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3 raisons de jouer à Armored Core VI si vous avez aimé Elden Ring

FromSoftware redonne vie à l’une de ses licences culte, l’occasion idéale de découvrir cette pépite méconnue du grand public.

Vous êtes en manque d’Elden Ring et l’attente de son extension devient insoutenable ? C’est votre jour de chance, puisque FromSoftware est de retour sur le devant de la scène avec un titre tout aussi exigeant. Loin de la fantasy à laquelle le studio nous a habitués ces dernières années, le voici de retour avec Armored Core VI : Fires of Rubicon, la suite tant attendue à une licence d’anthologie. Avant de trouver son succès planétaire en la formule des Souls, FromSoft jouait plutôt du côté des robots géants.

Le premier opus d’Armored Core faisait son apparition sur PlayStation le 1er juillet 1998 en Europe. S’en sont suivis près de 18 épisodes, entre opus principaux et autres spin-offs. Sans compter des versions mobiles dispensables, Armored Core VI devient donc le 19e jeu de cette vaste franchise qui est pourtant restée discrète dans nos vertes contrées. Grâce à la nouvelle notoriété du studio, ce jeu de mechas s’offre un nouveau rayonnement pour convaincre une nouvelle audience de joueurs. Si Armored Core n’est pas un Souls à proprement parler, le gameplay du jeu est infusé de l’excellence et de l’exigence de ses pairs, de quoi passionner les fans d’Elden Ring.

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Des affrontements rigoureux

Qui dit FromSoftware, dit batailles épiques à nous en faire perdre les nerfs. Si cette réputation s’est avant tout forgée avec la montée en popularité des Souls, elle concerne également le petit dernier du studio. Ne vous fiez pas aux apparences d’Armored Core. Ce n’est pas parce que l’on contrôle un robot massif à la mobilité surprenante que les combats consistent en de simples pressions de boutons. C’est même tout le contraire. Pour survivre aux dangers des terres désolées de Rubicon, il faudra maîtriser les mouvements et armements du mecha à la perfection.

Crédits : FromSoftware

Tout comme Elden Ring et ses prédécesseurs, Armored Core VI impose la gestion d’une barre d’endurance afin de pouvoir utiliser esquives et autres dash à bon escient. Si cette variable suffit déjà à complexifier les batailles contre les ennemis aériens notamment, d’autres restrictions viennent s’y ajouter. Les armes disposent toutes de munitions limitées qu’il faudra donc ménager jusqu’à l’affrontement final de la mission en cours. Si cela ne suffisait pas, l’armure de combat est également vulnérable et pourrait se retrouver incapacitée face aux attaques les plus brutales. Il convient alors de jauger la barre de vacillement et de laisser le mecha se reposer après un choc puissant afin d’éviter un temps mort de quelques secondes qui peut s’avérer fatal.

La personnalisation

Tout comme Elden Ring impose de choisir une classe, des compétences et des équipements pour mener l’aventure à bien, Armored Core VI invite le joueur à adapter son robot à chaque situation. L’interlude entre les missions est alors l’occasion de personnaliser l’arsenal dans les moindres détails. Bras gauche, bras droit, épaules, tête, jambes et autres modules de mouvement : les possibilités sont presque infinies pour un gameplay toujours plus raffiné. Il faudra bien souvent tester de nombreuses combinaisons avant de trouver l’attirail parfaitement adapté à un combat de boss.

Crédits : JDG / FromSoftware

En plus de cette personnalisation à outrance dédiée aux modifications de gameplay, le titre profite également d’une vaste sélection d’outils purement cosmétiques. Encore une fois, l’ensemble est adapté aux différents besoins des joueurs. Les joueurs souhaitant changer quelques couleurs et motifs sans perdre de temps peuvent profiter de modèles prédéfinis. Cependant, les artistes peuvent compter sur un mode de création d’emblèmes pour donner vie à leurs idées les plus farfelues : cela nous rappellerait presque les heures passées à forger des logos sur Call of Duty Black Ops. Ces images faisant office de stickers peuvent être posées n’importe où sur l’armure pour des designs au détail près. Un utilisateur s’est par exemple amusé à créer un robot Kirby pour le moins intimidant.

Une structure addictive

Mauvaise nouvelle pour les aficionados de mondes ouverts : Armored Core VI : Fires of Rubicon n’en est pas un. Mais attention, sa structure plus linéaire n’affecte en rien l’intérêt de son gameplay. Là où les Sans-Éclats prenaient plaisir à découvrir les moindres recoins de l’Entre-terre sans savoir quand s’arrêter, les soldats de Rubicon seront servis en missions addictives. Avec près de 200 missions à réaliser au long de cinq chapitres distincts, l’adrénaline ne cesse de nous captiver grâce à un rythme effréné.

Crédits : FromSoftware

Tandis que certains niveaux invitent à tirer sur tout ce qui bouge, d’autres nécessitent une approche plus réfléchie afin de récolter des données en évitant la destruction du mecha. Comme lors de la prise en main d’Elden Ring, la courbe de progression sur Armored Core est motivante et pousse à revenir à l’assaut. C’est en essayant encore et encore que l’on parvient à maîtriser les outils que le jeu nous offre. Si l’expérience peut se montrer déroutante aux premiers abords (surtout face au premier boss véritablement sans pitié), c’est avec un peu de persévérance que cette pépite de FromSoftware dévoile l’entièreté de son charme.

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2 commentaires
  1. Non,si tu veut juste finir le jeu,tu peut tracé ta route avec des pièces que t’a très tôt,mais si tu les veut toute,va falloir farmé un peut.
    par contre 200 missions, faut faire le jeu avant de pondre ça xD y’en à une quarantaine

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