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[Rétrospective 10 ans] Nos meilleurs souvenirs sur Xbox 360

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Ce matin du 2 décembre 2005, la Xbox 360 débarquait dans les rayons de toutes les bonnes crèmeries européennes. C’était il y a dix ans tout…

Ce matin du 2 décembre 2005, la Xbox 360 débarquait dans les rayons de toutes les bonnes crèmeries européennes. C’était il y a dix ans tout rond, et ça nous donne l’occasion aujourd’hui de revenir avec vous sur nos meilleurs moments avec la machine américaine.

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KocobeUn petit problème d’écran

Le jour de mes 20 ans, je reçus des mains de mes amis et de ma famille une Xbox 360 écarlate agrémentée de son Resident Evil 5. J’entrais de plain-pied dans le monde merveilleux des graphismes HD, moi qui ne possédais alors qu’une Wii et un petit MacBook bien incapable de faire tourner autre chose que The Binding of Isaac. Resident Evil 5 a beau avoir été une petite déception par rapport à ses illustres aînés, ses graphismes efficaces pour l’époque ont fait leur office. Toutefois, le jeune impressionnable que j’étais fut certes béat, mais également migraineux. Avez-vous déjà essayé de lire les tout petits textes inhérents aux jeux HD sur un écran cathodique vous ?

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MathieuLa belle histoire

La Xbox 360 était sortie depuis 2 ans déjà et mis à part Gears of War, aucun titre ne m’attirait vraiment. Pour être franc, ce n’était même pas ma console mais celle de ma petite amie qui ne s’en servait que pour jouer à Viva Piñata. Puis elle m’acheta un beau jour Fable 2. Je n’avais que très peu joué au premier épisode sur mon PC, mais l’univers d’heroic fantasy mélangé avec ce qui faisait la force des RPG de l’époque m’avait fortement plu.

Je me souviens encore de ce moment où j’ai lancé le titre. C’était un mercredi en fin de journée, je rentrais de l’université. J’ai tout de suite aimé le soft, l’univers développé, le character design et l’histoire qui nous était contée. Le système de combat, bien que classique, était très aisé à prendre en main et le système de méchant/gentil, bien qu’assez confus, était très original pour l’époque. J’ai complètement retourné le jeu et j’y ai passé des dizaines et des dizaines d’heures mémorables. Le troisième épisode qui sortira deux années plus tard me redonnera des sensations similaires, mais celles de cet opus resteront tout de même plus puissantes et resteront gravées dans ma mémoire de joueur. S’il y avait bien une raison de se procurer la 360 à l’époque, c’était pour Fable 2 !

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PierreL’art de la guerre

Gears of War… Ce jeu m’a poussé à acheter la console de Microsoft, à l’époque. Et je dois dire que ça en valait la peine. C’est comme si le jeu m’avait mis une droite, puis un uppercut, avant de me sauter dessus puis de me relever pour me remettre une châtaigne. Gears est simplement le meilleur jeu d’action auquel j’ai joué, et mon avis n’a pas changé. Campagne solo de fou furieux que j’ai refait 50 fois avec des amis et un multi complètement dingue qui réinventait le Team Deathmatch. Gears of War est l’un des jeux auquel j’ai le plus joué dans ma vie. Sans me vanter, j’étais même devenu un dieu du sniper au fil du temps, terrorisant les joueurs adverses qui n’osaient même plus murmurer mon nom. 10 ans après sa sortie, Gears of War se montre toujours aussi beau, moderne et punchy. D’ailleurs, si vous n’avez jamais joué à Gears et que vous avez une Xbox One, sachez que le remake sorti il y a quelques mois est une très bonne piqûre de rappel au sujet de la grande qualité du jeu/de la série.

HenriL’art de la guerre (bis)

Sans révolutionner le TPS, Gears of War avait réussi à redonner un gigantesque coup de fouet au genre. Il faisait donc partie de ces exclus qui ont compté pour l’histoire de la console, et ont permis d’écouler de nombreuses machines. Mais le deuxième épisode reste pour moi le plus emblématique de la saga. Premièrement, car il a réussi à supplanter son ainé en terme de graphismes, ce qui semblait difficilement possible, mais aussi car il a poussé la direction artistique au sommet. Certains niveaux comme les caves locustes n’ont aujourd’hui pas pris une ride. C’est ensuite le mode multijoueur qui a propulsé ce second épisode au sommet. Entre des Deathmatch enflammés à dix et le fameux mode Horde, il y avait de quoi s’éclater de longs moments. À condition bien sûr d’adhérer à cette magnifique boucherie.

[nextpage title=”Fabio, Killy”]

FabioLa curiosité

Que penser du fait que son studio préféré, celui dont les jeux ont bercé son adolescence, celui qui était pendant 10 ans un développeur exclusivement PC, fasse une soudaine et dangereuse incartade sur consoles, sur Xbox 360 précisément ? Ce studio, c’est Ensemble Studios, développeur de la série Age of Empires, série de RTS vendue à plus de 20 millions d’exemplaires au moment de la sortie d’Halo Wars. Pour dire vrai à l’époque, je ne savais pas trop quoi en penser, sinon que la curiosité – et mon amour pour le travail du studio – l’emporterait sur la réputation des précédents en matière de RTS sur consoles. Command & Conquer, Supreme Commander, autant de grandes séries PC qui se sont plantées sur consoles, la faute à des contrôles pas vraiment adaptés (pour rester poli). Mais là, c’était Ensemble Studios, et c’était l’univers séduisant d’Halo. Pas fou, je me rappelle avoir fait des pieds et des mains pour faire acheter Halo Wars à mon voisin, plus habitué aux Gears et autres shooter nerveux. La suite, est plus floue. Je me rappelle avoir passé quelques soirées chez lui, essayant de m’auto-convaincre que c’était une avancée incroyable et que la stratégie en temps réel pouvait avoir un avenir à la manette. Avec le recul, je pense toujours que ce n’était pas si mal, et que la tentative, si elle n’a pas été totalement concluante, restait intéressante de par son ambition. J’aurais alors pu acheter une Xbox 360, sauf que le 27 octobre de la même année, en 2009, sortait League of Legends et avec le jeu, la fin de ma vie sociale pendant 3 ou 4 ans.

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KillyDans les étoiles

Même si ce n’est pas à proprement parler une exclusivité Xbox, j’ai tout de même découvert la série Mass Effect sur Xbox 360. Passionné de SF, d’astronomie et plus que tout d’exploration de mondes imaginaires, il était évident que la série de Bioware avait de sérieux arguments pour titiller une curiosité qui ne demandait que ça. Quelques années après une conclusion polémique, Mass Effect reste une trilogie marquante, et qui a su s’adapter au fil des épisodes sans perdre son essence, à savoir un subtil mélange de personnages marquants, de space opera prenant et de vrais instants de fascination pour des univers mystérieux.

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N’hésitez pas à nous donner une ou plusieurs anecdotes liées à la console de Microsoft dans les commentaires !

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