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[Sélection] Les 40 jeux qu’il vous faut absolument sur Switch (histoire que la console ne manque pas d’intérêt)

Le saviez-vous ? Il y a, au moment de l’écriture de ces lignes, 994 jeux listés dans le catalogue de la Switch. En seulement une année d’existence. À titre de comparaison, la Wii U a mis cinq ans à atteindre les 752 jeux. Pour le succès qu’on lui connaît. Rien que sur l’e-shop français, ce ne sont pas moins 623 titres qui peuvent être téléchargés sur la console hybride par les joueurs. Oui, c’est beaucoup. On s’est donc dit qu’on allait faire un petit tour dans le magasin en ligne de Nintendo, afin de vous dénicher tous les jeux qui méritent amplement de figurer dans votre bibliothèque. Rogue-like, puzzle-game, jeu de course, plateformers, on a fini avec une liste de *tousse* près de 40 *tousse* jeux sur les bras. Mais au moins, il y’en a pour toutes les bourses, et presque tous les goûts.

Les Cadors de la Switch

On commence cette sélection de jeu par un segment facile, à savoir les incontournables de la console hybride. Tous ces titres qui justifient à eux seuls de passer à la caisse et de braver les désormais rares ruptures de stock. Si vous possédez déjà la Switch, il est même fort probable que vous en ayez déjà un ou deux dans votre bibliothèque. On veut bien entendu parler de l’excellent Legend of Zelda : Breath of the Wild (notre testsorti en même temps que la console le 3 mars 2017. Avec cet épisode, Nintendo a largement prouvé qu’il était capable de réinventer sa licence, en empruntant et innovant à droite et à gauche, tout en gardant l’essence qui a fait le succès de la saga.

Dans l’optique où les jeux de plateformes sont plus votre tasse de thé que les RPG, il nous paraît inconcevable aujourd’hui de posséder une Switch et de passer à côté du très bon Super Mario Odyssey (notre test). Moins flagrante que BotW, la relecture de la saga par Nintendo n’en est pas moins efficace. Super Mario Odyssey continue, 22 ans après Super Mario 64 (le titre dont il s’approche le plus) à donner des leçons en matière de level design et de gameplay.

Enfin, même s’il ne nous a pas entièrement convaincus, Mario + Lapin Crétin : Kingdom Battle (notre testreste un titre qui vaut le coup d’oeil, ne serait-ce que parce qu’il propose une stratégie en temps réel dans la droite lignée de X-Com. Un genre qui évite pour le moment poliment la console hybride de Nintendo.

Les plateformers qui vous cassent les genoux

Si vous éprouvez toutes les difficultés du monde à boucler Super Mario Odyssey, alors vous devriez passer votre chemin. Là on pénètre sur le territoire des jeux de plateformes hardcores. Ces titres d’une difficulté incroyable, mais toujours juste et intelligente. Le genre de jeu qui vous fait transpirer, réviser votre lexique d’insultes en moins de temps qu’il n’en faut pour les dire, et qui risque de vous coller une tendinite, mais qui vous poussera à en redemander toujours plus.

C’est notamment le cas de Flinthook, dont le portage d’excellente facture sur Switch à la fâcheuse tendance d’éprouver vos pouces pour peu que vous vous y adonniez avec les Joy-Con. Une manette Pro est donc recommandée pour jouer à ce rogue-like à grappin en toute sérénité (du moins au début).

Quitte à s’intéresser aux platformers pour joueurs / joueuses aguerri(e)s, autant parler du roi du genre, le bien-nommé Edmund McMillen. Que ce soit avec Super Meat Boy ou The End is Nigh, tous deux dispo’ sur la Switch, Edmund McMillen a fait montre d’un sens du level design intelligent, afin de pousser le joueur à se dépasser et y retourner. Le tout bourré de secrets et fort d’une sérieuse rejouabilité. Et comment ne pas mentionner la géniale bande-originale de The End is Nigh signée Ridiculon ?

Puisque l’on en est à parler musique, terminons avec Celeste et sa magnifique BO, fruit des talents artistiques de Lena Raine. Sorti au tout début de l’année, Celeste cache un gameplay et un level design d’une perspicacité rare sous une plastique toute choupi en pixel art. Chaque monde dégaine une nouvelle manière d’aborder la multitude de niveaux qui les composent, et l’exploite ingénieusement de bout en bout. Et ces quelques lignes ne rendent malheureusement pas hommage à la virtuosité avec laquelle Celeste parvient à distiller son propos aussi bien dans sa mise en scène que dans sa jouabilité.

Parce que les amis c’est surtout fait pour se foutre sur la gueule

Diane de Beausacq a dit un jour (à moins que ce ne soit un biscuit de bonne aventure) : “Pour faire un bon ennemi, prenez un ami : il sait où frapper.” Cela tombe bien, des amis vous en avez plein, et la Switch dispose de quelques moyens pour les transformer en adversaires. À commencer par le classique mais efficace Mario Kart 8 Deluxe. Les quelques possesseurs de Wii U seront en terrain connu puisqu’il s’agit du même épisode que celui sorti en 2014, agrémenté toutefois de tous les DLCs parus depuis.

À défaut de disposer d’un jeu de baston correct (il y a bien Ultra Street Fighter II : The Final Challengers, mais il n’est pas de première jeunesse), les adeptes de la castagne entre compagnons pourront toujours régler leurs différends à coup de bazooka, super mouton, sainte grenade et bombe banane sur Worms W.M.D.. Surtout que pour la première fois, les irascibles et foutraques vers de Team 17 ont accès à tout un tas de véhicules allant du tank à l’hélicoptère pour assouvir leur soif de meurtres.

[nextpage title=”Donjon, cuisine et Hole-in-one”]

Parce que parcourir des donjons encore et encore, ça ne vous fait pas peur

Alors autant les jeux de combat sur Switch, c’est le désert, la dèche, on se croirait sur les serveurs de Battleborn, autant les rogue-like, ce n’est pas ce qui manque. Et franchement, il y’en a pour tous les goûts.

Vous adorez la musique ? Prenez la file de droite et dirigez vous vers The Crypt of the Necrodancer, qui a fait de sa bande-originale, l’élément central de son gameplay. En effet la progression du joueur et des nombreux ennemis se fait littéralement au rythme de l’excellente BO électro de Danny Baranowsky.

Vous avez un autel dédié à Edmund McMillen dans votre salon ? En face de vous trône fièrement The Binding of Isaac : Afterbirth +. Riche d’un contenu colossal, entre ses centaines d’objets et de niveaux, qui lui confère une rejouabilité plus que solide, le rogue-like de tonton McMillen est le parfait compagnon pour oublier vos trajets ou votre attente chez le médecin.

Pour vous le second Amendement de la Constitution des États-Unis est la plus belle chose écrite par la l’Homme ? Sur votre gauche, vous pouvez apercevoir Enter the Gungeon, le bébé de Dodge Roll Games et Devolver. Ici, tout n’est qu’arme à feu. Que ce soit le donjon, dont les nombreuses salles donneraient des bouffées de chaleur à un lobbyiste de la NRA. Que ce soient les ennemis qui sont autant de cartouches et de munitions qui vous attaquent à l’aide de pistolets, fusil à pompe et kalashnikovs. Et surtout, que ce soit la grosse centaine de pétoires aussi géniales que débiles qui peut vous atterrir entre les mains.

Vous estimez qu’un rogue-like sans une difficulté corsée, c’est comme le film Gaston Lagaffe, absolument fade ? Dirigez-vous alors vers le stand Darkest Dungeon. Dès sa direction artistique hyper soignée et originale, le titre mêlant brillamment tactical et rogue-like vous met dans l’ambiance : vous allez souffrir , vous ne parviendrez pas à sauver tous vos héros et les rares survivants seront affligés par une multitude de troubles psychologique. À vous de bien réfléchir et de vous préparer intelligemment avant de vous lancer à l’assaut des horreurs qui se tapissent dans les tréfonds du donjon. Et tout ça pour quoi ? Un maigre butin qui sera dilapidé avant votre prochaine sortie, et probablement une ou deux infections graves quand ce n’est pas une dépression nerveuse.

Vous aimez la coopération, mais pas trop quand même

Contrairement à tous ces gens qui cherchent la moindre occasion pour se tirer la bourre avec leurs amis, vous chérissez les vôtres et n’avez qu’une envie : agir de concert pour construire quelque chose ensemble. Mais malgré toute votre bonne volonté, la tâche peut s’avérer ardue. Et au gré de la vie, les amitiés se font, se défont, se refont et surtout s’éprouvent.

Sur Switch, l’un des meilleurs moyens de tester les liens qui vous unissent, vous et vos amis reste CRAWL. Misant sur la coopération asymétrique, le beat them all biclassé rogue-like (décidément) de Powerhoof, disponible sur la console hybride depuis décembre 2017, met le joueur dans le rôle d’un héros devant parcourir les multiples salles d’un donjon. Face à lui, jusqu’à trois autres joueurs contrôlent les monstres et doivent impérativement lui mettre des bâtons dans les roues, et, dans le meilleur des cas, mettre fin à sa petite escapade à grands coups de décès et autres morts brutales.

Overcooked de son côté vous place vous et vos camarades dans la peau d’un chef cuisiner, dans ce qui doit probablement être les pires restaurants du monde. Car non content de devoir enchaîner rapidement la préparation des nombreuses commandes, vous devrez parfois subir les mutations du terrain  comme un séisme, les roulis d’un bateau pirate (oui), ou la cuisine entre deux camions à 130 km/h sur l’autoroute (oui, oui). Sans compter toutes les fois où le préposé aux soupes aura mis le feu à la cuisine, le plongeur aura oublié de faire la vaisselle, et le serveur aura jeté le plat à la poubelle plutôt que de l’envoyer en salle.

Pour résoudre ses 45 puzzles, Snipperclips : Les deux font la paire ne vous demandera pas d’avoir un bac +7 en ingénierie. Facile à prendre en main, il vous forcera simplement à faire preuve de coopération et coordination pour progresser. En effet, chaque joueur, jusqu’à 4, incarne un morceau de papier tout choupi-trognon. Pour compléter les diverses énigmes, vous pourrez vous monter dessus pour activer des mécanismes situés en hauteur, mais surtout vous superposer afin de vous découper pour obtenir la forme que vous voulez.

Parce que vous n’avez pas envie de (trop) vous prendre la tête

Connaissez-vous la définition de la folie ? Selon un pirate vivant sur une île perdue dans le Pacifique, il s’agit de refaire la même chose, encore et encore, en espérant que le résultat change. Sachant cela, vous vous rendrez vite compte que Burly Men at Sea est l’antithèse de la  folie. Minimaliste et adorable, le bébé du studio Brain & Brain vous fera revivre inlassablement la même aventure océanique de trois frères marins, mais en vous contant à chaque fois une histoire différente. Ou presque. Car comme dans la vie réelle, tout dépend de vos choix en fait.

Derrière son nom qui transpire Google Traduction par tous les pores, Cache mon jeu par maman raconte avec humour une scène que tous les joueurs / joueuses ont vécu un jour : la confiscation d’une console par les parents, et la tentative de la récupérer en douce qui s’ensuit. Une trentaine de niveaux durant, vous devrez redoubler d’observation et d’ingéniosité pour retrouver votre précieuse machine, sans vous faire attraper par votre sévère mais aimante mère.

Si la routine “métro, boulot, dodo” commence à vous peser, Stardew Valley vous envoie profiter de la sérénité de la campagne à moindres frais. C’est d’ailleurs le pitch du jeu, puisque vous héritez d’une ferme en ruine et décidez de plaquer la vie citadine pour la retaper. S’offrent alors à vous la tranquillité et les joies de la culture de la terre et tout ce que cette dernière implique. Et qui sait, peut-être parviendrez-vous à conquérir le coeur de l’un des nombreux célibataires du village voisin ?

On ne va pas vous le cacher, Night in the Woods, n’est pas des jeux qui plaisent à tous le monde. Les nombreux allers-retours et son rythme lent pourront en faire fuir plus d’un. Pourtant le jeu d’aventure 2D d’Infinite Fall cache en son sein une palanquée de personnages incroyablement humains (pour des animaux), ainsi qu’une écriture d’une rare justesse sur l’amitié, le temps qui passe et le début de l’âge adulte. Un titre qui jouera sans peine et sans se priver avec vos émotions.

En voilà une drôle d’idée ! Mélanger un jeu de golf et un jeu d’aventure. Mais Sidebar Games est de ces barmans talentueux et discrets qui vous invitent à leur faire confiance. Et le cocktail Golf Story qui vous semblait bizarre au début s’avère particulièrement bon. Ici, tous les problèmes se résolvent à coups de fer n°5, de bois n°3 et de putter. Un gang sévit dans la région ? Des nuisibles envahissent un green ? Un meurtre a eu lieu ? Attrapez un club de golf et à vous de trouver la solution. Avec ses airs de ressemblance aux premiers Mario Golf, Golf Story vous tiendra ainsi occupé une quinzaine d’heures dans une ambiance à la fois candide et drôle.

[nextpage title=”Sorcière, garçon-hibou et billard alternatif”]

Vous aimez les classiques, mais vous avez la rétine sensible

Dans un nouvel élan de “créativité” (qui a dit opportunisme commercial éhonté ?), une bonne partie des acteurs majeurs de l’industrie a décidé de ressortir ses vieilles gloires des années 80 – 90 des cartons pour leur offrir un petit lifting, et ainsi les rendre plus désirables à nos yeux bercés par la HD et l’UHD depuis près de dix ans. Quand ce n’est pas juste pour les rendre disponibles sur les machines actuelles et ainsi essorer un peu plus la licence.

Prenez Sonic par exemple. Cela fait près de 20 ans que le hérisson bleu est enfermé dans le Sonic Cycle (on le détaille par ici). Il aura fallu attendre l’amour et le talent d’un fan comme Christian Whitehead pour voir la mascotte de Sega quitter, le temps d’un épisode en 2D 16-Bits, cet infâme cercle vicieux. Car la prestation de Sonic Mania, deux décennies après Sonic & Knuckles, va au-delà du simple hommage à une époque révolue. Véritable joyau rétro, le plateformer intègre ce qu’il faut de nouveautés pour séduire les jeunes générations et offrir une nouvelle expérience aux vétérans de la saga. Sans parler de l’incroyable soundtrack qui habille le tout.

Ne vous attendez pas à voir du changement concernant le fond de Wonder Boy : Dragon’s Trap. Le gameplay ainsi que le level design n’a pas bougé d’un iota par rapport à celui de l’époque. En revanche, le boulot abattu par Lizardcube sur la forme est impeccable. La direction artistique est tout simplement sublime, en plus d’être portée par une bande-originale retravaillée qui fera des douceurs à vos tympans. Et rien que pour ça, le titre sorti à l’origine en 1989 sur Master System devrait titiller votre intérêt.

Je ne sais pas si vous en avez conscience, mais vous vivez dans un monde où deux des meilleurs beat them all de l’Histoire sont disponibles sur la Switch. Ce qui veut dire que depuis le mois de février, vous pouvez profiter du gameplay ultra nerveux et de l‘ambiance délirante de Bayonetta 1 & 2 partout avec vous. En attendant Bayonetta 3, exclusif à la Switch, vous auriez tort de vous priver.

Ces indés que l’on n’a pas su classer, mais ils sont biens et ç’aurait été dommage de ne pas en parler donc ils sont là

Il nous paraissait impensable de ne pas mettre les titres qui vont suivre dans notre sélection, tant leurs qualités sont grandes. Mais il aurait fallu créer une catégorie pour chacun d’entre eux, et comme l’article fait déjà trente kilomètres de long et qu’on en a perdu certains en cours de route, on a préféré les intégrer dans une section “fourre-tout”, sinon ça allait commencer à se voir.

On conseille donc aux amoureux de metroidvania de se jeter sur l’excellent et superbe Owlboy et le non moins intéressant Axiom Verge. Ils sont pleins de gros pixels, mais ce sont de beaux pixels.

Les aficionados du jeu de rythme trouveront leur bonheur avec Thumper, qui sous ses airs minimalistes et hallucinés cache un titre au rythme effréné qui pulvérisera les genoux de vos réflexes avant de partir en rigolant.

 

Les masochistes qui adorent avoir les mains moites et les yeux injectés de sang pourront constater à quel point le portage de Furi sur la Switch est bien fignolé. La fluidité n’a quasiment pas souffert (merci la baisse de résolution) et la prise en main est, à l’instar de Flinthook, plus agréable avec une manette pro (même si les Joy-Con font le café à court terme).  À vous donc les joies de vous faire rouler dessus par un boss rush exigeant lors de vos déplacements, le tout au son d’une BO génialissime composée par la crème de la scène synthwave (Carpenter Brut, The Toxic Avenger, Danger…).

Si c’est la survie qui vous fait vibrer, vous auriez tort de passer à côté de Don’t Starve, la petite pépite de Klei Entertainment sortie en 2013, et portée sur la console hybride de Nintendo au début du mois d’avril 2018. Difficile, parfois sans pitié, et surtout addictif, Don’t Starve est la promesse de longues heures de récoltes et de construction dans un environnement hostile, avant de mourir bêtement lors du premier hiver qui passe.

Ces jeux qui arrivent en 2018 et qu’il faut surveiller

Vous voilà bien embêté. Malgré la conséquente liste précédemment citée, vous ne parvenez pas à trouver chaussure à votre pied. Heureusement pour vous, la Switch a tout juste un an, et est loin d’être un flop comme la Wii U, ce qui veut dire que Nintendo et une armée de développeurs s’évertuent à étoffer le catalogue déjà bien fourni de la console hybride. Et comme nous le prouvent les trois Nintendo Direct tenus en début d’année, la feuille de route de 2018 est déjà toute tracée.

Indéniablement, le titre le plus attendu cette année est UndertaleDark Souls Remastered Super Smash Bros. Il faut dire que l’absence de jeux de combat commence à se faire sentir, ce qui assure au titre de pugilat maison de Nintendo un public conséquent et prêt à en découdre.

L’autre jeu qui n’aura aucune peine à trouver preneur cet été est Und… Mario Tennis Aces. D’autant que Nintendo ne s’est pas simplement contenté de gonfler le roster (notons tout de même l’arrivée de Chomp). De menus changements comme la durabilité de la raquette et une palette de nouveaux coups spéciaux sont également de la fête.

Si vous n’êtes pas un joueur PC mais que vous ne pouvez vous empêcher de jeter un oeil à l’actualité du monde indé, vous serez ravi de savoir que l’excellent plateformer biclassé rogue-like de Motion Twin, Dead Cells, va débouler dans le courant de l’année sur la Switch. De même que Hollow Knight, le metroidvania de 2017 signé Team Cherry, Hyper Light Drifter, le superbe action-RPG de Heart Machine sorti en 2016, Okami HD, revenu d’entre les morts l’année dernière. Sans compter Undertale, le petit bijou de Toby Fox paru en 2015.

Enfin, pour ce qui est des petits nouveaux, Adult Swim Games a su retenir notre attention le temps d’une bande-annonce en revisitant les règles du billard avec Pool Panic!. De leur côté, Sabotage et Devolver s’associent pour donner naissance à The Messenger, un plateformer d’action à la sauce 8-Bit qui fleure bon le Ninja Gaiden mâtiné de Castlevania.

 

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