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Confinement : 5 jeux de société pour jouer à quatre, à cinq ou à encore plus de joueurs

Pour les grandes familles, les colocations nombreuses ou les groupes d’amis étendus, le Journal du Geek vous propose une sélection de cinq jeux de société parfaitement adaptés aux groupes de quatre joueurs et plus.

Crédits : Libellud.

Nombreux sont les jeux de société disponibles pour des groupes entre deux et quatre joueurs. Trouver de quoi jouer au-delà de ce nombre, sans compter sur les classiques, n’est pas une tâche si aisée. Le Journal du Geek vous propose donc une sélection de jeux de société d’univers et de styles divers et variés capables d’inclure jusqu’à au moins six joueurs.

Si vous n’êtes que deux joueurs, le Journal du Geek vous conseille 5 jeux de société.

Concept

Crédits : Repos Production.

Concept est un jeu de devinettes sans mots. À tour de rôle, les joueurs – à partir de quatre – tentent de faire deviner des noms, des actions ou même des expressions uniquement par des associations d’idées. Pour cela, le joueur doit exploiter du mieux qu’il peut les images et les symboles sur le plateau, mais aussi les interprétations possibles des autres joueurs. Cela paraît simple, mais allez faire deviner “il ne faut pas pousser grand-mère dans les orties” à n’importe qui du premier coup ! Si le joueur n’arrive pas à se faire comprendre, il passe la main au suivant qui doit corriger son travail ou le reprendre de zéro. Le principe de Concept lui permet d’offrir des heures de rejouabilité ainsi qu’autant de prises de tête que d’éclairs de génie.

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King of Tokyo

Crédits : Iello.

Si vous préférez plutôt exprimer votre bestialité et détruire toute une ville, alors nous vous conseillons plutôt King of Tokyo. Deux à six joueurs incarnent des “kaijus”, des monstres gigantesques, dont le seul objectif est d’être le roi des monstres et de faire la ville de Tokyo votre territoire. Grâce à une combinaison de pouvoirs et des lancers de dés, chaque joueur a la possibilité de blesser ses adversaires ou d’accumuler des points de pouvoir. Le dernier survivant ou le premier a accumulé assez de points de pouvoir, en restant roi de Tokyo, l’emporte. Avec son univers qui rappelle évidemment les films Godzilla ou King-Kong, King of Tokyo est parfait pour les jeunes joueurs mais aussi pour les joueurs aguerris avides de combiner les pouvoirs et d’obtenir des victoires écrasantes.

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Room 25

Crédits : Matagot.

Jusqu’à six joueurs sont plongés dans un complexe mystérieux peuplé de pièces piégées. Leur objectif est d’en sortir le plus vite possible et de s’en sortir indemne. Mais, parmi eux se cache un individu qui ne veut qu’une chose : les empêcher d’en sortir vivants. Comme certains l’auront compris, Room 25 est une sorte d’adaptation ludique de la série de films d’horreur, Cube. Seulement, la tension n’est plus à l’écran, mais littéralement entre vos mains. Dans ce jeu de plateau, chaque joueur incarne un personnage avec des capacités spécifiques et un nombre d’actions limitées. Les joueurs vont donc devoir se coordonner pour rentabiliser leurs mouvements tout en évitant les manipulations de la taupe meurtrière parmi eux.

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Codenames

Crédits : Iello.

Jouer un kaiju, c’est fait. Jouer à une victime de Cube, c’est fait. Dans Codenames, jusqu’à huit joueurs se partagent en deux équipes d’espions. Un joueur de chaque équipe va devoir faire deviner une série de mots, placée sur la table de jeu, en invoquant d’autres mots à ses partenaires. Certains mots seront à deviner par une équipe, mais pas par l’autre – et vice-versa. Attention, la nuance est importante, car trouver le mot voué à l’autre équipe handicape la sienne. Les joueurs qui parviennent à deviner le plus de mots avant l’autre équipe remporte la partie. Sans payer de mine, Codenames possède des contraintes bien équilibrées qui rendent les parties pas si faciles qu’il n’y paraît et lui octroie surtout une rejouabilité solide.

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Mysterium

Crédits : Libellud.

Un groupe de médiums sont réunis dans un manoir pour y résoudre le meurtre d’une pauvre âme qui hante le lieu et vous transmet des visions étranges. Seulement voilà : chacun (parmi, deux à sept joueurs) va devoir interpréter des visions spécifiques correspondant à un ensemble de personnes-lieu-objet relatif au meurtre toujours différent des autres. Une fois tous les indices rassemblés (car si un seul médium échoue, le jeu s’arrête et le mystère demeure), chaque médium doit ensuite parier sur ce qu’il pense être l’ensemble incarnant le véritable meurtre. Accompagné de son packaging magnifiquement bien pensé et illustré, Mysterium requiert une bonne capacité d’imagination mais, dans le même temps, il l’enrichit. Surtout, il convoque merveilleusement bien la connaissance qu’ont les joueurs des uns des autres et, en particulier dans le choix minutieux des visions distribuées par le fantôme à chaque joueur, la manière qu’ils ont de communiquer entre eux. Un vrai challenge certes mais dont les groupes – membres d’une famille ou amis – ressortent véritablement grandis.

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Mentions honorables

  • Seven Wonders : Le classique constamment réinventé. Jusqu’à sept joueurs s’affrontent dans une course au progrès : au terme de trois phases de jeu (ou âges), celui à avoir construit la cité capable de lui rapporter le plus de points de victoires l’emporte. Le jeu s’enrichit surtout avec les nombreuses extensions disponibles comme Leaders, qui rajoutent des figures historiques puissantes à attachées à votre cité, ou Armada, qui installe une dimension navale à la construction de votre cité. Pour les groupes de seulement deux joueurs, une version en duel existe aussi.
  • Timebomb : La grand horloge de Londres, Big Ben, est menacée d’un attentat mené par le professeur Moriarty. Sherlock Holmes et ses acolytes vont devoir se presser pour désamorcer la bombe avant qu’il ne soit trop tard. Dans ce jeu, de quatre à huit joueurs, non seulement la pression d’une bombe prête à exploser, mais aussi le mystère sur l’identité des joueurs (terroristes ou démineurs) installent une tension constante.
  • Linq : Comme dans le jeu précédent, certains joueurs doivent garder leur identité mystère mais ils doivent aussi se reconnaître. Un peu à l’instar de Codenames, cité plus haut, tour à tour les joueurs rebondissent sur les mots des autres : les uns veulent identifier les espions tandis que les espions veulent se reconnaître eux-mêmes tout en brouillant les pistes. Entre quatre et huit joueurs, les combinaisons sont nombreuses et la variété des mots permet une variabilité solide.
  • Complots : Après des espions et des terroristes, que diriez-vous de jouer des assassins ? Dans Complots, entre deux et huit joueurs se confrontent dans un jeu de bluff et de coups fourrés pour rester le dernier survivant.

 

 

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5 commentaires
  1. Se regrouper à 5 ou plus pour jouer à ces jeux donc….. En plein confinement……
    Nan mais vous êtes sérieux ?
    Ben oui tiens attends je vais organiser une game night !
    Ça tombe bien y a un barrage de police en bas de chez moi, je vais déjà inviter les 4 là et pis demander à mes voisins !!!!
    Des fois je te jure……..

  2. Pour les grandes familles, les colocations nombreuses ou les groupes d’amis étendus…

    Désolé pour toi si tu vis seul durant ce confinement, ce n’est pas le cas de tout le monde.

  3. Super pour les familles ! On peut même y jouer en visio, j’ai joué à Code Names et Code Names image avec mes proches en visio, c’était vraiment bien !

Les commentaires sont fermés.

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