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[Les incontournables de la Gamescom] The Witcher 3 : Wild Hunt [PS4]

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C’est écrit partout. Là haut, sur les murs de la Gamescom, sur chaque panneau présentant la gueule balafrée de Geralt : The Witcher III a reçu plus…

C’est écrit partout. Là haut, sur les murs de la Gamescom, sur chaque panneau présentant la gueule balafrée de Geralt : The Witcher III a reçu plus de 140 distinctions cette année. Prends ça dans les dents et ouvre bien tes yeux, ces 45 minutes de gameplay ne t’épargneront rien.

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Le temps a filé à une vitesse, la faute à cette nouvelle portion de gameplay de The Witcher 3 qui se montrait généreuse, particulièrement prenante. Et ce dès le contexte : à l’entrée de la ville principale, Geralt revient de mission, une tête de griffon fraichement décapitée accrochée à sa selle. À quelques encablures de la ville, l’occasion idéale pour contempler les progrès effectués depuis le deuxième opus sur le plan graphique.

L’horizon semble s’étendre sans fin, la prairie ensoleillée achève un panorama déjà somptueux. Ce n’est plus une surprise pour personne : The Witcher III : Wild Hunt s’annonce comme le canon du genre en terme de RPG épique pour cette nouvelle génération.

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L’histoire volontairement passée sous silence, on assiste très simplement à une succession de quêtes à l’enchevêtrement étonnement fluide. Sur les traces de Cirilla, le witcher part d’un indice récolté en ville pour enquêter du côté des marécages, et plus particulièrement vers le mystérieux village de Downwarren.

Le développeur nous y emmène d’un coup de téléporteur bien placé, nous promettant une bonne vingtaine de minutes en galopant sans relâche pour nous y rendre naturellement. Un bref aperçu de la carte nous faisait d’ailleurs miroiter un terrain autrement plus grand que celui de The Witcher 2.

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À peine débarqués, un monstre assez imposant se profile au loin, une sorte de taureau ailé se tenant sur ses pattes. On s’imagine déjà le combat, et pourtant, on tourne les talons. Ce n’était pas l’objectif, tout juste l’un des nombreux habitants des marécages qui passait par là. La quête annexe soigneusement évitée, on s’enfonce dans les marécages fumants, à la recherche de « Johnny ». Pas le nôtre, à la place un étrange enfant défiguré, habitant au fond d’une grotte. Il serait en possession de précieuses informations pour Geralt .Le hic, c’est qu’on lui a volé sa voix.

La suite, un enchaînement de services rendus pour finalement nous laissé sur un semblant de réponse concernant le sort de Cirilla. Entre temps il aura juste fallu récupérer la voix d’un petit garçon, invoquer des sorcières, sauver un village paumé d’un esprit malfaisant et trucider une bonne poignée de loups-garous, harpies et autres saloperies dégoulinantes.

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D’ailleurs, ces combats s’insèrent parfaitement dans la trame, sans accroc. Geralt tranche ses ennemis avec aisance, l’éternelle roue des pouvoirs offre une assistance efficace à base d’options très classiques (magie de feu, étourdissement, bouclier d’énergie, etc.). On salue au passage l’arrivée de l’arbalète, le petit plus qui achève admirablement les quelques récalcitrants.

On sent le travail minutieux derrière The Witcher 3 : Wild Hunt, et on comprend mieux la fierté non dissimulée de CD Projekt Red (plus de 140 distinctions pour ceux qui n’auraient pas suivi). Les prochaines aventures de Geralt s’annoncent encore plus dramatiques. On sent même que le jeu en fait des tonnes pour nous satisfaire, mais tant que c’est bien mené, pourquoi s’en priver ?

The Witcher III : Wild Hunt est prévu le 24 février 2015 sur PC, PS4 et Xbox One

C’est écrit partout. Là haut, sur les murs de la Gamescom, sur chaque panneau présentant la gueule balafrée de Geralt : The Witcher III a reçu plus de 140 distinctions cette année. Prends ça dans les dents et ouvre bien tes yeux, ces 45 minutes de gameplay ne t’épargneront rien.

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Le temps a filé à une vitesse, la faute à cette nouvelle portion de gameplay de The Witcher 3 qui se montrait généreuse, particulièrement prenante. Et ce dès le contexte : à l’entrée de la ville principale, Geralt revient de mission, une tête de griffon fraichement décapitée accrochée à sa selle. À quelques encablures de la ville, l’occasion idéale pour contempler les progrès effectués depuis le deuxième opus sur le plan graphique.

L’horizon semble s’étendre sans fin, la prairie ensoleillée achève un panorama déjà somptueux. Ce n’est plus une surprise pour personne : The Witcher III : Wild Hunt s’annonce comme le canon du genre en terme de RPG épique pour cette nouvelle génération.

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L’histoire volontairement passée sous silence, on assiste très simplement à une succession de quêtes à l’enchevêtrement étonnement fluide. Sur les traces de Cirilla, le witcher part d’un indice récolté en ville pour enquêter du côté des marécages, et plus particulièrement vers le mystérieux village de Downwarren.

Le développeur nous y emmène d’un coup de téléporteur bien placé, nous promettant une bonne vingtaine de minutes en galopant sans relâche pour nous y rendre naturellement. Un bref aperçu de la carte nous faisait d’ailleurs miroiter un terrain autrement plus grand que celui de The Witcher 2.

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À peine débarqués, un monstre assez imposant se profile au loin, une sorte de taureau ailé se tenant sur ses pattes. On s’imagine déjà le combat, et pourtant, on tourne les talons. Ce n’était pas l’objectif, tout juste l’un des nombreux habitants des marécages qui passait par là. La quête annexe soigneusement évitée, on s’enfonce dans les marécages fumants, à la recherche de « Johnny ». Pas le nôtre, à la place un étrange enfant défiguré, habitant au fond d’une grotte. Il serait en possession de précieuses informations pour Geralt .Le hic, c’est qu’on lui a volé sa voix.

La suite, un enchaînement de services rendus pour finalement nous laissé sur un semblant de réponse concernant le sort de Cirilla. Entre temps il aura juste fallu récupérer la voix d’un petit garçon, invoquer des sorcières, sauver un village paumé d’un esprit malfaisant et trucider une bonne poignée de loups-garous, harpies et autres saloperies dégoulinantes.

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D’ailleurs, ces combats s’insèrent parfaitement dans la trame, sans accroc. Geralt tranche ses ennemis avec aisance, l’éternelle roue des pouvoirs offre une assistance efficace à base d’options très classiques (magie de feu, étourdissement, bouclier d’énergie, etc.). On salue au passage l’arrivée de l’arbalète, le petit plus qui achève admirablement les quelques récalcitrants.

On sent le travail minutieux derrière The Witcher 3 : Wild Hunt, et on comprend mieux la fierté non dissimulée de CD Projekt Red (plus de 140 distinctions pour ceux qui n’auraient pas suivi). Les prochaines aventures de Geralt s’annoncent encore plus dramatiques. On sent même que le jeu en fait des tonnes pour nous satisfaire, mais tant que c’est bien mené, pourquoi s’en priver ?

The Witcher III : Wild Hunt est prévu le 24 février 2015 sur PC, PS4 et Xbox One

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