Mission Impossible, une série TV
Il aura fallu 171 épisodes et sept saisons pour constituer l’intégralité de la première série Mission Impossible. Créée par Bruce Geller, celle-ci est diffusée aux États-Unis à partir de 1966 sur CBS. En France, il faut attendre l’année suivante pour pouvoir la visionner sur la deuxième chaîne de l’ORTF.
Récit d’espionnage à la mise en image innovante pour l’époque, le scénario suit les péripéties d’une équipe d’agents secrets. Leur but ? Mettre fin à des coups d’État, complots, contre-révolution et autres actes criminels. Pour ce faire, ils utilisent leur propre domaine d’expertise (maquillage et déguisement, technologie sophistiquée…) et se rendent régulièrement dans des pays d’Europe de l’est et d’Amérique latine de façon clandestine. De cette bande de héros, Jim Phelps (Peter Graves) fait figure de leader et de stratège. Il est ainsi le deuxième chef du groupe à partir de la deuxième saison et prend de fait la succession de Daniel Briggs (Steven Hill).
https://www.youtube.com/watch?v=7HFakjigeFc
Chaque aventure évolue donc sur le modèle du stand-alone. C’est-à-dire qu’il se construit autour de la même formule d’écriture, sans nécessairement pratiquer une continuité narrative entre les différents épisodes.
Amusant, dès lors, de noter les récurrences désormais mythiques du show. « Bonjour Monsieur Phelps. Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, (…) Si vous ou l’un de vos agents étiez capturés ou tués, le Département d’État nierait avoir eu connaissance de vos agissements. Ce message s’autodétruira dans cinq secondes. Bonne chance, Jim. » Ce célèbre discours, qui aura subi quelques infimes variations au fil du temps, ou encore la fameuse musique composée par Lalo Schifrin, demeurent effectivement de véritables signatures de Mission Impossible.
En 1988, un reboot/suite de la série voit le jour. Intitulée Mission Impossible, 20 ans après, cette dernière recycle certains des épisodes de la version d’origine suite à une grève des scénaristes. On y retrouve un Jim Phelps vieillissant entouré d’une toute nouvelle équipe. Mais le show ne trouve pas son public comme par le passé et s’arrête au bout de deux saisons. Une déception.
L’histoire entre Mission Impossible et la petite lucarne s’achève ainsi, et laisse alors la porte ouverte à un certain Tom Cruise. Et au grand écran de cinéma. Au début des années 1990, à l’aide de sa propre société, la Cruise/Wagner Production, l’interprète du héros de Top Gun décide de développer un projet de long métrage centré sur l’univers de la série télévisée. Si c’est d’abord Sidney Pollack qui s’en voit proposer la réalisation après avoir tourné La Firme, c’est finalement Brian De Palma qui écope du poste de metteur en scène. Après une genèse et une écriture de scénario particulièrement compliquées, Mission Impossible sort sur les écrans du monde entier en 1996.
S’ensuivront ensuite, au cours des années 2000/2010, les inévitables suites cinématographiques succédant à l’histoire de De Palma avec Mission Impossible 2 de John Woo, Mission Impossible 3 de J.J Abrams, Mission Impossible : Protocole Fantôme de Brad Bird, Mission Impossible : Rogue Nation de Christopher Mcquarrie et enfin Mission Impossible : Fallout du même cinéaste.
Plus de 22 ans maintenant après la sortie du Mission Impossible de 1996, que retenir de cette licence aujourd’hui indissociable du cinéma d’action ? C’est à cette question que le Journal du Geek s’attachera ici à répondre.
Précisions tout de même que dans le classement qui suit, celui qui se retrouve en dernière position et obtient la qualification de « pire » volet de la saga n’est pas pour autant à considérer comme un mauvais long métrage en soit. Il s’agit seulement du film jugé par l’auteur de l’article le plus « faible » au sein d’une excellente saga. Une fois cette donnée exprimée, la nuance s’autorise d’elle-même.
[nextpage title=”Cinquième et quatrième position”]
Mission Impossible 5 : Rogue Nation (2015)
Jusqu’à l’épisode 4, Mission Impossible était l’une des séries de films qui se rapprochait le plus de la tétralogie Alien. Une comparaison étrange au premier abord, mais qui s’avère rapidement pertinente. Ridley Scott, James Cameron, David Fincher et Jean-Pierre Jeunet. Des noms prestigieux qui ont, pour chacun d’entre eux, mis au monde un épisode du mythe de science-fiction créé en 1979. Avec pour conséquence d’aboutir à des métrages tous très personnels et distincts les uns des autres. Un constat similaire et applicable aux Mission Impossible de Brian De Palma, John Woo et J.J Abrams. Mais nettement moins pour ce qui est de ceux fabriqués par Brad Bird et Christopher McQuarrie.
C’est d’ailleurs à ce dernier que l’on doit Rogue Nation. Un excellent thriller d’espionnage aux scènes d’actions stupéfiantes (mention spéciale à celle se déroulant sous l’eau), mais au manque de personnalité flagrant. L’impression de voir une suite directe au Protocole Fantôme de Brad Bird, tant sur le plan de la direction artistique que de l’acting de Cruise, est malheureusement omniprésente. Si le produit persiste malgré cela à démontrer son excellence grâce au travail rigoureux de l’artisan épatant qu’est McQuarrie, il s’enferme dans une formule dont l’essence ne provient plus de l’œil d’un artiste au sommet de son art, mais de celui d’un solide technicien.
Réception et critiques
Box office internationale : 682,7 millions de dollars recueillis. Une jolie prouesse commerciale pour Rogue Nation qui arrive second au classement des sommes les plus élevées glanées par la saga.
Chez les journalistes français, la plupart se montrent comblés. « Le film enquille une série de morceaux de bravoure intelligemment placés, rythmés comme une respiration mettant au tapis sans peine les derniers James Bond » peut-on lire chez Première. Tandis que les Cahiers du Cinéma nuancent : « Sans être franchement mauvais, ce cinquième volet est l’un des plus fades de la série. »
Le score de Metacritic, le site recensant les critiques américaines, est de 75 sur 100. Un taux de satisfaction équivalent à celui de notre hexagone.
Mission Impossible : Protocole fantôme (2011)
Première expérience live pour Brad Bird (Le géant de fer, Les Indestructibles), et premier coup de maître. Mission Impossible : Protocole fantôme réussi le pari de relancer la franchise, un temps arrêté par les scores décevants au box-office de l’épisode signé J.J Abrams, pour cette fois-ci légèrement placer Hunt/Cruise en retrait au profit de l’équipe. Un parti pris qui permet le développement psychologique de William Brandt (Jeremy Renner) et la mise en avant de l’indispensable sidekick Benji Dunn (Simon Pegg).
À cela se greffe une science du découpage remarquable, et des séquences insensées dont l’infiltration au Kremlin et son gadget formant une illusion d’optique, la course poursuite dans la tempête de sable et le climax dans le parking mobile ; un dénouement à l’art scénographique étourdissant, où le passif de Bird chez Pixar contamine ce qui apparaîtrait chez un autre comme un banal passage obligé.
Mais alors pourquoi considérer ce Protocole fantôme comme l’un des M:I les plus faibles ? Comme pour Rogue Nation, et en comparaison des opus 1,2 et 3, le film ne cherche pas à imposer un univers foncièrement nouveau et/ou typique de son réalisateur. Classique, il recycle le cinéma d’action old school et moderne, sans prendre le risque de proposer une imagerie un tant soit peu surprenante. Triste lorsque l’on connaît l’amour que porte Brad Bird au rétro-futurisme. Il va sans dire qu’avec cette esthétique, ce Protocole fantôme aurait probablement pris une tout autre dimension.
Réception et critiques :
Avec près de 694 millions de dollars cumulés dans le monde, Protocole fantôme est à ce jour le plus fortuné des Mission Impossible. Il est aussi l’un des plus appréciés.
Pour Nathalie Dassa de L’écran fantastique, « Brad Bird prouve (…) qu’il est aussi à l’aise avec des caméras que devant un écran d’ordinateur et fait de ces poursuites de vrais morceaux d’anthologie qui nous laissent, pour le corps, à bout de souffle (…) ».
Le score, excellent, de Metacritic, s’élève à 73. En témoignent ces propos d’Owen Gleiberman d’Entertainment Weekly : « Ghost Protocol déborde de scènes passionnantes et incroyables en même temps; elles arrivent avec un aplomb et une décontraction telle qu’elles parviennent à être drôles, aussi ».
[nextpage title=”Troisième et deuxième position”]
Mission Impossible 3 (2006)
Majoritairement inspirée par la série Alias, elle-même sous haute influence de Mission Impossible version télévisée, la troisième aventure cinéma d’Ethan Hunt s’amuse à en réutiliser les idées narratives. Son prologue choc, un flash forward où Hunt assiste à l’exécution de sa femme — en réalité une mise en scène manipulatrice et perverse où celle que l’on croit morte ne l’est pas — atteste de cette intention.
Intention vectrice d’ambitions nobles et d’artificialité dramatique. D’abord car le fait de démarrer un blockbuster par la « mort » de l’un des personnages centraux est immanquablement séduisant. Ensuite parce que le procédé du twist atténue ici considérablement l’impact émotionnel ressenti au départ. Si une série possède le nombre de minutes nécessaire pour expérimenter et réellement trucider ou non ses héros à des moments clefs, un film ne possède pas toujours le temps requis pour reproduire à l’identique ce genre d’instants inoubliables.
De la sorte, la première séquence de Mission Impossible 3 semble caractériser l’intégralité du projet de son réalisateur J.J Abrams. Un peu comme dans un pacte avec le diable, le responsable du Réveil de la force choisit avec ce troisième opus de sacrifier une vision de cinéma sophistiquée dont il ne dispose pas en échange d’une efficacité suprême où il vaut mieux être étonnant que profond. En découle néanmoins un vrai film d’auteur, doté de l’identité visuelle et scénaristique du producteur délégué de Lost. Lens flare, shaky cam, baisse de rythme interdite, humour attachant… Tous ses gimmicks se retrouvent dans MI3.
Fréquemment percutant et rudement distrayant, mais trop télévisuel comme le reboot de Star Trek et Star Wars 7 pour figurer plus haut dans ce classement.
Réception et critiques
« Seulement » 397,8 millions de dollars de recette ont été engrangés par Mission Impossible 3. C’est le chiffre le plus bas de la licence, qui, même si il est loin d’être honteux, dénote. Une constatation qui se ressent chez la presse française.
« Le résultat est une tuerie conceptuelle harassante, saturée, évidemment brillante et aussi un peu vaine (…) » affirme Les Inrockuptibles. L’Humanité exprime de son côté sa déception en soulignant le manque de créativité de J.J Abrams: « On ne retrouve ni l’esprit insolite et ludique de la série télé d’origine, ni la force visuelle des deux premières aventures cinéma signées par des pointures. »
Le score de Metacritic, modeste, est de 66. Un bilan somme toute raisonnable.
Mission Impossible 2 (2000)
Film le plus éloigné de la série d’origine de par la place minimaliste laissée au travail d’équipe des partenaires d’Ethan Hunt, Mission Impossible 2 est avant tout une histoire d’amour, et le fruit du travail de deux hommes : John Woo, son réalisateur, et Tom Cruise son producteur/acteur. D’un côté, on retrouve donc à peu près toutes les obsessions du metteur en scène Hong-Kongais. Gunfights chorégraphiés à l’extrême qui se rapprochent d’un ballet, ralentis omniprésents, vols de colombes… Tout est réuni ici pour former un best of des anciennes réalisations du génie responsable de Volte Face.
De l’autre, on assiste à la volonté presque maladive et profondément narcissique de Cruise d’utiliser le style iconique de Woo pour se sublimer et d’être de quasiment tous les plans. Parfois à la limite de la publicité pour cheveux soyeux et de la parodie, voir du nanar pour les plus cyniques, Mission Impossible 2 reste pourtant fermement jubilatoire et intimement personnel.
Sa plus grande et fascinante qualité réside certainement dans sa propension à filmer des sentiments et des séquences d’actions avec une esthétique purement cinématographique. Il suffit de se rappeler ce passage hallucinant où Ethan Hunt et sa dulcinée, Nyah, se fixent durant plusieurs longues secondes au volant de leur voiture qui tournent l’une contre l’autre à 360°. Une illustration exclusivement visuelle, car entre autres dénuée du moindre dialogue, d’un coup de foudre jusqu’à présent inavoué, et par la même occasion un instant magistral de romantisme exacerbé. Dans cet ordre d’idée, comment ne pas citer également la façon dont sont brillamment employés les masques ? De l’introduction en avion où Sean Ambrose, le grand méchant, se fait passer pour le héros-espion à ce passage où ce dernier échange d’identité avec le bras droit de son adversaire pour mieux le voir mourir sous ses yeux, le choix de l’invraisemblance trouve sa raison d’être grâce à l’orientation à la limite du cartoon souhaité par son chef d’orchestre.
On reconnaîtra cependant quelques défauts de rythme à cette deuxième mission, tout comme un méchant de série B largement améliorable. On pourra aussi continuer à lui reprocher son montage pas toujours très fin, sa superficialité assumée et ses quelques cascades mêlant inventivité et ridicule. Mais, à la fin, impossible de ne pas y voir un spectacle généreux et pop.
Un vrai film d’auteur fou, autant qu’une commande entièrement dévouée à la mythification de son interprète principal, qui se doit d’être vécu comme un ego trip décomplexé à l’extrême, transcendé par la personnalité incarnée du créateur d’À toute épreuve. Original, fantaisiste et tout simplement cool.
Réception et critiques :
Avec ses 546,4 millions de dollars récoltés au box-office, Mission Impossible 2 surpasse de 100 millions le précédent volet de Brian De Palma. Un score impressionnant, et quelque peu déroutant compte tenu du désamour d’une grande partie du public qui entoure maintenant le film.
Chez les critiques françaises, les avis se montrèrent positifs sans être dithyrambiques dans l’ensemble. « Jamais la caméra de Woo n’a été aussi aérienne (…) » écrivait Rafik Djoumi dans Impact. Frédéric Strauss de Télérama ne tarissait pas non plus d’éloges en rédigeant les mots suivants : « Mission : Impossible 2 rompt donc avec la lourdeur habituelle des grosses machines hollywoodiennes. Tout en gardant un œil sur la cible ” jeune “, le cinéaste ne se contente pas d’un exercice de style. »
Le site Metacritic, quant à lui, accorde au métrage une note moyenne de 59.
[nextpage title=”Le meilleur Mission Impossible”]
Mission Impossible (1996)
Les plus grands films sont toujours ceux qui parviennent à imprimer à vie dans la mémoire du spectateur une ou plusieurs images. De quoi se souvient-on du Mission Impossible de Brian De Palma ? Assurément, la réponse facile, mais immédiate serait de citer cette scène clef, la plus connue de la saga, où Ethan Hunt infiltre la CIA en se retrouvant suspendu dans le vide par des câbles. Brillant moment de suspens et de tension dramatique, la séquence imprime les mémoires grâce à son écriture, son montage ciselé, et les sublimes cadres concoctés par le père de Body Double. Les multiples parodies et citations de celle-ci, parfois au sein même de la franchise (les trois volets suivants la mentionnent sous forme de clin d’œil) attestent ainsi de son passage dans l’imaginaire collectif.
Il faut également mentionner de façon plus générale le travail de titan accompli par De Palma et son équipe pour donner le sentiment d’assister devant Mission Impossible à un Hitchcock réalisé dans les 90’s. De la photographie vintage de Stephen H. Burum (Snake Eyes, Mission to Mars) aux jeux sur les faux semblants, pratiquement chaque élément évoque l’œuvre du géant à qui l’on doit Psychose et La Mort aux trousses.
Comment, enfin, ne pas citer le talent de Tom Cruise ? Cet homme fou, qui se sera offert avec ce premier opus, le commencement d’une nouvelle carrière. À bien y regarder de plus près, elle est peut-être d’ailleurs là, la « vraie » mission impossible. Dans cette obsession du producteur/acteur de créer son propre mythe : celui du héros d’action invincible, intelligent et intemporel.
Réception et critiques :
Chez les spectateurs, le succès était au rendez-vous dès cet épisode inaugural qui lança la franchise au cinéma. Avec ses 457,7 millions de dollars cumulés, le film de De Palma connût une reconnaissance financière non négligeable.
Positif affichait alors une admiration non feinte envers le métrage : « Si, à l’arrivée, le résultat est en tous points enthousiasmant, c’est d’abord grâce à un scénario que De Palma paraît avoir supervisé de très près, tant les thèmes développés recoupent sa thématique personnelle. » De même pour Libération, intellectuellement stimulé : « Mission : Impossible est le grand film du virtuel qui ouvre sous nos yeux le vertige d’une fiction dont rien n’indique qu’elle n’est pas tout à fait un documentaire. »
Le score Metacritic est le même que pour l’épisode de John Woo, à savoir 59.
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Navrant comme classement.
Le moins bon est clairement le 2 (que je viens de revoir pour être sûr) : un méchant pitoyable, Tom Cruise superstar avec des équipiers inexistants, des cascades moyennes.
Le 3 est le meilleur au niveau du rythme : on dirait un épisode de 24 heures chrono. Et le concept d’équipe revient peu à peu.
Le 4 est le top du top. Le concept d’équipe est exploité à fond, il y a beaucoup d’humour et de supers cascades.
Le 5 est correct, mais des longueurs.
Le 6 est énorme au niveau du rythme et des cascades mais l’équipe et l’humour sont un peu mis au second plan : dommage.
Enfin, le 1 est plus que correct et a le mérite de lancer la saga.
Mon classement donc :
6ème : Mission Impossible 2
5ème : Mission Impossible 5
4ème : Mission Impossible 1
3ème : Mission Impossible 3
2ème : Mission Impossible 6
1er : Mission Impossible 4
C’est du troll votre classement ? Ridicule, par pitié, ne parlez plus jamais de cinéma, c’est gênant, très très gênant. Faut être le dernier des crétins incultes pour écrire un article aussi médiocre. Les meilleurs Mission :Impossible sont les 3 derniers, il n’y a même pas à débattre, ce sont des faits, et ce pour tout un tas de choses. Mission Impossible c’est réellement devenu excellent à partir du 4 ème volet.
Le premier, bien que réalisé par De Palma, est le plus ennuyant et le moins passionnant en plus d’avoir mal vieilli. Le 2 est too much et c’est du John Woo qui s’autoparodie. Le 3 est très sombre, bien que réussi. Mais à partir du 4, là, on passe à du très lourd, la sage devient parfaite et s’embellie épisodes après épisodes, chose très rare voir même unique dans l’histoire du cinéma.
Bref,je vous conseil d’apprendre les bases de la mise en scène et de ce qui fait d’un film un bon film.
C’est déjà un meilleur classement.
https://youtu.be/m8lSkYxXSv8?t=47
C’est vrai que la mise en scène de John Woo arrive à lier les enjeux de la mission avec les enjeux personnels et utilise une mise en scène avec des métaphores, désolé c’est trop compliqué pour les attardés comme vous. Et puis bon dans le 1, cette course-poursuite entre un hélicoptère et un TGV, c’est à mourir d’ennui…
on n est pas le premier avril ?? bin d accord mais au delà d’ un question de gout…le premier, on fait de Jim Phelps un traitre.. les acteurs francais , on se demande ce qu il viennent faire là, c est pas grave ce sont des mechants. (à cette epoque c etait un peu tendance de faire des francais les mechants ).d entrée de jeu on bute le tech..et pour achever le tableau cette mega poursuite dans le tunnel du tgv ( devenu double pour l’occasion) l helico attaché au train et la pale cassée qui finit à 2 cm de la gorge du heros qui s est battu sur le toit ?? non c est clair on n a pas du tout la meme vision d un film reussi.. une mention sympa , le cambriolage qui a le merite d etre bien filme à defaut d etre original ( je pense au casse avec belmondo où je trouve des ressemblances…dans la scene )
Tout le monde s’accorde pour dire que le 2 est le moins bon voir même le seul mauvais et l’auteur le fout en 2eme place lol
Je me demande si il devait faire un classement de mad max si il mettrait le 3 dn 1ere place
Biz pour moi ce’st le meilleur et de loin
Quasiment le même classement pour moi, j’inverse juste le 1 et 3
Le 3 le fait bien mieux au niveau des enjeux personnels
Les bases de la mise en scène certe… mais les bases de l’écriture ?? Dans les 2 derniers j’suis même pas sur qu’il y ai les bases. Et le cinéma ce n’est pas QUE de la mise en scène. Un film d’action peut aussi être bien écrit.