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Quels sont les meilleurs claviers gamers ? Notre sélection pour tous les goûts et budgets

C’est décidé, vous allez investir dans un clavier gamer. Un clavier mécanique qui vous offrira confort et vitesse pour jouer, mais aussi tout simplement pour taper du texte. Vous ne savez pas quoi choisir ? Nous avons sélectionné pour vous les meilleurs claviers gaming du moment pour vous aiguiller.

@franganillo sur Unsplash

Nous avons sélectionné 6 claviers gaming représentatifs de l’offre actuelle. Compris dans une gamme de prix allant de 100 et 200 EUR, avec des switches mécaniques ou opto-mécaniques, linéaires ou tactiles, de format full size à TKL (sans pavé numérique) en passant par du “60%”, cette sélection devrait vous permettre de vous faire une idée de ce que le marché propose et choisir celui que vous convient le mieux. Nous avons délibérément écarté les claviers à membranes car en matière jeu, les claviers mécaniques restent à ce jour la solution maîtresse selon nous.

Les claviers sont essentiellement jugés sur leur design, leur qualité de fabrication, la qualité de la frappe et leurs fonctionnalités avancées. Ils tous été testés par nos soins avant d’être intégrés dans cette sélection pour nous assurer de la qualité desdits claviers gamers.  Nous comptions intégrer Logitech et Corsair à cette sélection mais n’avons malheureusement pu recevoir leurs produits à temps pour réaliser nos essais et les intégrer à cette sélection. Nous les ajouterons lors d’une prochaine mise à jour.

Les prix sont donnés à titre indicatif et peuvent varier au fil du temps.

Steelseries Apex 7 : notre recommandation

L’Apex 7 compte parmi le fleuron de la gamme Apex chez Steelseries. Il garde le design propre à la gamme, à savoir une feuille d’aluminium qui recouvre un châssis en plastique avec les bords supérieurs et inférieurs plongeants. Le rendu est esthétiquement très réussi, l’ensemble reste sobre, la marque n’apparaît que très discrètement sur la face avant et l’ensemble dégage une impression de qualité et de solidité bienvenue. Ne cédant pas à la mode actuelle, l’Apex n’est, comme le Huntsman de Razer, pas un clavier aux touches low-profile. En conséquence, le clavier est haut (quasiment 4,3 cm à son point le plus haut) ce qui rend l’utilisation d’un repose-poignets quasi indispensable pour les longues sessions. Celui qui est livré avec le clavier est au niveau du reste, sobre et qualitatif, il s’attache magnétiquement au clavier et propose un revêtement soft touch très agréable au toucher même si aucun rembourrage n’est présent.

Les switches du Apex 7 sont des QX2 Mechanical RGB maison, équivalents au célèbre Cherry MX Red. Ils sont linéaires, l’activation se faisant à 2 mm sur une course totale de 4 mm, sans aucun clic audible, donc. Steelseries donne à ses switches une durée de vie de 50 millions de pressions, ce qui est moitié moins que les switches opto-mécaniques de Roccat croisés plus haut. À l’usage ces switches sont agréables à utiliser, le bruit de la frappe est plus marqué que sur le HyperX Alloy 2 mais sur une tonalité plus basse que sur les deux claviers Roccat testés plus haut. En termes de fonctionnalité, l’Apex 7 dispose d’une dotation complète, 5 profils embarqués dans la mémoire interne, 6 touches de macros et de multiples possibilités côté rétroéclairage, touche par touche.

La fonctionnalité exclusive est évidemment cet écran OLED monochrome situé dans le coin supérieur droit du clavier. À l’aide de la molette et du bouton d’action qui l’accompagnent (et servent de contrôles multimédia au quotidien), l’écran permet de gérer toutes les fonctionnalités du clavier sans passer par l’app SteelSeries Engine. L’écran peut également être utilisé pour afficher des données contextuelles en fonction du jeu ou des applications utilisées à sélectionner parmi une offre disponible dans l’application. La fonction reste gadget mais a le mérite d’exister. L’application SteelSeries Engine, très complète et très claire reste quant à elle parmi les apps les plus agréables à utiliser de notre sélection.

Le SteelSeries Apex 7 est donc notre recommandation. Cela ne veut pas dire qu’il n’existe pas d’alternatives valables, mais c’est le choix qui s’impose “par défaut” selon nous. Si vous avez le budget, il n’y a pas lieu d’hésiter.

Les plus

  • Design et finition impeccables
  • Port USB supplémentaire
  • repose-poignets magnétique
  • Cable management possible (3 configurations possibles)
  • Molette et touches multimédia
  • Switches mécaniques agréables à utiliser

Les moins

  • Police de caractères un peu trop massive sur les touches
  • Ecran OLED gadget à l’usage
  • Pas loin de 200 euros, bigre

Roccat Vulcan 120 AIMO : le bon équilibre

Le Vulcan 120 AIMO offre un design relativement minimaliste : une plaque d’aluminium brossée grise est sertie dans le châssis plastique qui n’est visible que sur le bord inférieur du clavier. Le Vulcan 120 utilise des touches “low profile”, les keycaps ne couvrent que le haut de la touche au lieu de couvrir les côtés comme une touche classique. C’est un choix de design de plus en plus en vogue dans le monde des claviers gaming, mais on notera que Roccat a également choisi d’espacer fortement ses touches.

Le résultat est que la base de chaque touche est bien visible et que l’illumination RGB ne se limite donc pas à la keycap mais bien à l’ensemble. Les couleurs ne se limitent donc pas à la touche ce qui, dans un premier temps, peut donner l’impression trompeuse d’une illumination par zone mais il n’en est rien: le Vulcan 120 bénéficie bien d’une illumination individuelle de chaque touche. Le clavier utilise des switches maison nommés Titan, ce sont des switches mécaniques tactiles à la course de 3,6 mm et une activation à 1,8 mm de course.

Si ces switches ne sont pas aussi bruyants que des switches clicky, le bruit est bien présent à l’utilisation, notamment sur la barre espace qui laisse en prime entendre un bruit de ressort assez prononcé, surtout si vous êtes du genre à enfoncer les touches jusqu’au bout. Le Vulcan 120 ne propose pas de touches multimédia dédiées mais est équipé d’une molette crantée qui peut être soit utilisée pour le réglage du volume, soit asservie à une autre fonctionnalité que l’on peut régler dans l’application Roccat Swarm qui permet de gérer en plus de cela l’illumination, les profils (1 seul en mémoire) et les macros.

Pour le reste, le prix assez contenu implique une dotation limitée, à l’image du repose-poignets sans aucun rembourrage, du câble USB tressé non amovible ou de l’absence de toute possibilité de cable-management sous le châssis.

Les plus

  • Design général
  • Key caps low-profile
  • Molette multifonction

Les moins

  • Frappe assez bruyante
  • Espacement des touches assez prononcé
  • Cable non amovible
  • Repose poignet non rembourré
  • Pas de touche multimédia dédiées

Roccat Vulcan TKL Pro : le plus design

Le Vulcan TKL Pro emprunte, on s’en doute s’agissant de la même gamme, beaucoup au Vulcan 120 AIMO en termes de design. Le format TKL (“Ten Key Less”) implique de se séparer du pavé numérique pour gagner en compacité mais le clavier pousse encore plus loin le minimalisme puisque le châssis se réduit drastiquement autour des touches pour ne laisser dépasser que 0,5 cm sur chacun des côtés. La plaque d’aluminium grise devient ici noire et les témoins lumineux d’activation des majuscules ou du mode jeu (qui neutralise la touche Windows) présents sur le Vulcan 120 disparaissent, conférant à l’ensemble une sobriété assez flatteuse.

Au chapitre de ce qui disparaît, on notera que la molette multifonction ne sert plus qu’à la gestion du volume. En revanche le câble USB est cette fois-ci détachable bien que là aussi, aucune solution de cable-management ne soit proposée. Impossible de choisir de quel côté faire sortir le câble, il sortira au milieu de la face avant. Côté technique, les switches sont cette fois-ci des Titan Optical maison, des switches optiques, donc, linéaires avec une activation à 1,4 mm qui à l’usage procurent une sensation de frappe plus précise et plus nette que les switches mécaniques Titan croisés sur le Vulcan 120.

Pour le reste, la recette est inchangée, l’illumination est toujours gérable touche par touche, les touches low profile espacées font du TKL Pro un clavier toujours prompt au color bleeding, comme c’est la cas sur toute la gamme Vulcan et l’application Roccat Swarm est toujours aussi complète. À noter que le TKL Pro embarque jusqu’à 5 profils dans sa mémoire interne contre un seul pour le Vulcan 120. A garder en tête pour les joueurs amenés à transporter uniquement leur clavier pour jouer sur des machines qui ne sont pas les leurs en compétition.

Les plus

  • Design général
  • Key caps low-profile
  • Format
  • Molette volume
  • Cable USB-C détachable
  • Roccat Swarm très complet

Les moins

  • Espacement des touches assez prononcé
  • Molette non multifonction
  • Keycaps low profile + base transparente = bleeding RGB
  • Pas de cable management
  • Rapport qualité-prix peu avantageux

Hyper X Alloy Elite 2 : le chatoyant

Massif, c’est le premier terme qui vient à l’esprit lorsque l’on découvre le Alloy Elite 2. Lourd aussi, même si contrairement à ce que l’on pourrait penser le châssis n’est pas intégralement en métal. Le Alloy Elite 2 est constitué de deux blocs horizontaux. Le premier, situé en haut du clavier, abrite les boutons permettant de changer la luminosité et le mode du rétroéclairage, d’activer le mode jeu (désactivation de la touche Windows) ainsi que les touches multimédia dédiées et la molette de réglage du son. Ce bloc est séparé du reste du clavier par un liseré rétro-éclairé qui court sur toute la largeur du clavier.

En dessous se trouvent les touches du clavier dont le design s’avère assez surprenant. Dans un milieu où toutes les marques se mettent au design low-profile de leurs touches, Hyper X utilise un modèle maison baptisé “Pudding” assez remarquable : la touche est scindée en deux parties, le key cap noir et le reste blanc translucide. Au premier coup d’œil, on a l’impression que la touche est donc low-profile mais en fait il n’en est rien.

Le résultat est un clavier très (trop ?) lumineux dans la vision périphérique, ce qui peut même s’avérer gênant à l’utilisation pour certaines personnes. Le Alloy Elite 2 utilise des switches mécaniques linéaires maison, les HyperX Red, dont la course totale est de 3,8 mm et le point d’activation est situé à 1,8 mm (mêmes caractéristiques que les switches Titan de Roccat). À l’usage la frappe est précise, et le bruit est plus “mat” que le Roccat Vulcan 120 croisé plus haut.

Le clavier est géré via l’app HyperX Ngenuity qui compte parmi les pires apps disponibles. Elle ne peut en effet pas se réduire dans la zone de notifications et doit donc rester présente dans la barre des tâches si l’on souhaite profiter des fonctionnalités du clavier. Le Alloy Elite 2 dispose de trois profils d’illumination qu’il est impossible d’assigner à un exécutable spécifique. Aucune macro n’est également possible, le seul élément sur lequel on peut agir reste le rétroéclairage. À 160 euros, cela fait quand même très peu comparé à la concurrence.

Les plus

  • Touches multimédia dédiées
  • Switches HyperX Red agréables à l’utilisation
  • Port USB 2.0 sur le clavier

Les moins

  • Profils limités au rétroéclairage
  • Aucune macro possible
  • HyperX Ngenuity
  • Prix bien trop élevé par rapport à la concurrence

Razer Huntsman TE : le minimaliste

Le Hunstman Tournament Edition est, comme son nom l’indique, un modèle de clavier orienté compétition. À ce titre, à l’image de la compétition auto, le clavier va à l’essentiel. Le format du Huntsman est en effet dit Ten Key Less (TKL) et sacrifie donc le pavé numérique sur l’autel de la compacité. Absence de touches multimédia et volume dédiées, les fonctions se retrouvent classiquement déportées sur les touches F1 à F7. Point de touches de macro non plus, le format compact vise clairement les joueurs qui voguent de tournoi en tournoi et veulent s’encombrer le moins possible. Que les joueurs plus sédentaires mais tout aussi exigeants se rassurent, Le Huntsman est bien-sûr compatible avec Synapse, la companion app maison et profite donc de toutes les fonctionnalités habituelles: gestion des profils (4 en mémoire), des macros et de l’illumination RGB Razer Chroma.

C’est d’ailleurs la seule concession sur un ensemble très discret, puisque sur le Huntsman, le logo Razer habituellement visible de loin est totalement absent. Seul le nom RAZER est positionné en noir sur noir au dessus des touches directionnelles. Le Huntsman propose des touches en PBT au lieu du classique ABS habituellement utilisé sur les claviers destinés au grand public. Logiquement, les keycaps seront donc moins promptes à s’user et marquées par cette zone brillante qui se forme habituellement sur le plastique après des contacts répétés avec les doigts.

Les switches opto-mécaniques maison proposent une frappe linéaire et une activation au bout d’1 mm de de course. La frappe s’avère particulièrement agréable. A un prix compris entre 140 et 150 euros, ce Huntsman Tournament Edition aurait tout pour plaire s’il proposait des solutions de cable management sous son châssis et surtout, surtout, s’il était dispo en AZERTY… La bonne nouvelle est que cela devrait prochainement être le cas.

Les plus

  • Qualité générale de l’ensemble
  • Touches en PBT
  • Cable USB-C détachable
  • Sensation lors de la frappe des touches
  • Course de touche de 1 mm
  • Format compact réduit à l’essentiel
  • Pas de touches de macro et de raccourcis)
  • Prix *relativement* contenu par rapport à la qualité de l’ensemble

Les moins

  • Uniquement disponible en QWERTY (pour l’instant)
  • Pas de cable management possible

Hyper X Alloy Origins 60 : le compact efficace

Hyper X Alloy 60
Hyper X Alloy 60

Comme son nom l’indique, l’Alloy Origins 60 est un clavier au format 60%. C’est donc le candidat idéal pour ceux qui cherchent avant tout la compacité. Soit pour un bureau à l’esthétique épurée, soit pour pouvoir le transporter partout, soit pour gagner de la place. S’il est taillé pour plus de compacité, les touches restent quant à elle “full size”. Elles sont montées sur des Switch Hyper RED, linéaires, avec un point d’activation à 1,8 mm pour une course de 3,8 mm. Ces dernières sont assez silencieuses en tant que telles et le châssis en aluminium parfaitement stable absorbe bien les sons émis lors de la frappe.

Clavier 60% oblige, les touches PBT “double shot” pour plus de durabilité, cumulent souvent une autre fonction accessible via une combinaison avec “fn”. Vous y trouverez notamment le contrôle multimédia (y compris le volume), les flèches de navigation ou encore de quoi ajuster le rétroéclairage. Car oui, tout le clavier est évidemment rétroéclairé en RGB avec tous les effets qui vont bien.

À l’usage, le format est forcément plus complexe à utiliser dans un cadre bureautique, dans un contexte gaming, c’est tout aussi efficace qu’un clavier classique. On apprécie les pieds qui permettent d’obtenir deux inclinaisons : 7 ou 11°. S’ajoute à cela la position “à plat” qui donne 3° d’inclinaison. La plus confortable à l’usage est selon nous celle de 11°. Le clavier étant relativement épais, c’est elle qui offre le meilleur accès aux touches.

Comme tous les claviers Hyperx, dont celui cité plus, il pourra également être piloté via l’app HyperX Ngenuity. Et comme nous le disions plus haut, elle mériterait des améliorations sensibles pour se montrer vraiment efficace. Pour le reste, l’Alloy Origins 60 se révèle être un clavier enthousiasmant pour qui cherche du 60% sans prise de tête. Seul problème, il n’est disponible qu’en QWERTY actuellement.

Cooler Master SK621 : le compact… sans fil

Le SK621 cumule plusieurs particularités qui le mettent à part dans cette sélection: c’est un clavier de format 60% donc encore plus compact que les 2 claviers TKL que nous avons passés en revue et c’est le seul clavier Bluetooth de la sélection. Il répond donc avant tout à des impératifs de compacité et de mobilité que tous les utilisateurs ne sont pas susceptibles d’avoir. C’est aussi le seul clavier de cette sélection qui utilise à la fois des keycaps et des switches low-profile, les claviers Roccat présentés utilisant eux des keycaps low profile sur des switches standard. Par conséquent, les touches du SK621 culminent à 3 cm à son point le plus haut, soit 0,5 cm de moins que le Roccat Vulcan TKL Pro.

Les switches utilisés sont des Cherry MX Low Profile Red, linéaires avec un point d’activation à 1,2 mm pour une course totale de 3,2 mm. Ces switches sont incontestablement les plus silencieux de notre sélection. Tout cela se traduit visuellement par un des claviers les plus minimalistes de notre sélection. Les touches sont posées sur une plaque d’aluminium brossé aux bords chanfreinés mais les touches sont tellement ramassées qu’on ne la voit même pas. Ce clavier à les défauts de ses avantages, avec un format à 60%, ne cherchez pas de touches multimédia dédiées ou de molettes de réglage de volume, la dotation est minimale et chaque touche du clavier est utilisée au moins deux fois.

Autre particularité du clavier Cooler Master : pas besoin de companion app. Toutes les fonctionnalités sont accessibles par des combinaisons de touches. Pratique si l’on souhaite utiliser son clavier sans installer de soft sur toutes les machines que l’on croise. Le site indique que l’on peut quand même installer Cooler Master Portal mais nous avons tenté et l’app ne reconnaît pas le clavier.

Dans le même ordre d’idée, le Bluetooth permet de libérer un port USB mais contrairement aux claviers bureautiques Bluetooth, le SK621 ne se met pas en veille ou en mode économie d’énergie rapidement. Il faut donc bien penser à éteindre le clavier via son interrupteur quand on ne s’en sert pas sans quoi l’autonomie tombe très rapidement. À noter aussi que l’anti-ghosting ne fonctionne au maximum de ses capacités que lorsqu’il est branché. Sinon la fonction se limite à 6 touches simultanées. À noter que la gamme SK de Cooler Master propose aussi les formats TKL et 100% (630 et 650) en déclinaisons filaire ou Bluetooth.

Les plus

  • Design minimaliste
  • “Vrais” Switches Cherry MX Low Profile Red
  • Frappe relativement silencieuse
  • Prix relativement contenu pour un clavier Bluetooth mécanique

Les moins

  • Autonomie en Bluetooth un peu limite
  • Anti-ghosting limité en Bluetooth

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Ce qu'il faut savoir sur nos bons plans

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10 commentaires
  1. Mouais … Perso en gamer/gaming , je suis fan de mon vieil orbweaver de razer (actuellement le tartarus, idem mechanic ) .
    Combiné avec mon vieux logitech G510s et une souris naga je suis trankilou niveau combinaisons paramérables .
    Razer, ça doit être vert de toute façon 🙂 Là maintenant, la mode est à l’arc-en-ciel je vois 🙂

  2. Même avec un Asus rpg Strix RX je prendrai pas ça au sérieux. C est pas un comparatif de clavier qu’il faut mais un comparatif de Switch en tout cas dans le low end. Après si vous voulez un bon clavier midi end vous pouvez regarder un rama avec des tangerine pour du libraire ou alors panda/kiwi pour du tactile. Et high end un petit keycult avec des frankenswitch.

  3. Grave tout ces claviers la c’est de la ***** en barre, sans aller dans l’extrême on peux déjà parler des ducky ou des leopold. Apres on peux cité KBDfan comme site avant de partir dans des groupsbuy.

    Les claviers que vous cité je mettrais même pas 30euros dedans ca fait un bruit de casserole.

  4. Ce comparatif n’est pas vraiment sérieux. Comme l’on dit les autres commentaires, il existe de sérieuses alternatives qui proposent des claviers dont la qualité est largement plus intéressante. Dommage

  5. Je ne conçois pas d’article sur les claviers gamers sans parler des orbweaver de razer… car tous les autres sont de simples claviers qui ont la même ergonomie et la même disposition des touches qui n’ont rien d’efficace pour les gamers.

  6. parler de clavier sans parler de la rolls de celle-ci, à savoir Ducky Chanel, à croire que vous ne savez pas de quoi vous parlez.

  7. Hello,

    Pour les connaisseurs, qu’est-ce qui existe en clavier mécanique pas trop bruyant, rétro-éclairé mais pas de RGB (pas besoin que ce soit configurable, ou alors juste on/off), filaire et full format ?

    Merci

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