Alléluia, grà¢ce à Ubisoft, je vais enfin pouvoir découvrir l’autre série qui se vend comme des petits pains au Japon à cà´té des Final Fantasy, voici donc Dragon Quest VIII ou plutà´t Dragon Quest : L’Odyssée du Roi Maudit, un vrai RPG console comme on les aime. C’est donc une grande première pour les franà§ais puisqu’ils vont découvrir une version totalement localisée avec des voix anglaises et des textes en franà§ais. Dommage que cette version ne propose pas les voix japonaises, un peu comme DBZ, j’aurais préféré.
Au niveau de l’histoire, alors que Final Fantasy fait dans une histoire avec moultes rebondissements et moultes états d’à¢mes de la part des personnages, Dragon Quest VIII fait plutà´t dans le classique avec de vrais héros et de vrais méchants avec des personnes à sauver au final. Oui, c’est ce qu’on trouve dans les Disney ou dans les mangas, mais d’un autre cà´té, c’est épique, c’est frais et appréciable de ne pas trop se prendre la tête. Ne vous méprenez pas cependant, le scénario est riche et avec de nombreuses surprises.
Bref, revenons à l’histoire, un puissant sorcier du nom de Dhoulmagus a lancé un sort dévastateur et tout le royaume de Trodain fut balayé excepté le Roi, la princesse et vous, garde à la cour du Roi. Le Roi a été changé en crapaud alors que la princesse en cheval blanc. Vous voilà donc embarquer, sur ordre du roi à la recher de Dhoumalgus afin de lever la malédiction qui pèse sur la famille royale. Au cour de l’aventure, vous rencontrerez Yangus, un bandit, Jessica, une magicienne et Angelo, un chevalier. Comme dans tout bon RPG, vous gagnerez de l’expérience, ce qui renforcera vos compétences et vos pouvoirs. Evidemment vous découvrirez de nouvelles armes, armures, potions, etc … Tout le kit du RPG japonais en fait 😛 avec en prime, comme dans Final Fantasy des combats aléatoire, j’avoue que c’est hautement très chiant mais c’est aussi un bon moyen pour gagner de l’expérience et monter de niveau plus rapidement.
Mais là ou Dragon Quest se démarque, c’est par son style à la Akira Toriyama, sa mise en scène épique et manga-esque, son scénario linéaire mais tellement prenant, l’apdaptation des monstres en fonction du moment de la journeé, oui oui, les monstres rencontrés la nuit sont bien plus puissants. Et contrairement à de nombreux RPG, il va vous falloir être stratège et bien gérer votre équipe durant les combats pour éviter le cimetière, oui parce que mine de rien, les points de vie descendent vite, très vite, les combats sont plus difficiles que la normale.
Et avec la magie Square Enix, le tout prend vie d’une faà§on admirable si bien qu’on ne décroche que très difficilement du jeu. Perso, j’ai dû m’arrêter pour passer du temps sur Oblivion aussi 😛
Graphismes : C’est du Akira Toriyama, c’est beau et très manga. Le tout en 3D et en celle-shading.
Animation : Rien à reporcher, c’est très bien et concorde avec le style du jeu.
Jouabilité : Classique dans le plus pur style RPG japonais. A noter que les combats demandent réflexion.
Durée de vie : 60h pour finir la trame principale et 100h pour le finir totalement, vous avez de quoi faire.
Son : Du grand Koichi Sugiyama, un vrai plaisir. Dommage qu’on n’ait pas les voix japonaises.
Conclusion : Des graphismes accrocheurs, un scénario bien ficelé, une jouabilité “old school”, des heures et des heures de jeux. OK, à§a le fait chez moi 😛
Note : 9/10
Alléluia, grà¢ce à Ubisoft, je vais enfin pouvoir découvrir l’autre série qui se vend comme des petits pains au Japon à cà´té des Final Fantasy, voici donc Dragon Quest VIII ou plutà´t Dragon Quest : L’Odyssée du Roi Maudit, un vrai RPG console comme on les aime. C’est donc une grande première pour les franà§ais puisqu’ils vont découvrir une version totalement localisée avec des voix anglaises et des textes en franà§ais. Dommage que cette version ne propose pas les voix japonaises, un peu comme DBZ, j’aurais préféré.
Au niveau de l’histoire, alors que Final Fantasy fait dans une histoire avec moultes rebondissements et moultes états d’à¢mes de la part des personnages, Dragon Quest VIII fait plutà´t dans le classique avec de vrais héros et de vrais méchants avec des personnes à sauver au final. Oui, c’est ce qu’on trouve dans les Disney ou dans les mangas, mais d’un autre cà´té, c’est épique, c’est frais et appréciable de ne pas trop se prendre la tête. Ne vous méprenez pas cependant, le scénario est riche et avec de nombreuses surprises.
Bref, revenons à l’histoire, un puissant sorcier du nom de Dhoulmagus a lancé un sort dévastateur et tout le royaume de Trodain fut balayé excepté le Roi, la princesse et vous, garde à la cour du Roi. Le Roi a été changé en crapaud alors que la princesse en cheval blanc. Vous voilà donc embarquer, sur ordre du roi à la recher de Dhoumalgus afin de lever la malédiction qui pèse sur la famille royale. Au cour de l’aventure, vous rencontrerez Yangus, un bandit, Jessica, une magicienne et Angelo, un chevalier. Comme dans tout bon RPG, vous gagnerez de l’expérience, ce qui renforcera vos compétences et vos pouvoirs. Evidemment vous découvrirez de nouvelles armes, armures, potions, etc … Tout le kit du RPG japonais en fait 😛 avec en prime, comme dans Final Fantasy des combats aléatoire, j’avoue que c’est hautement très chiant mais c’est aussi un bon moyen pour gagner de l’expérience et monter de niveau plus rapidement.
Mais là ou Dragon Quest se démarque, c’est par son style à la Akira Toriyama, sa mise en scène épique et manga-esque, son scénario linéaire mais tellement prenant, l’apdaptation des monstres en fonction du moment de la journeé, oui oui, les monstres rencontrés la nuit sont bien plus puissants. Et contrairement à de nombreux RPG, il va vous falloir être stratège et bien gérer votre équipe durant les combats pour éviter le cimetière, oui parce que mine de rien, les points de vie descendent vite, très vite, les combats sont plus difficiles que la normale.
Et avec la magie Square Enix, le tout prend vie d’une faà§on admirable si bien qu’on ne décroche que très difficilement du jeu. Perso, j’ai dû m’arrêter pour passer du temps sur Oblivion aussi 😛
Graphismes : C’est du Akira Toriyama, c’est beau et très manga. Le tout en 3D et en celle-shading.
Animation : Rien à reporcher, c’est très bien et concorde avec le style du jeu.
Jouabilité : Classique dans le plus pur style RPG japonais. A noter que les combats demandent réflexion.
Durée de vie : 60h pour finir la trame principale et 100h pour le finir totalement, vous avez de quoi faire.
Son : Du grand Koichi Sugiyama, un vrai plaisir. Dommage qu’on n’ait pas les voix japonaises.
Conclusion : Des graphismes accrocheurs, un scénario bien ficelé, une jouabilité “old school”, des heures et des heures de jeux. OK, à§a le fait chez moi 😛
Note : 9/10
🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.