Et pourquoi pas une petite review du jeu que beaucoup appellent “le chant du cygne de la PS2”? J’imagine que ceux d’entre vous qui étaient intéressés ne m’ont pas attendu pour jouer à God of War 2, mais voilà peut-être de quoi faire pencher les autres vers le cà´té barbare de la Force.
Pour ceux qui ne connaà®traient pas le jeu, vous êtes, au sens propre, le dieu de la guerre. Vous vous occupez donc comme il se doit des personnes, monstres ou autres créatures qui voudraient se mettre en travers de votre route, et ce de manière violente, régulièrement gore, mais dans tous les cas définitive. Si décapiter des gorgones vous met mal à l’aise, passez votre chemin. Pour les autres, chaque type d’ennemis possède son time event qui donne lieu à un finish souvent spectaculaire, les morts des différents boss étant particulièrement proche du jouissif.
Tout d’abord, GoW2 (à ne pas confondre avec Gears of War 😛 ), c’est beau, très beau. A mon goût l’un des plus beaux jeux de la PS2. Certes, le style est un peu plus sanglant que celui d’Okami, mais chacune de ces oeuvres vidéoludiques, dans leur genre, pousse la PS2 dans ses derniers retranchements. Question gameplay, peu voire pas de changements depuis le premier. La prise en main est rapide, les différents combos tout à fait assimilables, les time event stressants sans être impossibles. On déplore parfois une caméra mal placée, mais rien d’insurmontable. D’ailleurs, tout comme dans le premier opus, le jeu vous proposera de passer en mode facile si vous vous faites tuer trop souvent. GoW 2 est donc très agréable à prendre en main, ce qui permet de se focaliser sur les hordes d’ennemis ou sur les énigmes. Je vous rassure, le jeu ne vous fera pas passer de nuits blanches à la recherche d’un objet manquant. Cependant, certaines énigmes sont bien pensées. Les autres sont souvent prétextes au petit détail gore qui tue.
Au-delà du système de jeu en lui-même, cette suite ravira tout fan de mythologie qui se respecte. On revisite très agréablement les mythes, retrouvant les personnages emblématiques et changeant leur destinée avec plaisir, d’Icare à Prométhée, du colosse de Rhodes au Kraken. Les boss sont impressionnants, spectaculaires, relativement coriaces. Les vaincre procure un vrai sentiment de victoire.
Mais là o๠le jeu se pose en maà®tre, c’est dans la complicité qu’il crée avec le gamer qui sommeille en nous, une complicité créée par le souci du moindre détail. Par exemple, si vous faites partie de ces joueurs qui ont toujours trouvé frustrant de commencer un deuxième opus au niveau “loque” alors que la fin du premier vous consacrait comme héros aux pouvoirs légendaires, vous apprécierez forcément qu’il y ait (enfin!) un élément scénaristique cohérant expliquant ce fait. Je vous laisse découvrir cela dans la première heure de jeu. De même, si “Zeus vous permet de sauvegarder votre jeu” lors du premier GoW, vous noterez le subtil changement lors du deuxième (là encore, pas de spoiler).
Bref, ces tout petits détails ont su faire plaisir à la gameuse que je suis, d’autant que la difficulté est suffisamment bien dosée pour ne pas rebuter les casual gamers. Pour les plus motivés, terminer le jeu donne accès à deux niveaux de difficulté supplémentaires (bon courage!), et permet de débloquer différents costumes, des missions et une arène. Dans tous les cas, on découvre ici un Kratos plus beau, plus fort, plus grand, et plus énervé aussi. Dernier point, si vous n’avez pas fait le premier, vous comprendrez le scénario quand même. Mais vous passerez à coté de quelques références qui elles aussi, font plaisir.
God of War 2 est donc un incontournable du genre, avec une petite touche de connivence avec le joueur qui fait toute la différence.
Et pourquoi pas une petite review du jeu que beaucoup appellent “le chant du cygne de la PS2”? J’imagine que ceux d’entre vous qui étaient intéressés ne m’ont pas attendu pour jouer à God of War 2, mais voilà peut-être de quoi faire pencher les autres vers le cà´té barbare de la Force.
Pour ceux qui ne connaà®traient pas le jeu, vous êtes, au sens propre, le dieu de la guerre. Vous vous occupez donc comme il se doit des personnes, monstres ou autres créatures qui voudraient se mettre en travers de votre route, et ce de manière violente, régulièrement gore, mais dans tous les cas définitive. Si décapiter des gorgones vous met mal à l’aise, passez votre chemin. Pour les autres, chaque type d’ennemis possède son time event qui donne lieu à un finish souvent spectaculaire, les morts des différents boss étant particulièrement proche du jouissif.
Tout d’abord, GoW2 (à ne pas confondre avec Gears of War 😛 ), c’est beau, très beau. A mon goût l’un des plus beaux jeux de la PS2. Certes, le style est un peu plus sanglant que celui d’Okami, mais chacune de ces oeuvres vidéoludiques, dans leur genre, pousse la PS2 dans ses derniers retranchements. Question gameplay, peu voire pas de changements depuis le premier. La prise en main est rapide, les différents combos tout à fait assimilables, les time event stressants sans être impossibles. On déplore parfois une caméra mal placée, mais rien d’insurmontable. D’ailleurs, tout comme dans le premier opus, le jeu vous proposera de passer en mode facile si vous vous faites tuer trop souvent. GoW 2 est donc très agréable à prendre en main, ce qui permet de se focaliser sur les hordes d’ennemis ou sur les énigmes. Je vous rassure, le jeu ne vous fera pas passer de nuits blanches à la recherche d’un objet manquant. Cependant, certaines énigmes sont bien pensées. Les autres sont souvent prétextes au petit détail gore qui tue.
Au-delà du système de jeu en lui-même, cette suite ravira tout fan de mythologie qui se respecte. On revisite très agréablement les mythes, retrouvant les personnages emblématiques et changeant leur destinée avec plaisir, d’Icare à Prométhée, du colosse de Rhodes au Kraken. Les boss sont impressionnants, spectaculaires, relativement coriaces. Les vaincre procure un vrai sentiment de victoire.
Mais là o๠le jeu se pose en maà®tre, c’est dans la complicité qu’il crée avec le gamer qui sommeille en nous, une complicité créée par le souci du moindre détail. Par exemple, si vous faites partie de ces joueurs qui ont toujours trouvé frustrant de commencer un deuxième opus au niveau “loque” alors que la fin du premier vous consacrait comme héros aux pouvoirs légendaires, vous apprécierez forcément qu’il y ait (enfin!) un élément scénaristique cohérant expliquant ce fait. Je vous laisse découvrir cela dans la première heure de jeu. De même, si “Zeus vous permet de sauvegarder votre jeu” lors du premier GoW, vous noterez le subtil changement lors du deuxième (là encore, pas de spoiler).
Bref, ces tout petits détails ont su faire plaisir à la gameuse que je suis, d’autant que la difficulté est suffisamment bien dosée pour ne pas rebuter les casual gamers. Pour les plus motivés, terminer le jeu donne accès à deux niveaux de difficulté supplémentaires (bon courage!), et permet de débloquer différents costumes, des missions et une arène. Dans tous les cas, on découvre ici un Kratos plus beau, plus fort, plus grand, et plus énervé aussi. Dernier point, si vous n’avez pas fait le premier, vous comprendrez le scénario quand même. Mais vous passerez à coté de quelques références qui elles aussi, font plaisir.
God of War 2 est donc un incontournable du genre, avec une petite touche de connivence avec le joueur qui fait toute la différence.
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