Exercice difficile que d’expliquer le concept d’Alt-Minds. Ce projet commun entre Lexis Numérique et Orange qui mêle les médias et les expériences, a eu le droit à sa propre présentation durant la Gamescom. On vous explique le projet un peu fou de ces développeurs français qui veulent renouveler à leur manière le jeu vidéo.
[MAJ] Retrouvez toutes les informations pratiques dans l’article Alt-Minds : l’essentiel en 8 questions.
Le constat de Lexis Numérique et Orange est simple : l’offre de jeu s’est considérablement étoffée et il est dommage de se limiter à une simple console. Ainsi, tablettes, smartphone, ordinateurs, voire même dans certains cas, télévision connectées, auront une utilisation et un impact sur l’aventure Alt-Minds. Le titre mélange réalité et virtuel dans un thriller paranormal où cinq scientifiques de l’Université de Belgrade disparaissent mystérieusement. A nous les joueurs de résoudre l’enquête.
Dès le 5 novembre et durant huit semaines, l’histoire suivra son cours. L’avancement de l’enquête sera répertorié sur les applications iOS et Android et certaines vidéos seront postées sur Dailymotion. Alt-Minds plus que n’importe quel autre jeu jusqu’ici, s’empare des codes des séries télévisées et se les approprie : le joueur peut être actif et participer aux recherches sur l’enquête, ou être passif et suivre comme un simple spectateur le déroulement des recherches.
Pour nous montrer les possibilités du concept, les développeurs nous ont proposé quelques exemples. Lors de l’enquête, il arrive forcément à un moment qu’une personne inconnue soit liée de près ou de loin aux faits. Pour en savoir plus, il suffit simplement, de manière réelle, à rechercher cette personne sur Google. Il est possible que l’on tombe sur son blog, une page Dailymotion, ou même un compte Facebook et Twitter. De même, lors des vidéos chaque détail compte et si on a le bonheur de déchiffrer une place d’immatriculation, il est possible d’entamer des recherches pour découvrir à qui appartient le véhicule.
Ce mélange entre irréel et réel est profond, il nous a même été annoncé que certains grands journaux seraient en étroites collaborations avec Lexis Numérique et Orange pour dévoiler des informations sur l’enquête. Le plus intéressant dans cette expérience, c’est qu’on est questionné en tant que personne et non pas par un avatar. Il n’y pas de narration filtré via un personnage fait de pixels, on s’incarne nous même : le jeu questionne le joueur que nous sommes et pas le personnage que l’on incarne. La problématique d’Alt-Minds sera de ne pas nous perdre, de ne pas être brouillon à force de trop vouloir en faire.
Comme dit précédemment, l’expérience Alt-Minds commencera dès le 5 novembre. Durant huit semaines, les applications se suivront pour mettre à jour l’enquête. La réponse à la question du tarif était un peu floue, il semblerait que l’on puisse acheter une application par semaine, pour environ 3 euros ou alors directement dans un pack. Attendons plus de précisions sur Alt-Minds, un titre prometteur au concept rafraichissant, quoique difficile à appréhender.
[MAJ] Retrouvez toutes les informations pratiques dans l’article Alt-Minds : l’essentiel en 8 questions.
Le constat de Lexis Numérique et Orange est simple : l’offre de jeu s’est considérablement étoffée et il est dommage de se limiter à une simple console. Ainsi, tablettes, smartphone, ordinateurs, voire même dans certains cas, télévision connectées, auront une utilisation et un impact sur l’aventure Alt-Minds. Le titre mélange réalité et virtuel dans un thriller paranormal où cinq scientifiques de l’Université de Belgrade disparaissent mystérieusement. A nous les joueurs de résoudre l’enquête.
Dès le 5 novembre et durant huit semaines, l’histoire suivra son cours. L’avancement de l’enquête sera répertorié sur les applications iOS et Android et certaines vidéos seront postées sur Dailymotion. Alt-Minds plus que n’importe quel autre jeu jusqu’ici, s’empare des codes des séries télévisées et se les approprie : le joueur peut être actif et participer aux recherches sur l’enquête, ou être passif et suivre comme un simple spectateur le déroulement des recherches.
Pour nous montrer les possibilités du concept, les développeurs nous ont proposé quelques exemples. Lors de l’enquête, il arrive forcément à un moment qu’une personne inconnue soit liée de près ou de loin aux faits. Pour en savoir plus, il suffit simplement, de manière réelle, à rechercher cette personne sur Google. Il est possible que l’on tombe sur son blog, une page Dailymotion, ou même un compte Facebook et Twitter. De même, lors des vidéos chaque détail compte et si on a le bonheur de déchiffrer une place d’immatriculation, il est possible d’entamer des recherches pour découvrir à qui appartient le véhicule.
Ce mélange entre irréel et réel est profond, il nous a même été annoncé que certains grands journaux seraient en étroites collaborations avec Lexis Numérique et Orange pour dévoiler des informations sur l’enquête. Le plus intéressant dans cette expérience, c’est qu’on est questionné en tant que personne et non pas par un avatar. Il n’y pas de narration filtré via un personnage fait de pixels, on s’incarne nous même : le jeu questionne le joueur que nous sommes et pas le personnage que l’on incarne. La problématique d’Alt-Minds sera de ne pas nous perdre, de ne pas être brouillon à force de trop vouloir en faire.
Comme dit précédemment, l’expérience Alt-Minds commencera dès le 5 novembre. Durant huit semaines, les applications se suivront pour mettre à jour l’enquête. La réponse à la question du tarif était un peu floue, il semblerait que l’on puisse acheter une application par semaine, pour environ 3 euros ou alors directement dans un pack. Attendons plus de précisions sur Alt-Minds, un titre prometteur au concept rafraichissant, quoique difficile à appréhender.
🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.