l’homme déjà vus dans Revelations, les développeurs d’Ubisoft Annecy proposent un mode de jeu un peu tarte à la crème avec Domination. Ni plus ni moins qu’un énième exercice de défense et de capture de zones (toujours en équipe), à ceci près qu’il s’enrichit des subtilités inhérentes au gameplay d’Assassin’s Creed, comme la possibilité de se planquer dans la foule pour choper un territoire à l’insu de son adversaire.

Comme le veut la tradition, les zones à capturer figurent en surbrillance.

A part ça, le mode multi d’Assassin’s Creed 3 s’adjuge pléthore de nouvelles maps pour s’étriper gaiement. Mention spéciale au Northwest Passage, décor de banquise façon Antarctique aux décors dynamiques (pans de glace qui s’effondrent, neige qui brouille le champ de vision) qui tranche avec les cartes un tantinet statiques des épisodes précédents. Et super dédicace à ce rêve de fan qu’est l’Animus Core, qui nous immisce au cœur de cette matrice qui sous-tend l’intrigue des Assassin’s Creed depuis le commencement. Un clin d’œil sympa pour un multijoueur a priori de bonne facture, mais qui ne promet pas de révolutionner la sphère parfois si routinière des modes à joueurs multiples.

Mode horde pour Gears of War, mode zombie pour COD : Black Ops : c’est un fait, la coopération est plus que jamais à l’ordre du jour au sein des modes multijoueur contemporains. Celui d’Assassin’s Creed 3 ne déroge pas à la règle, avec son tout nouveau mode de jeu intitulé Wolfpack. On l’a dosé, on vous raconte tout !

Qu’on s’y essaye à deux, trois ou quatre joueurs, l’objectif reste le même : éliminer en toute discrétion les Intelligences Artificielles qui nous sont assignées en cours de partie. L’idéal étant de synchroniser ses assassinats avec ceux de ses camarades assassins dans l’espoir d’additionner quelques précieuses secondes à ce maudit compte-à-rebours qui n’en finit plus de s’égrainer !

Les contrôles ont été simplifiés : un même bouton sert à étourdir ou égorger sa cible.

Quatre Intelligences Réelles opposées à quatre Intelligence Artificielles : ça a l’air super abordable sur le papier, si ce n’est que les cibles deviennent de plus en plus sournoises et perspicaces manche après manche… Enfin, rien d’insurmontable non plus, vu que ces dernières se contentent la plupart du temps de flâner dans les rues ou de se réunir en conciliabule sans se méfier un seul instant de la mort subite qui plane sur elles. Une manière de dire que, dans Wolfpack, la menace ne provient pas directement de l’ennemi, mais plutôt d’une mauvaise estimation du temps qui passe et d’un éventuel déficit de communication entre joueurs. Gestion et communication : deux prérequis indispensables pour faire bonne figure au classement mondial de l’Abstergo, cette sorte de réseau social (en gros : ça poke automatiquement tes amis dès que tu ridiculises leur score) appliqué à l’univers d’Assassin’s Creed 3.

Quelque part entre Pocahontas et Pirates des Caraïbes, le character design claque et surprend.

Assassin un jour…

Alors l’entraide, c’est bien sympa, mais heureusement qu’Assassin’s 3 nous permet de nous taper un peu dessus quand même. Outre les classiques matches à morts et autres chasses à l’homme déjà vus dans Revelations, les développeurs d’Ubisoft Annecy proposent un mode de jeu un peu tarte à la crème avec Domination. Ni plus ni moins qu’un énième exercice de défense et de capture de zones (toujours en équipe), à ceci près qu’il s’enrichit des subtilités inhérentes au gameplay d’Assassin’s Creed, comme la possibilité de se planquer dans la foule pour choper un territoire à l’insu de son adversaire.

Comme le veut la tradition, les zones à capturer figurent en surbrillance.

A part ça, le mode multi d’Assassin’s Creed 3 s’adjuge pléthore de nouvelles maps pour s’étriper gaiement. Mention spéciale au Northwest Passage, décor de banquise façon Antarctique aux décors dynamiques (pans de glace qui s’effondrent, neige qui brouille le champ de vision) qui tranche avec les cartes un tantinet statiques des épisodes précédents. Et super dédicace à ce rêve de fan qu’est l’Animus Core, qui nous immisce au cœur de cette matrice qui sous-tend l’intrigue des Assassin’s Creed depuis le commencement. Un clin d’œil sympa pour un multijoueur a priori de bonne facture, mais qui ne promet pas de révolutionner la sphère parfois si routinière des modes à joueurs multiples.

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