Caverna : Caverne contre Caverne
Fiche d’identité
- Auteur : Uwe Rosenberg
- Illustrateur : Klemens Franz
- Éditeur : Funforge
- Genre de jeu : Placement d’ouvriers, gestion
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 1 à 2 / 12+ / 40min
- Date de sortie : Juin 2018
- Prix conseillé : 18€
Sans conteste un titre qui aurait plu au réalisateur de Human Centipede, Caverne Contre Caverne n’a pourtant rien de glauque. Car même si effectivement vous allez vous enfoncer dans des endroits humides, sombres et étroits, c’est ici pour en ressortir les mains pleines d’objets en tout genre.
Affrontez donc un adversaire et tentez de tirer le meilleur parti de la caverne qui vous fait face. Explorez les cases de votre caverne de façon orthogonale, échangez des ressources, développez votre caverne, amassez des points de victoire… le tout avec du très joli matos.
Une mécanique intéressante vient du partage de ressources que vous découvrez, vous tiraillant constamment entre l’envie d’avancer, au risque de rendre telle ressource disponible à votre adversaire, ou limiter votre progression pour mieux contrôler ce qui arrive durant la partie.
Au final, Caverne Contre Caverne est un sympathique spinoff du Caverna original, qui permettra aux fans de retrouver l’univers dans des parties plus light, plus rapides et à la mise en place plus aisée.
On aime :
- Mise en place rapide
- C’est original
- Fouiller une caverne sans avoir les mains sales
Patchwork
Fiche d’identité
- Auteur : Uwe Rosenberg
- Illustrateur : Klemens Franz
- Éditeur : Funforge
- Genre de jeu : Puzzle game, réflexion, placement, optimisation
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 2 / 7+ / 30min
- Date de sortie : 2015
- Prix conseillé : 18€
Énorme coup de cœur qui se place aisément dans notre top 20, tous genres confondus, Patchwork est une petite pépite, sortie tout droit de l’esprit tordu mais génial d’Uwe Rosenberg. À l’aide de pièces de tissu de toutes formes (les habitué(e)s de Tetris ne seront pas perdu(e)s), vous allez devoir composer sur votre plateau la plus jolie et la plus grande couverture possible, en faisant bien attention à avoir le moins de trous possible. Déjà parce qu’une couverture avec des trous, en hiver, c’est chiant, et puis surtout parce que ça vous coûtera de précieux points de victoire en fin de partie si votre création ressemble à un morceau de gruyère.
Pour cela, dépensez des boutons pour acheter l’une des trois pièces (systématiquement différentes) devant vous et avancez votre pion d’un nombre de cases dédié par la pièce sur le plateau de progression. Vous n’avez plus de boutons ? Pas de souci ! Dépassez votre adversaire sur le plateau sans rien acheter et remportez un bouton par case traversée. Oh, et les pièces de tissu équipées de boutons vous rapportent elles aussi des boutons quand vous dépassez… les boutons présents sur le plateau de progression. Au final ça fait beaucoup de boutons, du coup personnellement ça m’a rappelé mon adolescence. Mais en mieux. En vachement mieux.
On aime :
- Un jeu redoutable
- Hyper addictif
- On joue avant tout contre soi-même
Fight For Olympus
Fiche d’identité
- Auteur : Matthias Cramer
- Illustrateur : Javier Gonzalez Cava
- Éditeur : Funforge
- Genre de jeu : Affrontement, cartes
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 2 / 12+ / 30min
- Date de sortie : Novembre 2017
- Prix conseillé : 18€
« Si vis bellum, para bellum » pourrait être la devise de Fight for Olympus, ce jeu d’affrontement pour deux joueurs dans lequel vous allez invoquer dieux, héros et autres créatures diverses et variées pour livrer bataille en votre nom. C’est un peu comme la guerre moderne, sauf qu’au lieu d’envoyer à la mort des milliers d’innocents, vous envoyez des habitués du coup de glaive et de l’éclair foudroyant. Morituri te salutant, comme on dit.
Vous allez donc vous constituer une main de cartes représentant ces héros, dieux et armes. Chaque carte possède un coût pour être jouée. Ce coût vous demandera de défausser une ou plusieurs cartes de telle ou telle couleur. Posez vos cartes de votre côté du plateau, votre adversaire faisant de même à son tour de jouer. Puis, c’est la bagarre ! Chaque dieu ou héros se faisant face s’affronte directement. Si personne ne se trouve face à vous, vous pouvez bénéficier du bonus inhérent à l’endroit du plateau où vous vous trouvez. Et c’est là que réside tout le sel du jeu, puisque selon votre placement, vous allez plus ou moins forcer votre adversaire à vous affronter, même s’il n’a pas ce qu’il faut pour survivre au combat.
Remportez suffisamment de points de victoire et à vous… bah la victoire, justement. Vous vous attendiez à quoi ?
On aime :
- Les bonnes idées du gameplay
- Ça envoie direct
- La mythologie c’est cool
Gob’Z’Heroes
Fiche d’identité
- Auteurs : Fabien Freiss & Antoine Roffé
- Éditeur : Lumberjacks Studios
- Genre de jeu : La bagarre !
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 2 / 14+ / 40min
- Date de sortie : Septembre 2017
- Prix conseillé : 37€
Dans Gob’Z’Heroes, vous allez incarner un Goblin dont le but est de se foutre allègrement sur la tronche avec d’autres Gobz. Ne cherchez pas à comprendre, c’est comme ça. Pour cela, vous allez pouvoir combattre au corps à corps ou tirer à distance tout en vous déplaçant dans des décors à deux niveaux, jouant sans cesse avec les différentes hauteurs. D’autres éléments ont leur importance, bien sûr, tels que la force, qui permet de cogner ses adversaires, mais aussi et surtout le charisme.
Un peu comme chez les Marseillais à Cancún, la relation au charisme est très importante dans Gob’Z’Heroes. Tout pareil, il n’est pas nécessaire d’avoir de neurones fonctionnels pour être chef de bande, il suffit juste d’avoir plus de charisme, et les autres vous suivront avec des étoiles dans les yeux.
Chaque Gob possédant une capacité unique, il conviendra de bien choisir vos personnages. Mais j’dis ça, c’est quand même évident. Qui va choisir le perso qui lui correspond le moins dans un jeu ? Non, baisse la main, dans le fond, c’est pas une vraie question.
Si vous aimez les rires gras, la bagarre et lancer des gros dés en mousse, Gob’Z’Heroes pourrait bien vous faire passer quelques agréables moments. Si votre truc c’est la finesse et l’élégance, c’est peut-être pas la meilleure idée, par contre.
On aime :
- La bagarre !
- Les figs’ très sympa
- Les persos issus de la popculture
Ninja Taisen
Fiche d’identité
- Auteur : Katsuma Tomioka
- Illustrateurs : Shigeto Murata et Florent Maudoux
- Éditeur : Iello
- Genre de jeu : shifumi avec des dés
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 2 / 8+ / 20min
- Date de sortie : Avril 2017
- Prix conseillé : 13€
Les clans de ninjas, c’est un peu comme notre gouvernement actuel et les gens qui ont un esprit critique, ils se détestent généralement mutuellement. Dans Ninja Taisen, vous allez donc jouer un de ces clans de ninjas et aurez pour objectif soit de terrasser complètement le clan adverse (on parle bien de les éliminer, pas de leur construire une super terrasse en marbre dans leur jardin) soit d’atteindre leur village.
Pour cela, ces ninjas s’affrontent à base de shifumi et de dés. Les dés servent à déplacer vos ninjas, tandis que les valeurs Pierre, Feuille, Ciseaux servent à définir qui l’emporte dans le cas d’un combat. En cas d’égalité, les deux ninjas battent en retraite et reculent d’une case sur la carte.
Voilà ce qu’il faut retenir pour comprendre comment jouer. C’est rapide, c’est simple et c’est très sympa à jouer. Et ce qui ne gâche rien, c’est très joli et Ninja Taisen est proposé à un prix vraiment mini. Aucune raison donc de passer à côté.
On aime :
- L’univers
- Le prix mini
- La mécanique qui fonctionne très bien
Little Big Fish
Fiche d’identité
- Auteurs : David Perez & Igor Polouchine
- Illustrateur : Damien Colboc
- Éditeur : The Flying Games
- Genre de jeu : Abstrait, Réflexion
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 2 / 8+ / 20min
- Date de sortie : Octobre 2017
- Prix conseillé : 20€
Sous l’océan, point de petite sirène aux cheveux roux. C’est la course à la survie. Entre les bouteilles en plastique et autres produits toxiques, être un poisson n’a jamais été aussi galère et trouver à manger devient de plus en plus compliqué.
Manger ou être mangé est justement au centre du gameplay de Little Big Fish. En jouant des poissons de différentes tailles, vous allez devoir éviter de vous faire croquer et parvenir à manger 5 poissons de votre adversaire pour l’emporter. Dis comme ça, ça a l’air archi simple, hein ? Bah vous verrez qu’une fois devant le plateau, tout n’est pas si facile (comme disaient les NTM).
En effet, entre les cases épaves qui bloquent les poissons moyens ou gros, les cases naissances qui permettent d’ajouter un nouveau poisson ou les cases plancton qui font grandir votre poisson, il faudra stratégiser comme il faut pour l’emporter et ne pas finir en sashimi.
On aime :
- Hyper simple à comprendre et à expliquer
- Accessible à tout âge
- Très joli matériel
Jurassic Snack
Fiche d’identité
- Auteur : Bruno Cathala
- Illustrateur : Camille Chaussy
- Éditeur : The Flying Games
- Genre de jeu : Abstrait, Réflexion
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 2 / 7+ / 15min
- Date de sortie : Avril 2018
- Prix conseillé : 20€
Vous aimez les dinosaures ? Ça tombe bien, c’est à la mode en ce moment dans le jeu de société. Tantôt un T-Rex vient reprendre ses droits dans Krom, tantôt on nous propose de construire un parc d’attractions plein de dinos en bois dans Dinosaur Island, tantôt des voitures légendaires se livrent à des courses délirantes dans un studio de cinéma, traversant le Jurassic Land protégé par un énorme T-Rex dans Hollywood Death Race (en octobre sur Kickstarter). Bref, nos amis gigantesques sont partout, y compris dans Jurassic Snack, très joliment illustré par la talentueuse Camille Chaussy.
Tout comme dans Little Big Fish, il est ici question de survie. Tour à tour, les joueurs vont devoir déplacer leurs gentils brontosaures à l’abri des regards (et des chicots) des T-Rex, puis déplacer ces maudits T-Rex en direction des brontosaures de l’adversaire. Pour l’emporter c’est simple, il faut survivre.
Cathala oblige, Jurassic Snack s’apprend vite et divertit tout sans attendre. De plus, la modularité des plateaux viendra rallonger la durée de vie, pour celles et ceux qui auront fait le tour une fois le gameplay maîtrisé. Fun et mignon tout plein.
- Les petits dinos, qu’on a envie de manipuler
- Simple à prendre en main
La Gamme Sugoï
Fiche d’identité
- Auteurs : Philippe Lefrançois, Madoka Kitao, Didier Dhorbait
- Illustrateur : Biboun, Naïade
- Éditeur : Ferti
- Genre de jeu : Réflexion, placement
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 2 / 7+ / 15min
- Date de sortie : Octobre 2013 (Yokaï), Décembre 2015 (Siam & Senseï)
- Prix conseillé : ~30€/jeu
La gamme Sugoï se compose de trois jeux à deux joueurs, tous trois basés dans un univers médiéval Japonais, et avec un boitage et un graphisme similaire, assurant ainsi une cohérence très esthétique. Ces belles boites blanches feront de l’effet sur une étagère, surtout si vous êtes amateurs de jolis objets. Quant aux trois jeux, leur intérêt est à la hauteur de leur robe.
Senseï, tout d’abord, est une sorte de jeu de dames amélioré, dans lequel vous devrez amener votre personnage sur la ligne de départ de votre adversaire. Comment ? En déplaçant des pierres de votre couleur sur lesquelles se déplace votre personnage. Détail intéressant, si un joueur relou joue l’anti-jeu, il perd la partie. J’en connais qui vont chouiner.
Siam ensuite, est un véritable casse-tête dans lequel éléphants et rhinocéros se livrent bataille pour parvenir à pousser trois pierres sacrées hors d’une zone définie (le plateau, pour le coup). La mécanique introduit une notion de majorité mais aussi de direction pour pousser ou éviter de se faire pousser, et n’autorise qu’une seule action par tour. Diabolique et génial. À ne pas jouer avec des amis souffrant d’Analysis Paralysis.
Pour finir, Yokaï no Mori est une adaptation moderne du Shogi, jeu de plateau traditionnel japonais âgé de plus de mille ans. Il est ici remis au goût du jour avec des monstres du folklore japonais, que l’on fait s’affronter dans l’un des deux modes de jeu que propose la boîte. Capturez une pièce de votre adversaire et vous pourrez le réaffecter à votre armée. Envoyez vos Kodama derrière les lignes ennemies et voyez-les se transformer en Samouraïs, aux capacités boostées. C’est rapide, c’est très bien pensé, et ça casse bien la tête.
Au final, cette petite gamme est sans conteste un must have pour tout joueur en quête de jeux à deux.
On aime :
- L’esthétique
- Tous les éléments en bois
- Les superbes figurines de Senseï
- Le côté collection
- Trois perles redoutables d’efficacité
Kiwara
Fiche d’identité
- Auteurs : Bruno Cathala
- Illustrateur : Franck Drevon
- Éditeur : Ôz Éditions
- Genre de jeu : Réflexion
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 2 / 8+ / 30min
- Date de sortie : Mars 2018
- Prix conseillé : 20€
En jouant à Kiwara avec mon playtesteur de toujours (une bise à Johan), on s’est dit une chose : « Il sait quand même bien faire les jeux à 2, Cathala. » Fin de citation. Et il nous le prouve encore avec Kiwara, le bougre. Le gameplay est très simple et se comprend en quelques instants. Les joueurs occasionnels seront ravis d’apprendre que nous ne sommes pas face à un jeu trop exigeant qui demande une courbe d’apprentissage de folie, et une première partie permet déjà de bien cerner les mécaniques et leurs possibilités. Et pour le coup, vu la cible, c’est un atout non négligeable.
Dans Kiwara, vous allez devoir placer les animaux de votre jungle sur le plateau, de sorte à occuper majoritairement différentes zones. Seulement voilà, le placement ne se fera que sous le regard d’un tiki sacré, déplacé par votre adversaire (sinon c’est pas drôle).
Autre élément de gameplay, les zèbres ou les gazelles ont peur des lions, les éléphants sont immuables et les crocodiles affamés. Serez-vous capables de faire cohabiter tout ce petit monde ? Barf ! si Lu y est parvenu dans des boites de Zanimo, vous devriez y arriver aussi, hein. Et puis sinon, vous n’aurez qu’à vous plaindre à Cathala. Il est facile à trouver, c’est le mec au centre d’un attroupement de créateurs de jeux, dans tous les gros festivals. Un peu comme le Christ sur le tableau de la Cène… mais avec moins de cheveux.
On aime :
- La mécanique originale
- Le système de points
- Idéal pour jouer avec des non-initiés
Gagne ton papa
Fiche d’identité
- Auteur : André Pierrolat
- Illustrateur : Stéphane Escapa
- Éditeur : Gigamic
- Genre de jeu : Puzzle, réflexion, apprentissage
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 2 / 3+ / 10min+
- Date de sortie : Juin 2006 – Réédité cette année
- Prix conseillé : 35€
Derrière ce titre heu… derrière ce titre quelque peu… Derrière ce titre relativement… heu… Bon. Derrière ce titre se cache en fait un jeu surprenant, tant par son matériel que sa volonté pédagogique. Alors forcément, quand c’est joli, original et qu’on apprend plein de trucs, même si le nom est imprononçable, on adhère immédiatement.
Gagne ton Papa est une sorte de croisement entre Tetris et le Tangram, mais en bois. Deux joueurs vont se faire face et tenter chacun de résoudre le plus vite possible le puzzle qui leur est affecté. De nombreux modes de jeux sont disponibles, et la difficulté constamment modulable de sorte que, même si vous êtes un(e) expert(e), vous devriez sans mal pouvoir jouer avec un(e) débutant(e).
Ajoutez à cela de nombreux modes de jeu (comme la construction d’éléments en 3D ou une sorte de jeu d’équilibre dans lequel il faut ajouter pièce après pièce sans les faire tomber) et même un mode solo, et vous obtenez un extraterrestre ludique à la durée de vie inépuisable, qui nous renvoie aux jeux en bois de nos grands-parents, tout en gardant la modernité des gameplays d’aujourd’hui.
À posséder absolument, qu’on soit un papa ou pas !
On aime :
- Le matériel
- L’aspect pédagogique
- La multitude de possibilités et de puzzles
- C’est juste complètement addictif
Boufbowl
Fiche d’identité
- Auteurs : Clem & Yann
- Éditeur : Ankama
- Genre de jeu : Sport, bagarre
- Nb de joueurs / âge / temps de jeu : 2 / 10+ / 45min
- Date de sortie : Mars 2018
- Prix conseillé : 70€
Si, enfant ou ado vous étiez du genre à jouer au foot avec vos copains avec des règles inventées du genre « tacle à la gorge autorisé », « une patate par mi-temps », « si tu pleures pas c’est que t’as pas mal » ou le classique « si on voit pas l’os c’est que c’est pas cassé », alors Boufbowl va vous rappeler de très bons (et sans doute un peu douloureux) souvenirs.
Vous allez en effet affronter votre adversaire dans un match de Boufbowl, sorte de croisement entre rugby, football… et bagarre en bonne et due forme. Tous les coups bas sont autorisés, voire même encouragés, et il faudra connaître et maitriser les spécificités de chaque type de joueur pour occuper au mieux le terrain et tenter de marquer des points.
Doté d’un matériel haut de gamme, avec notamment de superbes figurines pré-peintes et de gradins qui, en plus d’ajouter à l’immersion, servent à positionner les cartes, Boufbowl promet de vous occuper de longs après-midis et sa facilité de prise en main en fait le jeu idéal pour jouer avec un petit frère ou un enfant (si possible le vôtre ; n’allez pas en kidnapper un au parc exprès pour ça, c’est un peu disproportionné), même quand on n’est pas féru de sport au départ. Parce que bon, vous allez quand même passer au moins autant de temps à vous coller des beignes qu’à courir après la balle.
Pas de milliardaires sponsorisés par L’Oréal ici, juste des petites créatures bourrines venues pour jouer… et casser des dents.
On aime :
- Les figurines
- La boite pleine à craquer
- De très bonnes idées
- Ça plait aux petits frères
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