En mal de production SF ambitieuse ? Pas de panique, Amazon Prime Video vient de dévoiler une nouvelle pépite du genre dans son catalogue. Voici pourquoi vous devez absolument regarder Périphériques, les mondes de Flynne ce vendredi 28 octobre.
C’est de la science-fiction
Alors que l’heure est plutôt à la fantasy sur les différentes plateformes, avec les sorties de House of the Dragon et Les Anneaux de Pouvoir, les amateurs de science-fiction peuvent se rassurer avec la sortie de Périphériques, les mondes de Flynne sur Prime Video.
Adaptée du thriller de William Gibson publié en 2014, Périphériques : les mondes de Flynne rassemble tous les bons ingrédients du genre. Dans un futur proche, la technologie a commencé à subtilement modifier la société. As des jeux vidéos, Flynne Fisher va le découvrir lorsqu’elle se voit confier une périlleuse mission.
Lorsque son frère est recruté par une mystérieuse organisation, pour tester un nouveau casque de réalité virtuelle, c’est Flynne qui l’enfile pour explorer ce monde virtuel bluffant. Ce qui n’était au départ qu’un test va se révéler être plus dangereux qu’il n’y paraît.
Avec son univers et son propos, cette nouvelle série n’est pas sans nous rappeler Ready Player One, excellente surprise de Steven Spielberg sorti en 2018. La nouvelle série de Prime Video prend d’ailleurs le même point de départ, s’interroger sur ce que ces mondes virtuels auront comme conséquences pour notre réalité.
On pense aussi évidemment à Matrix, véritable œuvre phare du genre. Si la série ne joue pas la carte de la comparaison, elle tente de rendre hommage à bien des récits à travers sa narration.
C’est ambitieux
Avec la ferme intention de consolider sa position sur le secteur de la SVOD, Amazon multiplie les propositions sérielles. Quelques jours après la fin de sa série Les Anneaux de Pouvoir, elle dévoile ainsi une autre production ambitieuse.
Si le budget est autrement moins conséquent, la série ne se contente pas du strict minimum pour autant. Habilement mise en scène, elle s’impose comme un divertissement à la fois beau et prenant. Le réalisateur fait preuve d’inventivité pour mettre en scène cette aventure bouillonnante dans un futur dystopique.
C’est particulièrement vrai dans la manière qu’a la série de mettre en scène ces univers virtuels néanmoins plus vrais que nature. De l’action, du mystère et des questionnements sociétaux, Périphériques : les mondes de Flynne a décidément plus d’un atout dans sa manche.
Les créateurs de Westworld sont impliqués
HBO est une fabrique à succès. Du côté de la fantasy la chaîne a Game of Thrones mais c’est Westworld qui s’impose comme une référence pour la SF. Adaptation du film Mondwest, la série créée par Lisa Joy et Jonathan Nolan s’est rapidement imposée comme une référence auprès du public.
Les deux scénaristes et réalisateurs reviennent ici à la production déléguée de ce nouveau projet. On y retrouve ainsi des thèmes et des mécaniques qui leur sont chères : la manière dont le passé et le présent se répondent ou encore de ce que le virtuel raconte de notre monde réel.
Le mystère est aussi au rendez-vous, la série promet quelques beaux retournements de situation à l’avenir. Ils sont déjà copieux dans ces deux premiers épisodes.
Pour découvrir Périphériques, les mondes de Flynne, c’est sur Prime Video que ça se passe. La série est diffusée à un rythme hebdomadaire le vendredi. Au casting, on retrouve Chloë Grace Moretz dans la peau du personnage principal. Jack Reynor (Cherry) et JJ Feild (Coup de foudre à Austenland) sont aussi du voyage. Les fans d’Harry Potter seront aussi ravis de retrouver Katie Leung qui incarnait Cho Chang dans la saga.
Découvrir Périphériques, les mondes de Flynne sur Prime Video
🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.
Un bon début. Une série qui a l’air prometteuse. A voir dans le temps.
J’ai ete tres seduit par cette série! Rien à redire pour l’instant, on verra comment ca evolue.
Une série intéressante sortie le 21 et non le 28 comme mentionné, même si le rythme est assez lent et irrégulier.