Cette année, GRID 2 était la tête d’affiche de l’Eurogamer Expo. Sorte de Paris Games Week britannique créé il y une dizaine d’années par le site Eurogamer, ce salon a bâti sa notoriété sur une organisation solide et une ou deux exclusivités majeures par édition. Au milieu des milliers de visiteurs avides de nouveautés, j’ai pu, le temps d’une course, découvrir un jeu jusque là inconnu de la presse française.
Après un premier tour de piste sur l’asphalte, les sensations s’annoncent déjà grisantes. Agréable, la prise en main de cette somptueuse berline allemande qui dévale à toute vitesse les rues de Londres n’est pourtant pas l’atout majeur de GRID 2. Car si l’on peut toujours régler ses options pour orienter la course vers l’arcade ou la simulation, on reste toujours loin des possibilités d’un Forza Motorsport. C’est sur son moteur physique que GRID 2 met vraiment l’accent, qui lui permet d’être performant à la fois sur le plan technique et sur le plan graphique. Et lorsque cela va, tout va !
L’avancée technologique est à peine visible, pourtant les effets nous font esquisser un sourire d’appréciation. On y est certes habitués avec les courses, mais les reproductions fidèles des voitures fourmillent de détails. C’est superbe, tout simplement. Depuis l’annonce de GRID 2, les développeurs nous ont assuré qu’ils mettre en place des collisions impressionnantes. Mais à l’heure actuelle la promesse n’est qu’à moitié tenue, les accrochages se résumant à des rayures et des arrachages de bas de caisse lorsque l’on arrive un peu trop fort sur le pilote adverse.
A ce stade difficile de tirer des conclusions sur GRID 2. D’autant plus qu’un énorme « PRE-ALPHA DEMO » trônait sur le bas de l’écran, histoire de nous rappeler que le jeu ne s’est laissé approcher que parce qu’il le voulait. Les équipes de développement se laissent encore du temps pour la sortie d’un jeu de voiture qui a le champ libre pour s’imposer. Seul un Forza Horizon un peu timide se profile dans un avenir à moyen terme. Les courses sont jusque là prenantes, avec une IA qui sait sortir de sa ligne de conduite pour obstruer notre avancée. En clair, je me suis délecté de cette courte dégustation de GRID 2, qui malgré tout, posent bon nombre de questions. Attendons d’être au calme, loin de ces dizaines d’anglais qui mettent la pression à chaque virage, pour s’avancer un peu plus dans le ressenti. Vaguement attendu pour l’année 2013, GRID 2 a encore du temps devant lui.
Après un premier tour de piste sur l’asphalte, les sensations s’annoncent déjà grisantes. Agréable, la prise en main de cette somptueuse berline allemande qui dévale à toute vitesse les rues de Londres n’est pourtant pas l’atout majeur de GRID 2. Car si l’on peut toujours régler ses options pour orienter la course vers l’arcade ou la simulation, on reste toujours loin des possibilités d’un Forza Motorsport. C’est sur son moteur physique que GRID 2 met vraiment l’accent, qui lui permet d’être performant à la fois sur le plan technique et sur le plan graphique. Et lorsque cela va, tout va !
L’avancée technologique est à peine visible, pourtant les effets nous font esquisser un sourire d’appréciation. On y est certes habitués avec les courses, mais les reproductions fidèles des voitures fourmillent de détails. C’est superbe, tout simplement. Depuis l’annonce de GRID 2, les développeurs nous ont assuré qu’ils mettre en place des collisions impressionnantes. Mais à l’heure actuelle la promesse n’est qu’à moitié tenue, les accrochages se résumant à des rayures et des arrachages de bas de caisse lorsque l’on arrive un peu trop fort sur le pilote adverse.
A ce stade difficile de tirer des conclusions sur GRID 2. D’autant plus qu’un énorme « PRE-ALPHA DEMO » trônait sur le bas de l’écran, histoire de nous rappeler que le jeu ne s’est laissé approcher que parce qu’il le voulait. Les équipes de développement se laissent encore du temps pour la sortie d’un jeu de voiture qui a le champ libre pour s’imposer. Seul un Forza Horizon un peu timide se profile dans un avenir à moyen terme. Les courses sont jusque là prenantes, avec une IA qui sait sortir de sa ligne de conduite pour obstruer notre avancée. En clair, je me suis délecté de cette courte dégustation de GRID 2, qui malgré tout, posent bon nombre de questions. Attendons d’être au calme, loin de ces dizaines d’anglais qui mettent la pression à chaque virage, pour s’avancer un peu plus dans le ressenti. Vaguement attendu pour l’année 2013, GRID 2 a encore du temps devant lui.
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