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Test Huawei P40, un tueur compact en photo, sans Google

Après le Huawei P40 Pro et le Huawei P40 Lite, voici notre test du modèle intermédiaire qui ne manque pas d’arguments pour convaincre, le Huawei P40.

Plus rien ne semble arrêter Huawei. Après avoir commencé à lancer de nouveaux smartphones sans Google, suite à l’embargo américain qui l’empêche de collaborer avec des entreprises américaines, et, de facto, l’obligeant à se passer des services Google, la marque doit affronter un nouveau challenge : réussir à imposer ses fleurons malgré la pandémie actuelle. C’est donc dans ce contexte très particulier que le géant chinois a lancé ses Huawei P40 Lite, P40, P40 Pro et P40+. Après vous avoir livré nos impressions sur le Huawei P40 Pro, voici notre test du Huawei P40, le petit frère plus compact de la bande, mais qui ne fait aucun compromis sur les performances et la photo.

Concernant les caractéristiques, voilà ce que le Huawei P40 vous propose :

Huawei P40
Écran- OLED de 6,1 pouces
- Définition 1080x2340 (422ppp)
- Format 19,5:9
- HDR10+
- Gorilla Glass 6
- DCI-P3
- Poinçon
Design- Contour en aluminium
- Dos en verre
- Finition dépoli
- IP53
SoC et GPU- Processeur Kirin 990
- GPU Mali-G76 MP12
- Gravure en 7nm
Mémoire- 8Go de RAM
- 128Go de stockage
- Port mémoire NM-Card jusqu'à 1To
Coloris- Black
- Blush Gold
- Silver Frost
Appareil photo- Triple appareils photo, le principal avec un capteur couleur RYYB de 50 Mégapixels, l’ultra grand angle avec un capteur de 16 Mégapixels et le téléphoto avec un capteur de 8 Mégapixels
- Objectif grand angle SuperSpectrum de 27mm avec une ouverture de F/1.9
- Objectif ultra grand angle de 18mm avec une ouverture de F/2.2
- Objectif téléphoto 3x de 80mm avec une ouverture de F/2.4
- Stabilisation optique sur l’appareil photo principal et le téléphoto
- Traitement Leica
- Zoom : optique 3x et hybride 5x
- AF Octa PD Autofocus
- Flash LED Dual-Tone
- Reconnaissance de Scène via Intelligence artificielle
- 3ème Génération AI Image Engine
- Super Night Mode
- Huawei XD Fusion Engine
- Mode Super Resolution
- AI Best Moment
- Enregistrement de vidéos jusqu’en 1080p/60 et 4K(2160p)/60
- Sensibilité vidéo allant jusqu'à 51200 ISO
- Ultra Slow Motion 7680fps
- Audio Zoom

- Capteur frontal de 32 MP
- Ouverture f/2.2
- Capteur ToF
- Capteur de Gestes
- Reconnaissance des visages 2D
- HDR automatique
- Capture vidéo frontal en UltraHD à 60fps
Audio- Haut-parleur mono
- Pas de prise jack 3,5mm
Batterie- Batterie de 3800 mAh
- Huawei SuperCharge 2.0
- Recharge Sans-Fil
- Recharge Inversée (Sans-Fil et Filaire)
Connectivité- Reconnaissance Faciale 2D
- Lecteur d'empreintes optique sous l'écran
- Bluetooth 5.1
- WiFi 6 Plus
- USB-C USB 3.1
- 2x nano-SIM + 1x eSIM
- 4G LTE
- 5G
Logiciel- Android 10
- EMUI 10.1
Taille et Poids- 148,9 x 71,06 x 8,5 mm
- 175g
Prix799 €
Date de disponibilité 20 Avril 2020

Design, Écran et Audio

Si le grand frère de la bande, le Huawei P40 Pro (ainsi que le P40 Pro+) ne conviendra pas à toutes les mains avec son gabarit relativement imposant, le Huawei P40 dispose d’une taille particulièrement pertinente à l’usage. L’utilisation à une main est clairement possible, et la taille s’avère malgré tout suffisante pour pouvoir consommer des contenus divers de manière confortable. C’est donc un smartphone idéal pour les plus réfractaires aux gigantesques smartphones dont nous avons à présent l’habitude. Côté poids, c’est aussi un atout, puisque le smartphone reste relativement léger (175 grammes), mais tout de même assez lourd pour donner le sentiment d’un produit solide et haut de gamme. Ni trop léger, ni trop lourd.

La finition du Huawei P40 est excellente

Du côté de l’écran, le Huawei P40 dispose d’une belle dalle OLED de 6,1 pouces (FHD+, 422 ppp), plutôt lumineuse et relativement juste en matière de colorimétrie. On note en revanche que Huawei a choisi un écran au taux de rafraîchissement bloqué à 60 Hz, à la différence du P40 Pro qui dispose quant à lui d’un écran qui monte jusqu’à 90 Hz. Si cela ne changera pas tellement la donne lorsqu’on est habitué au 60 Hz, il faut bien avouer que la présence d’un taux de rafraîchissement élevé sur les smartphones récents est très confortable à l’usage, même si ça ne change pas radicalement l’utilisation du produit. Notons que cet écran n’est pas incurvé sur les bords, comme celui du P40 Pro, ce qui permet d’améliorer la prise en main générale, notamment à une seule main. Aussi, à la différence du P30 (et P30 Pro) de l’an dernier, on ne retrouve plus une encoche en goutte d’eau centré, mais un double poinçon placé en haut à gauche de la dalle. S’il ne nous avait pas tant dérangé sur le Huawei P40 Pro, le poinçon du P40 – bien que légèrement plus petit – ne passe clairement pas inaperçu. En réalité, puisque l’écran n’est pas incurvé comme le P40 Pro, l’espace entre ce poinçon et les fines bordures est si faible qu’il ne faut pas espérer y voir quoi que ce soit. Dans les faits, c’est une sorte d’encoche à laquelle nous avons droit. Malgré tout, cet imposant double poinçon a une raison d’être puisqu’il accueille à la fois la caméra frontale, mais également un capteur ToF, permettant la reconnaissance faciale.

Huawei P40 à gauche, Huawei P40 Pro à droite

On retrouve également un lecteur d’empreinte digitale intégré à l’écran, qui s’avère être idéalement placé puisque le doigt vient s’y placer instinctivement lorsqu’on saisit le smartphone, rendant le déverrouillage du smartphone totalement transparent.

À l’arrière, on pourra compter sur un dos en verre dépoli du plus bel effet, extrêmement agréable au toucher et peu salissant, aussi bien disponible en Golden Blush (notre modèle de test) qu’en noir ou en gris. Ce dos accueille un bloc photo qui, bien que relativement imposant, ne nous apparaît pas particulièrement disgracieux, comparé à certains designs chez la concurrence, et cela d’autant plus qu’il en a clairement dans le ventre, mais nous verrons cela dans la partie Photo/Vidéo de ce test. Sur les tranches, on a droit à un cerclage métallique teinté de la couleur choisie. Ce cerclage est percé sur le bas pour accueillir le port USB-C ainsi que l’unique grille de haut-parleurs qui, comme plusieurs années maintenant chez Huawei, distille un son mono vraiment médiocre, et on s’attend clairement à mieux sur cette gamme de prix. Notons également que la prise jack est aux abonnés absentes, et que le smartphone ne jouit pas d’une certification IP68 mais seulement IP53, ce qui le laisse en théorie sensible à l’eau et à la poussière.

Performances et Autonomie

Malgré sa plus petite taille et son prix plus contenu, le Huawei P40 ne fait aucun compromis sur les performances et opte pour la même configuration résolument haut de gamme que son grand frère, le Huawei P40 Pro. Ainsi, on retrouve le SoC Kirin 990, qui équipait déjà le Huawei Mate 30 Pro, et qui offre des performances assez hallucinantes. Gravé en 7nm, ce SoC mobile maison de Huawei se distingue du Kirin 980 – déjà particulièrement bon – en offrant un gap de 23% de performance supplémentaire. On retrouve, pour l’accompagner, le GPU Mali-G76, ainsi qu’un NPU annoncé comme étant 460% plus performant. Dans les faits, ce SoC s’avère donc largement assez puissant pour faire tourner la plupart des jeux récents. Dans les benchmarks, il se classe plus ou moins au même niveau qu’un Snapdragon 855+, soit la version boostée du SoC haut de gamme de Qualcomm de l’an dernier, et en dessous du Snapdragon 865 qui équipe la plupart de smartphones premium de cette année.

Dans les faits, même si le Huawei P40 se révélera théoriquement moins puissant qu’un OnePlus 8 ou qu’un Xiaomi Mi 10, on reste sur des performances de haut vol. En usage classique, on n’a jamais eu à se plaindre d’une quelconque baisse de régime, et cela même sur du jeu vidéo gourmand, comme Call of Duty Mobile, notamment. En réalité, la puissance des derniers SoC mobile a pris une telle envolée ces dernières années que les usages capables de les mettre KO ne sont pas encore disponibles. Ils permettent surtout d’améliorer différents points sur un smartphone, comme ses performances photo/vidéo, ou encore son autonomie. À ce sujet, Huawei frappe très fort encore une fois et délivre un smartphone qui est certainement l’un des meilleurs dans son genre, au vu de son gabarit. Avec une gestion énergétique extrêmement agressive, et malgré sa batterie d’à peine 3 800 mAh, le Huawei P40 est un véritable monstre d’autonomie capable de tenir un jour et demi voire deux journées complètes sans passer par la case recharge. Concernant cette dernière, on retrouve aussi bien la charge sans fil (jusqu’à 27W) que la charge inversée, mais aussi le SuperCharge 2.0 en filaire, qui permet de regagner 70% de batterie en seulement une demi-heure.

Photo et Vidéo

C’est certainement LE grand point différenciant des smartphones de la gamme P de Huawei. L’année dernière, le Huawei P30 Pro nous avait mis une claque monumentale, et le constructeur chinois compte bien réitérer l’exploit avec se P40 cette année. Ainsi, si le P40 Pro+ bénéficiera de la meilleure configuration photo, que le P40 Pro s’avère être le digne successeur du P30 Pro, le Huawei P40 profite d’une configuration un brin plus modeste, mais néanmoins extrêmement efficace. Au dos de l’appareil, on retrouve ainsi pas moins de trois appareils photo, dont un capteur principal aux couleurs RYYB de 50 MP (le même que sur le P40 Pro), un ultra grand angle de 16 MP ainsi qu’un téléobjectif de 8 MP. Si on ne profitera donc pas de l’impressionnant zoom du Huawei P40 Pro qui dispose d’un téléphoto 5x périscopique, le Huawei P40 produira exactement les mêmes clichés avec son capteur principal de 50 MP, qui, rappelons-le, est un capteur de type RYYB, en lieu et place du traditionnel RGB. Ainsi, au lieu de capturer le vert, le smartphone va le remplacer par du jaune dans le but de capter le plus de lumière possible, pour recréer la couleur verte par la suite via un traitement logiciel. Cela permet au smartphone d’être particulièrement bon en basse lumière (même pas besoin de passer par le Mode Nuit !), d’autant plus que ce capteur principal augmente encore de taille cette année, pour passer à 1/1,28 pouce (pour un smartphone, c’est tout simplement énorme), ce qui permet d’obtenir très facilement du flou d’arrière plan naturel, de manière optique, à la différence du mode Portrait qui viendra appliquer un bokeh numérique à l’arrière plan grâce à un traitement logiciel. Les clichés capturés avec cet objectif sont tout simplement incroyables, et offrent pratiquement le sentiment d’avoir un vrai petit reflex de poche à disposition, avec un piqué exemplaire, de la profondeur, et une excellente gestion de la HDR grâce aux traitements logiciels de Huawei, même si on note une légère tendance du smartphone à augmenter la netteté d’une manière un brin artificielle.

L’équipement photo embarqué dans le Huawei reste relativement efficace dans toutes les circonstances, et si les autres capteurs, dont l’ultra grand-angle et le téléphoto, se révèlent un moins bon, on profite dans l’ensemble de résultats extrêmement satisfaisant. L’ultra grand-angle bénéficie d’un piqué plutôt satisfaisant sans trop d’aberrations, mais il ne se montrera pas aussi efficace en basse lumière que le capteur principal. Quant au téléphoto, il se montre parfaitement efficace en zoom x3, et pourra facilement aller titiller le x5 sans perte notable de qualité. Au-delà, la qualité des clichés commence logiquement à perdre en lisibilité. Le zoom x30 reste quant à lui un gadget amusant 5 minutes, mais clairement pas utilisable si on souhaite prendre de bon clichés avec son smartphone. Enfin, on note que malgré l’absence de capteur ToF à l’arrière, le smartphone reste plutôt bon quand il s’agit de découper le sujet et d’appliquer un flou d’arrière-plan en mode Portrait. Enfin, un mot sur la caméra frontale, et son capteur de 32 MP, qui parvient à prendre des clichés très satisfaisants, même si on prendra garde à abaisser les corrections pour adoucir, affiner et améliorer le teint du visage, qui nous semblent bien trop caricaturales pour être utilisées sérieusement. Il n’empêche que pour une utilisation sur les réseaux sociaux, c’est plutôt efficace.

Mais puisque des images valent mille mots, voici quelques clichés capturés durant ce test du Huawei P40. On s’excuse d’avance de ne pas avoir pu prendre plus de photos dans des situations variées, confinement oblige.

Vivre sans Google ?

Comme nous avons pu le voir, oui, le Huawei P40 est un excellent smartphone, doté d’un bon design, d’excellentes performances, d’une configuration solide et d’une autonomie dantesque, et après tout, on s’en doutait un peu venant de la marque. Mais la question qui se pose lorsqu’on envisage de se procurer ce smartphone, c’est surtout de savoir si, oui ou non, on est capable de vivre sans les services de Google. Toujours pris sous le feu de la guerre commerciale qui oppose les États-Unis et la Chine, Huawei n’a plus le droit de collaborer avec des entreprises américaines, et a dû renoncer aux services de Google sur ses derniers smartphones. Le Huawei P40 doit ainsi se contenter des HMS (Huawei Mobile Services) en lieu et place des GMS (Google Mobile Services). Concrètement, qu’est ce que ça change ? L’absence des services de Google nécessite d’utiliser différemment son appareil, à commencer par le magasin d’application par défaut, l’App Gallery. Ce store maison du constructeur chinois vient remplacer le traditionnel Play Store qu’on retrouve sur tous les autres smartphones Android. S’il était encore bien pauvre il y a quelques mois, le catalogue de l’App Gallery concentre dorénavant un grand nombre d’applications populaires, dont Twitter, Snapchat, TikTok, Amazon, ou encore de nombreux jeux mobiles. D’autres applications devraient logiquement suivre d’ici peu, comme Facebook et ses filiales, dont Instagram et Whatsapp, mais aussi une pléthore d’app en tout genre, puisque Huawei mise gros pour attirer les développeurs sur sa plateforme. C’est donc un pari sur l’avenir, et les choses évoluent, heureusement, plutôt rapidement, même s’il y a encore d’importants manques.

À l’achat, Huawei précise que le smartphone débarque avec les HMS, et non pas les GMS

Si on vous déconseille d’utiliser des méthodes assez hasardeuses pour installer par vous-même les services de Google – puisque ces méthodes apportent également leur lot de logiciels espions – il faut bien avouer qu’avec un peu de bidouille, on arrive à installer tout ce dont on a besoin. Sur l’App Gallery, on peut trouver deux applications particulièrement intéressantes : TrouvApp et APKPure. Celles-ci recensent des fichiers APK (soit l’équivalent d’un fichier .exe ou .dmg pour une app Android) permettant d’installer n’importe quelle application simplement, sans avoir à fouiller sur le web pour trouver l’application souhaitée. Via ces deux applications, ainsi que l’App Gallery, on a pu retrouver clairement 90% de nos usages quotidiens avec ce smartphone. Les réseaux sociaux sont enfin TOUS disponibles, et, pour les mails professionnels, Microsoft Outlook est compatible Google et semble donc être la solution idéale pour les mails et l’agenda, le tout parfaitement synchronisé. Les seuls manques restent, pour l’heure, l’accès à un véritable système de cartographie à la Google Maps, mais cela sera prochainement réglé grâce au partenariat conclu entre Huawei et TomTom. Cela devrait par ailleurs permettre l’arrivée des applications de VTC comme Uber, notamment, qui utilisaient auparavant les services Google. Aussi, l’application YouTube reste absente du Huawei P40, même s’il est possible de passer par le navigateur web pour en profiter. En bref, avec un peu de bidouille, il est tout à fait possible de retrouver la plupart de ses usages avec le Huawei P40. Si on le déconseillera à ceux qui ne souhaitent absolument pas s’embêter à configurer leur smartphone avec minutie, les utilisateurs un minimum geek s’en satisferont très bien. Dans les faits, on retrouve ici un peu le fonctionnement d’un ordinateur classique, sur lequel on va chercher soi-même les logiciels à installer sous la forme d’APK.

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Notre avis

Le Huawei P40 est un smartphone plutôt inégal. S’il excelle et dépasse bien des concurrents de par ses performances, ses finitions, son format idéal, son autonomie prodigieuse et ses capacités photo hors normes, il dispose aussi de certains défauts. Son écran, toujours cadencé à 60 Hz, alors que tout les concurrents sont passés au 90 voire au 120 Hz, nous laisse sceptique, d’autant plus que le P40 Pro dispose bien de cette particularité. On note aussi l'absence de certification IP68. Surtout, l’absence des services de Google reste encore un problème majeur, même si Huawei va très vite pour combler les manques. Oui, on s’en est sorti, et ce sera probablement votre cas aussi, mais il n'empêche qu’il s’agit d’un défaut de taille pour une grande majorité d’utilisateurs lorsqu’on se procure un smartphone haut de gamme. Il n’empêche que si c’est la photo qui vous intéresse, le Huawei P40 reste probablement, à ce jour, le smartphone le plus performant à ce niveau et à ce prix. Rien que pour cela, il mérite sa note de 7/10. En revanche, si les services de Google vous sont indispensables, vous pouvez bien diviser cette note par deux.
Note : 7  /  10

Les plus

  • Toujours le roi de la photo
  • Finitions impeccables
  • Excellente autonomie
  • Bonnes performances

Les moins

  • Écran toujours rafraîchi à 60 Hz
  • Pas de certification IP68
  • La vie sans Google
5 commentaires
  1. Ce que j’aime c’est qu’il n’a pas cet écran peu pratique qui tombe sur les côtés.

  2. je vous trouve un peu dur pour le peu de “moins” que vous indiquez et, pour la certification, tous les smartphones sont étanches, la certification n’étant qu’un argument marketing couteux.

  3. Qu’en est-il de la possibilité de mettre une ROM perso qui elle, accepterait le google play ? Est-ce déverrouillé ? Quid du DAS aussi ?

  4. Donc en voulant “tuer” l’industrie high tech chinoise, Trump l’a rendue encore plus forte ? Encore un succès 😂

  5. j’e l’ai vu ce matin chez boulanger, vraiment un beau telephone, ideal pour remplacer mon p30 , et les appli google que j’utilise sont toutes sur Trouv App, donc je peux facilement changer de tel sans etre perturbé

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