Dans cette tendance à voir des prix délirants s’afficher sans pudeur (coucou la PS5 Pro), voir un produit vendu moins cher que ce à quoi nous pouvions nous attendre est aussi rare qu’enthousiasmant. La ZT3 Pro E de Ninebot-Segway est ce type de produit et franchement, ça fait plaisir. Mais il y a un revers à cette médaille : la trottinette est massive et a un comportement exigeant qui la destine aux riders avertis.
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Caractéristiques : un sans-faute
Tout commence par la présentation du produit. Les entreprises chinoises sont très fortes pour sublimer les fiches techniques. Mais bien souvent, le ramage ne se rapporte pas au plumage. Bien souvent, mais pas toujours (comme nous allons le découvrir par la suite). Voici les caractéristiques principales :
- Moteur 650W nominal et 1600W en crête situé sur la roue arrière
- Double frein à disque à câble
- Système antipatinage
- ABS
- Roues 11 pouces tubeless avec gelée anticrevaison
- Feux diurnes et éclairage 4,1 W
- Fourche suspendue à l’avant (double suspension télescopique)
- Suspension à amortisseur central à l’arrière
- Étanche IPX5
- Batterie 597 Wh en 46,8 V
- Chargeur rapide 4A (charge 0 à 100 % donnée en 4 heures)
- Poids : 29,7 kg
- Autonomie : 49 km réels en mode sport avec 4 démarrages « boost »
En face de cette fiche, un prix. Nous nous attendions à un tarif de 999 euros. Ce sont 300 euros de moins qui sont demandés par Ninebot. À ce moment de l’essai, les choses paraissent trop belles pour être vraies. Et pourtant…
Design : c’est (vraiment) énorme !
La ZT3 est énorme. Nous l’avons dit dans le titre, mais il fallait le réécrire ici. Pour le SEO déjà, mais surtout parce que la ZT3 Pro est vraiment démesurée. La voici à côté de différents modèles :
Dans le détail, les dimensions donnent les valeurs suivantes :
Hauteur du guidon : 135 cm
Largeur du deck : 20 cm
Longueur du deck : 47 cm et 66 cm avec le repose-pied à l’arrière (repose-pied intégré au deck et non ajouté)
Hauteur du deck : 26,5 cm
Roues 11 pouces de type tout-terrain (avec pneus tubeless)
Largeur du guidon : 64,5 cm
Vous l’avez compris, la Ninebot ZT3 Pro est impossible à trimballer dans les transports en commun. Les 28,8 kg mesurés sont également une gageure à monter dans les escaliers. Deux contraintes qui excluent de facto certains utilisateurs potentiels.
Le phare diurne en X positionné juste au-dessus de la roue avant inaugure la nouvelle identité visuelle Ninebot et pas seulement. La puissance des Leds offre un éclairage à ras de sol idéal pour voir les aspérités de la route lorsque la nuit tombe. L’autre phare, logé sur le guidon, éclaire fort, mais de manière étroite.
Le crochet porte-sac est positionné un poil trop bas pour y positionner un sac à dos.
La finition est irréprochable, jusqu’au cache de protection du connecteur de charge. Le pliage a également été revu. Oubliez la potence décalée, celle de la ZT3 Pro est alignée au deck. Il y a toujours les larges poignées du guidon qui dépassent, mais au moins, c’est droit. Il n’y a malheureusement aucune prise pour la soulever. Un exercice que vous ne ferez pas tous les jours, puisque la trottinette frôle de quelques grammes la barre des 30 kilos.
Le repose-pied permet de réellement poser son poids dessus, puisqu’il fait partie intégrante du deck et permet de bien contrôler la trottinette en cas de wheeling.
Conduite : c’est pointu, affûté et un peu bourrin
Lors de la présentation, la première question que nous avons posée était : qui va acheter la Ninebot Max G2, quand, pour le même prix ou presque, il peut repartir avec la ZT3 Pro ? Après 30 minutes de parcours, la ZT3 Pro s’est avérée nettement plus pointue et technique que la Max G2. D’ailleurs, le bon compromis serait la Navee S60 qui se positionne pile entre les deux et dont nous venons de publier l’essai.
De la puissance à foison
Commençons par les 1600W en crête pour 650 W en nominal. Certes, ce n’est pas une Nami Burn E ou une Teverun 7260R (la ZT3 Pro n’a pas vocation à taper un 120 km/h, débridée sur piste privée), mais ça tire sur les bras. Activez le mode Boost et vous serez propulsés vers l’arrière. De quoi sortir très (trop ?) facilement un wheeling. Il faudra évidemment porter un casque (au minimum), mais les acrobaties sont d’une facilité déconcertante.
Ninebot a intégré un mode « Boost ». Pour l’activer, il suffit de de maintenir la gâchette d’accélération enfoncée , puis de presser et maintenir les manettes de freins enfoncées pendant 3 secondes. L’écran clignote, « Boost » s’affiche sur l’écran et à vous le démarrage à fond : 1600W sur la roue arrière. Ce boost se désactive automatiquement après 7 secondes, sachant qu’il en faut 3 pour atteindre les 25 km/h.
Pour éviter de partir en burnout, Ninebot a intégré un contrôle de traction (solution déjà intégrée à d’autres modèles, dont la Max G2). La fonction est désactivable si vous souhaitez vous amuser. Nous validons cette liberté offerte. Dans les faits, le système fonctionne correctement et surtout, s’avère efficace. Sur sol glissant, c’en est presque impératif. Sur la terre ou en tout-terrain, c’est indispensable. Rappelez-vous, ce sont 1600W qui sont envoyés à la roue arrière tout de même. L’accélération est alors moins fulgurante, mais plus sécurisante.
Il existe toutefois différents modes de conduite, qui rendent l’accélération nettement plus douce et progressive. Le mode Eco plafonne à 15 km/h quand le mode Drive pousse jusqu’à 20. Malheureusement, les vitesses max ne peuvent être augmentées (mais peuvent être diminuées). Dommage, car le mode Drive qui pousse à 25 km/h serait idéal pour les novices.
Des suspensions de cross à grand débattement
Les suspensions sont bien calibrées, quoiqu’un tantinet souples. Elles sont conçues pour le hors-piste. Le débattement de 145 mm à l’avant n’est pas de trop. À l’arrière, l’amortissement est confié à une suspension centrale massive.
Sauter les trottoirs, même hauts de 30 cm est d’une facilité déconcertante. Les roues en 11 pouces rendent le franchissement d’obstacles moins périlleux. Avec un rider de 100 kg, la butée n’a été atteinte que pour 45 cm de hauteur (à ne pas reproduire chez vous, ou avec un casque et après avoir bien pris en main la bête et souscrit à une assurance).
Nous sommes passés dans certains nids de poule impossibles à franchir avec des roues de 10 pouces sur des trottinettes non suspendues. Sur ce point, la ZT3 Pro est douée. Ça reste une trottinette, mais l’effet de levier est modéré et elle encaisse fort bien les trous de chaussées abîmées.
Un freinage trop mordant qui rend l’ABS indispensable
Tout ceci est à associer à des freins à disque à câble. Un pour l’arrière et un autre pour l’avant. Tous deux aidés par le freinage magnétique qui offre deux niveaux (faible et normal). Point d’hydraulique ici (pour 699 euros, il ne faut pas rêver), mais des étriers à mono piston très mordants. Trop mordants d’ailleurs, puisque les blocages de roues sur sol gras ou mouillé sont systématiques, peu aidés par des pneus à petits crampons. Sur sol sec, ils sont fréquents, trop fréquents. C’est en cela, que la ZT3 Pro n’est pas à mettre entre toutes les mains (puis en plus, ça pousse).
Ninebot s’est penché visiblement sur la question et a intégré à la ZT3 Pro deux aides à la conduite presque nécessaires : le contrôle de traction (vu plus haut), déjà expérimenté sur d’autres modèles et l’ABS. Et ça fonctionne. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, ça fonctionne super bien. L’ABS évite à la roue arrière de déraper (celle à l’avant étant impossible à bloquer malgré nos efforts).
Au fait, les contrôles de freins sont inversés. La poignée de droite contrôle l’arrière et celle de gauche contrôle l’avant. La ZT3 Pro mime les motos et non les vélos. Après tout, il s’agit d’un EDPM.
Afin de terminer ce paragraphe sur le freinage, la ZT3 Pro nécessite de bien positionner son corps et répartir son poids. D’ailleurs, le repose-pied à l’arrière, intégré au châssis, est une aide précieuse pour avoir la meilleure stabilité possible. Nous nous sommes plu à déraper, glisser et même réaliser quelques stoppies. Mais pour le commun des mortels, c’est trop. Bref, il faudra faire preuve de vigilance (et de retenue) au guidon.
Nous avons mesuré les distances de freinage sur sol sec, lancé à 25 km/h, avec 100kg sur la trottinette :
– 3,5 m en utilisant les 2 freins
– 4,5 m en utilisant le frein avant uniquement
– 5 m en utilisant le frein arrière seulement
Des aptitudes tout-terrain en retrait
La ZT3 Pro revendique une garde au sol plus haute que la moyenne et des pneus à crampons. Ces pneus ont un coût, puisqu’ils adhèrent mal sur de l’asphalte en cas de freinage. Nous nous sommes dit que c’était pour le bien des balades hors des sentiers battus. Ça passe.
L’expérience en hors-piste est moyenne. L’antipatinage fait correctement son travail, mais ça glisse trop. Les pneus peinent à adhérer, même sur de la terre à peine humide. Les suspensions donnent tout ce qu’elles peuvent, mais les retours sur la potence sont peu rassurants. Sur le sable et les sol caillouteux, c’est un jouet. Tout se passe à merveille même si, là encore, la roue arrière a tendance à bloquer, libérée rapidement par l’ABS. Concrètement, les sorties hors des sentiers battus seront faciles et les suspensions permettront de garder le contrôle et de ne pas subir les chocs de plein fouet. Reste qu’il s’agit d’une trottinette et non d’un vélo. Ne vous attendez pas au comportement d’un VTT.
La trottinette est certifiée IPX5. Nous avons donc procédé à nos tests d’étanchéité : la trottinette a essuyé deux jolies tempêtes sur le balcon. Elle a aussi roulé dans de grosses flaques d’eau. Aucun problème à signaler : pas de buée dans le feu ou dans l’écran, d’eau infiltrée dans le deck ou de moteur faisant un bruit étrange. Le test est validé (mais il est rare de voir des modèles échouer aujourd’hui).
Autonomie : 49 km réels
Ninebot annonce 50 km en mode sport. Nous avons réalisé 46 km lors de la première mesure, en 3 trajets, en intégrant 4 départs boostés.
Pour la seconde tentative, nous avons réalisé 52 km d’une traite, avec un rider de 100 kg, par 20 °C et temps sec. Le trajet comporte une montée s’étendant sur 3 km avec le dernier kilomètre à 15 %. Évidemment, ce qui monte redescend et lors de la descente, nous avons laissé le freinage régénératif faire son travail. Dans ces conditions, nous avons parcouru exactement 51,7 km. Notez cependant que la puissance baisse drastiquement lors des derniers 10 %. La Vmax plafonne à 23 km/h et descend à 17 km/h sur de légères montées.
Afin de vérifier le kilométrage minimum faisable en une seule charge, nous avons poussé le test plus loin, avec des montées et descentes raides, une dizaine de fois, et un parcours arborant beaucoup de dénivelé. L’autonomie a été de 32 km. Vous ne pourrez pas faire moins que 32 km en une seule charge et sans les pires conditions possibles.
C’est colossal pour une trottinette à ce tarif. Mais ce n’est pas le seul bon point. Car Ninebot livre un chargeur rapide 4A. Pour une batterie de 596 Wh, cela donne les évolutions de charge suivantes :
11 h 34 : 7 % (départ)
12 h 9 : 32 %
12 h 55 : 55 %
13 h 34 : 77 %
14 h : 90 %
14 h 27 : 96 %
14 h 59 : 99 % (3h30 depuis le lancement de la charge)
Vous récupérez 70 % de batterie (soit 35 km d’autonomie) en 2 h. Et, si besoin, 15 km en une demi-heure. Le temps de charge, qui est un gros point faible des EDPM et de beaucoup de vélos électriques, est ici réglé.
Ninebot a ajouté des fonctions pour augmenter la durée de vie de la batterie. La première est la charge programmée. Elle permet, si vous chargez à fond, de régler l’envoi d’électrons pour que la charge se termine pile au moment de partir. Un moyen de limiter un peu l’effet négatif des charges à 100 %.
L’autre fonction est la limitation de charge. Il vous est possible de limiter la charge entre 80 % et 100 %, selon l’incrémentation de votre choix. Si ces deux fonctionnalités sont louables, il est rare de ne pas charger à fond une trottinette. Ne serait-ce que pour le « au cas où ». Mais leur intégration est bienvenue.
Côté finance, la recharge complète revient à 0,15€. Cela donne un coût de 0,30€/100km.
Une application complète
Ninebot n’a de cesse de mettre à jour son application. À chaque nouveau produit, le constructeur en profite pour revoir certains détails. L’interface est assez enfantine et un peu confuse dans son design. Mais les fonctionnalités sont nombreuses, intéressantes et surtout, fonctionnelles, ce qui est un peu le job des fonctionnalités, nous sommes d’accord.
Find My (Localiser) d’Apple : la fonction Localiser fonctionne effectivement bien. Tout se déroule sur l’application (paramètres => localiser => oui). Puis vous l’ajoutez comme objet dans l’application « Localiser » d’Apple. Dommage pour les utilisateurs d’Android. Cette fonction se démocratise puisqu’on la retrouve également sur la Xiaomi Scooter 4 Pro II et la Navee S65.
Enregistrement de trajet : un classique qui offre un historique des trajets.
Allumage à distance : difficile d’y trouver un intérêt. Il n’y a pas de préchauffage de l’habitacle possible. Plus sérieusement, c’est utile si vous souhaitez prêter votre trottinette à quelqu’un et que celle-ci est verrouillée.
Allumage sans contact par smartphone : il est possible de déverrouiller la trottinette avec son smartphone dans la poche. Il faut pour cela activer cette fonction dans les paramètres et activer le verrouillage de la trottinette.
Tableau de bord (ou compteur) : identique à celui de la Ninebot G2 et utilise le gyroscope pour diminuer l’effet de flou lors des vibrations.
Le compteur mériterait une police d’écriture plus grande et un design plus attrayant (il est moche). Ainsi qu’une personnalisation (couleur, typo).
Un bouton personnalisable est… programmable. Il offre le choix entre l’activation du mode marche ou du démarrage en côte.
Le démarrage en côte, parlons-en. Il permet à la trottinette de tenir en pente sans avoir besoin d’enclencher les freins. Malheureusement, il faut tout de même patiner pour la lancer, ce qui peut s’avérer très compliqué si la pente est raide, compte tenu des 30 kg de l’engin.
La fonction verrouillage : activable à distance, elle nécessite un code qui s’effectuera via le module de commande. Le mode d’emploi parait compliqué, mais c’est, en réalité, très simple. Il y a deux types de codes possibles : numérique ou directionnel.
L’application est donc riche. Elle offre une solution de verrouillage et de traçage gratuite. Enfin, sous réserve de posséder un iPhone.
Verdict : le véhicule urbain à part entière
Ninebot signe une trottinette remarquable. Exigeante, mais remarquable. L’autonomie est la meilleure de la catégorie, les suspensions sont les meilleures de la catégorie, la finition est exemplaire, le confort d’utilisation appréciable, le design réussi. Même l’application n’a pas montré le moindre bug durant l’utilisation. Pour les 699 euros demandés, c’est probablement le meilleur rapport qualité-prix-performance du marché de la trottinette. Mais c’est surtout une alternative au scooter et au vélo, comme véritable véhicule urbain, avec une autonomie de 50km (qui permet un rayon d’action de 25 km aller et retour). Le coût au kilomètre est dérisoire et l’entretien inexistant. Si besoin, le constructeur propose un catalogue de pièces détachées OEM (un très bon point).
Reste le poids, conséquence logique de cette combinaison de qualité, qui empêche de la porter dans les escaliers et de l’amener dans les transports en commun et un comportement un tantinet joueur et sportif.
Découvrir le Segway Ninebot ZT3 Pro E
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Bonjour,
Est-elle homologuée en France ?
Merci
Oui. En France, seule la vitesse est limitée à 25 km/h. Aucune limite de puissance. Elle est hologuée et assurable.
Bonjour elle a l’air vraiment genial je voulais savoir comment la debrider car je possede un terrain privé pour amuser un peu . Merci et bonne soirée
Ce n’est pas faisable.
Argh… encore 3 semaines d’attente avant de recevoir les 2 zt3 commandées. Les casques offerts sont arrivés. Je compte y ajouter des intercom. Je suis impatient après la lecture de votre test…
Ça fait plaisir ^^
Vous restez très discrets sur le débridage et vous ne parlez pas de l’assurance obligatoire pour circuler sur la voie publique.
Il n’y a pas de débridage possible. Mais sur la G30 Max, modèle populaire, des fans ont développé une application avec un firmware spécial pour le réaliser. Peut-être que ça arrivera sur ce modèle. Si c’est le cas, vous perdez :
– La garantie
– Le droit de l’utiliser sur voie publique
– La possibilité de l’assurer (enfin, la couverture de l’assurance que vous aurez payée).
Nous n’avons pas précisé qu’il fallait être assuré effectivement. Nous l’ajouterons la prochaine fois.
Test génialissime et super complet !!
J’ai actuellement la navee S60 justement je l’aime beaucoup mais le point qui fait que j’ai envie de m’en séparer ce sont ses suspensions qui ont l’air inexistante. Par exemple par chez moi les routes sont un peu défoncé, ça secoue à tout va ça tremble dans la tête c’est horrible, comme s’il n’y avait pas de suspension, c’est limite dangereux même parfois.
Du coup pour avoir testé les trois, j’imagine que tu mettrais en première position niveau confort de suspension la max G2 ? Et concernant les suspensions de la zt3 pro sont t’elle beaucoup plus agréable que la Navee s60 d’après toi ou pas très loin ? Genre dans mon cas dans mes rues ça tremblerait encore ou ce serait totalement gommé par les suspensions ?
Merci 🙂
Merci <3
La G2 est une sorte de berline. La force tranquille et confortable. Bien que la suspension à l'avant soit un peu raide.
La Navee est celle que j'utilise au quotidien. Et elle est effet raide, mais homogène.
La ZT3 Pro est assez souple. Donc c'est probablement la plus adaptée à des creux récurrents. La G2 va bloquer au niveau de l'avant quand la ZT3 va passer. les roues en 11 pouces apporte aussi un confort supplémentaire.
Super Test ! et ça a l’air d’être une superbe trot, je pèse 105 KG, vous pensez que ça peut le faire dans les grosses pentes ? 20%
Bonjour je l’utilise depuis 3 jours c’est un truc de ouf j’ai été un peu choqué en déballant la bête par sa taille une accélération qui vous tire sur les bras une suspension impeccable en fait à part le poids tout est nickel. le test reflète parfaitement la machine c’est la rolls de la trotte pour ce prix j’e suis dingue !!!
Bonjour.
c’est un super test..je viens d’acheter la ZT3 pro et je suis très étonnée de voir que je ne peux pas effectuer de démarrage sans poussette. Avez-vous une solution ?merci
Bonjour, merci pour ce test complet j’hésite actuellement entre la ZT3 ou la g2 master, le mono moteur me fait peur peut être moi qui me fait une fausse idée. J’ai pas mal de dénivelé et de petit chemin, forêt etc par chez moi pour aller au travail, des avis ? Merci beaucoup