GRAW !!! C’est le son que je pouvais émettre dès que j’entendais parler de Ghost Recon : Advanced Warfighter 😉 Et après un Rainbow Six : Lockdown sur PC décevant, j’attendais ce jeu avec beaucoup d’impatience. Et je peux déjà vous dire que je n’ai pas été déà§u.
L’histoire de GRAW se déroule en 2013, Mexico City est devenu une des plus grandes métropoles du monde, oscillant entre l’univers du moderne avec ses nombreux gratte-ciels et l’univers de la puvreté avec ses vieux buildings et ses ghettos. A cet instant, alors que se déroule un sommet entre les trois pays d’Amérique du Nord à Mexico, une insurrection éclate, le président canadien est tué tandis que le président américain et mexicains sont enlevés par des rebelles qui préparent un coup d’état.
Vous incarnez le capitaine Scott Mitchell, leader des Ghosts, forces d’Elite de l’armée américaine prêts à être projeter sur un territoire ennemi et intervenir au plus vite. Les Ghosts bénéficient pour cela des dernières avancées technologiques militaires et plus particulièrement du Cross-Com, un casque avec HUD intégrant toutes les informations nécessaires au combat. Et ce qui devait être une simple mission de routine va se transformer en cauchemar … pour notre plus grand bonheur.
Première surprise, et pas des moindres, par rapport aux précedénts Ghost Recon, on n’a plus d’écran de briefing, on ne planifie plus les actions des membres de son équipe. Ici, on agit en direct. En gros, on vous donne un objectif, vous êtes solo ou en équipe et il vous faudra vous adapter à la situation pour arriver au bout. Le cà´té tactique minutieux a donc été remplacé par le l’action, ce qui n’est pas mal parce qu’on a durant tout le jeu cette sensation d’être dans le jeux, de vivre l’action, comme dans un film et je vous promets que c’est très jouissif. Mais vous garder toujours ce réalisme qui a fait le succès des jeux à la Tom Clancy, à savoir que vous n’êtes pas invincibles et qu’une balle bien placée vous fera mordre la poussière.
Pour vous accompagner dans cet effort, vous pourrez diriger le reste de votre équipe mais aussi des tanks ou encore des hélicoptères, les actions se limitant à les faire avancer, reculer, tirer et couvrir une zone. Il est par contre dommage de ne pas avoir la possibilité de diriger chaque membre de son équipe indépendemment, ce sont les trois ensembles ou rien. De plus, il faut avouer que vos coéquipiers ne sont pas des lumières non plus, tellement d’ailleurs qu’à plusieurs reprises, je les ai laissé derrière pour y aller solo et tout me farcir avant de les faire venir. La jouabilité dans l’ensemble est des plus classiques, vous diriger votre avatar comme dans un FPS, vous pourrez donc vous cacher, ramper, vous baisser, jeter un oeil (pas trop loin quand même). Cependant, il faut avouer que ce n’est pas évident au départ et que quelques missions seront nécessaires avant de devenir le héros que le destin a choisi.
Les ennemis sont comme vos coéquipiers : bien bêtes et vous attaquera de front, par contre, ils sont plus nerveux que dans d’autres jeux et bénéficient d’une perception agissant à des kilomètres. Oui oui, j’ai eu des pixels qui m’ont tué 😛 Les sauvegardes marchent par point de contrà´le et si vous n’avez pas atteint le point de contrà´le et que vous tombez, il vous faudra recommencer.
A cà´té de cette jouabilité des plus classiques, on notera la quasi inexistence des temps de chargement, c’est impressionnant. Le jeu est d’une beauté, c’est sans doute l’un des plus beaux jeux sur Xbox 360. Les personnages sont superbement modélisés et le décor, je ne vous raconte même pas, c’est profond, c’est réel et quand vous êtes dans le jeu, vous avez l’impression d’être dans le film Black Hawk Down. Et tous ces effets de lumières, quand vous avez le soleil contre vous, accrochez-vous pour ne pas sortir vos lunettes de soleils 😉 Par contre, Ubisoft auraient pu faire des efforts concernants les transparences et reflets sur les vitres parce que là , c’est un peu hideux. Au niveau des sons, c’est propre et beau, j’aime beaucoup et le 5.1 est finement utilisé comme le remake de Jimi Hendrix quand vous êtes dans l’hélicoptère, à§a fait trop Guerre du Vietnam ! J’adoooooore !
Graphismes : Je ne vais pas revenir dessus, c’est propre, c’est beau, une bonne claque visuelle.
Animation : C’est fluide, propre et il n’y a pas de clipping.
Jouabilité : Un peu dur au départ, il vous faudra un peu de pratique.
Durée de vie : Le mode solo se termine rapidement en soi mais le finir en mode normal ne vous suffira pas et vous lancerez quasi automatiquement le mode Difficile, bien plus fun. Et le mode Online des plus réussis vous empêchera de ranger ce jeu 😉
Son : Le 5.1 est utilisé au mieux, les balles fusent dans tous les sens, les explosions sont criards de réalismes. Les musiques d’ambiance sont assez réussis dans l’ensemble, dommage qu’on ne les entende pas souvent. Et le remake d’All Along de Jimi Hendrix, total bonheur.
Multijoueurs : Alors, j’étais agréablement surpris, le mode multijoueurs n’a pas été mis de cà´té, vous pourrez ainsi profité d’un mode campagne en coopération complètement différent de la campagne solo et surtout gigantesque et avec des ennemis plus que redoutable (Daz et moi en avont fait les frais 😛 ) En live et avec le casque, cela prend toute son ampleur. A cà´té vous aurez des modes plus classiques comme les Deathmatchs ou les Capture The Flag, très bourrins cependant.
Conclusion : Techniquement très réussi et vous montrant ce que la Xbox 360 a dans le ventre, GRAW vous suprendra aussi par sa capacité à nous divertir avec un mise en scène, un rythme et une immersion des plus réussies. Oui, c’est moins tactique, c’est plus bourrin mais le plaisir est là et c’est bien l’essentiel. Avec un meilleure IA et on approchera la perfection.
Note : 8,5/10
GRAW !!! C’est le son que je pouvais émettre dès que j’entendais parler de Ghost Recon : Advanced Warfighter 😉 Et après un Rainbow Six : Lockdown sur PC décevant, j’attendais ce jeu avec beaucoup d’impatience. Et je peux déjà vous dire que je n’ai pas été déà§u.
L’histoire de GRAW se déroule en 2013, Mexico City est devenu une des plus grandes métropoles du monde, oscillant entre l’univers du moderne avec ses nombreux gratte-ciels et l’univers de la puvreté avec ses vieux buildings et ses ghettos. A cet instant, alors que se déroule un sommet entre les trois pays d’Amérique du Nord à Mexico, une insurrection éclate, le président canadien est tué tandis que le président américain et mexicains sont enlevés par des rebelles qui préparent un coup d’état.
Vous incarnez le capitaine Scott Mitchell, leader des Ghosts, forces d’Elite de l’armée américaine prêts à être projeter sur un territoire ennemi et intervenir au plus vite. Les Ghosts bénéficient pour cela des dernières avancées technologiques militaires et plus particulièrement du Cross-Com, un casque avec HUD intégrant toutes les informations nécessaires au combat. Et ce qui devait être une simple mission de routine va se transformer en cauchemar … pour notre plus grand bonheur.
Première surprise, et pas des moindres, par rapport aux précedénts Ghost Recon, on n’a plus d’écran de briefing, on ne planifie plus les actions des membres de son équipe. Ici, on agit en direct. En gros, on vous donne un objectif, vous êtes solo ou en équipe et il vous faudra vous adapter à la situation pour arriver au bout. Le cà´té tactique minutieux a donc été remplacé par le l’action, ce qui n’est pas mal parce qu’on a durant tout le jeu cette sensation d’être dans le jeux, de vivre l’action, comme dans un film et je vous promets que c’est très jouissif. Mais vous garder toujours ce réalisme qui a fait le succès des jeux à la Tom Clancy, à savoir que vous n’êtes pas invincibles et qu’une balle bien placée vous fera mordre la poussière.
Pour vous accompagner dans cet effort, vous pourrez diriger le reste de votre équipe mais aussi des tanks ou encore des hélicoptères, les actions se limitant à les faire avancer, reculer, tirer et couvrir une zone. Il est par contre dommage de ne pas avoir la possibilité de diriger chaque membre de son équipe indépendemment, ce sont les trois ensembles ou rien. De plus, il faut avouer que vos coéquipiers ne sont pas des lumières non plus, tellement d’ailleurs qu’à plusieurs reprises, je les ai laissé derrière pour y aller solo et tout me farcir avant de les faire venir. La jouabilité dans l’ensemble est des plus classiques, vous diriger votre avatar comme dans un FPS, vous pourrez donc vous cacher, ramper, vous baisser, jeter un oeil (pas trop loin quand même). Cependant, il faut avouer que ce n’est pas évident au départ et que quelques missions seront nécessaires avant de devenir le héros que le destin a choisi.
Les ennemis sont comme vos coéquipiers : bien bêtes et vous attaquera de front, par contre, ils sont plus nerveux que dans d’autres jeux et bénéficient d’une perception agissant à des kilomètres. Oui oui, j’ai eu des pixels qui m’ont tué 😛 Les sauvegardes marchent par point de contrà´le et si vous n’avez pas atteint le point de contrà´le et que vous tombez, il vous faudra recommencer.
A cà´té de cette jouabilité des plus classiques, on notera la quasi inexistence des temps de chargement, c’est impressionnant. Le jeu est d’une beauté, c’est sans doute l’un des plus beaux jeux sur Xbox 360. Les personnages sont superbement modélisés et le décor, je ne vous raconte même pas, c’est profond, c’est réel et quand vous êtes dans le jeu, vous avez l’impression d’être dans le film Black Hawk Down. Et tous ces effets de lumières, quand vous avez le soleil contre vous, accrochez-vous pour ne pas sortir vos lunettes de soleils 😉 Par contre, Ubisoft auraient pu faire des efforts concernants les transparences et reflets sur les vitres parce que là , c’est un peu hideux. Au niveau des sons, c’est propre et beau, j’aime beaucoup et le 5.1 est finement utilisé comme le remake de Jimi Hendrix quand vous êtes dans l’hélicoptère, à§a fait trop Guerre du Vietnam ! J’adoooooore !
Graphismes : Je ne vais pas revenir dessus, c’est propre, c’est beau, une bonne claque visuelle.
Animation : C’est fluide, propre et il n’y a pas de clipping.
Jouabilité : Un peu dur au départ, il vous faudra un peu de pratique.
Durée de vie : Le mode solo se termine rapidement en soi mais le finir en mode normal ne vous suffira pas et vous lancerez quasi automatiquement le mode Difficile, bien plus fun. Et le mode Online des plus réussis vous empêchera de ranger ce jeu 😉
Son : Le 5.1 est utilisé au mieux, les balles fusent dans tous les sens, les explosions sont criards de réalismes. Les musiques d’ambiance sont assez réussis dans l’ensemble, dommage qu’on ne les entende pas souvent. Et le remake d’All Along de Jimi Hendrix, total bonheur.
Multijoueurs : Alors, j’étais agréablement surpris, le mode multijoueurs n’a pas été mis de cà´té, vous pourrez ainsi profité d’un mode campagne en coopération complètement différent de la campagne solo et surtout gigantesque et avec des ennemis plus que redoutable (Daz et moi en avont fait les frais 😛 ) En live et avec le casque, cela prend toute son ampleur. A cà´té vous aurez des modes plus classiques comme les Deathmatchs ou les Capture The Flag, très bourrins cependant.
Conclusion : Techniquement très réussi et vous montrant ce que la Xbox 360 a dans le ventre, GRAW vous suprendra aussi par sa capacité à nous divertir avec un mise en scène, un rythme et une immersion des plus réussies. Oui, c’est moins tactique, c’est plus bourrin mais le plaisir est là et c’est bien l’essentiel. Avec un meilleure IA et on approchera la perfection.
Note : 8,5/10
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