Au grand dam de Marvel et Disney, Sony Pictures détient les droits de plusieurs héros de son univers de comics. Au début des années 2000, Columbia Pictures s’offrait la possibilité d’exploiter Spider-Man et plusieurs antagonistes qui croisent sa route sur papier glacé. Sony Pictures ouvrait ainsi en 2018 les portes d’un nouvel univers cinématographique avec la ferme intention de s’approcher des résultats stratosphériques du MCU dans les salles obscures. Fort du succès de Spider-Man : Homecoming, et avec la popularité du tisseur de toile comme seul argument, la firme consacrait un premier long-métrage à Venom et son hôte Eddie Brock.
Tom Hardy en tête d’affiche et le réalisateur de Bienvenue à Zombieland aux manettes, le projet avait de quoi piquer la curiosité des adorateurs de comics et plus largement de comédies d’action déjantées. Si la critique n’était pas vraiment emballée, les recettes n’en étaient pas moins impressionnantes. Venom premier du nom, est parvenu à récolter plus de 850 millions de dollars dans le monde. Avec Venom : The Last Dance, Sony Pictures doit pourtant se résoudre à abandonner ses têtes d’affiches. Kelly Marcel, qui a œuvré à l’écriture des deux précédents films, passe derrière la caméra pour offrir à ses héros une ultime danse à son duo.
Quelque temps après les événements de Venom : Let there be carnage, qui malgré la confusion qu’il inspirait aux spectateurs avaient posé quelques bases, Eddie est en cavale. En Amérique du Sud, le personnage et son symbiote restent sous les radars. C’était sans compter sur les événements de No Way Home, qui l’ont vu débarquer dans la réalité de Tom Holland. De retour dans son monde, Eddie décide de tenter sa chance à New York. Il veut se faire oublier dans la cité tentaculaire, mais le roadtrip de nos deux héros va prendre un tournant inattendu lorsqu’un ennemi surpuissant sort de l’ombre.
Mauvais tempo
Dès les premiers instants, Venom : The Last Dance balaie du revers de la main tout ce que les scènes post-crédits de No Way Home et Let there be carnage avaient tenté de faire éclore. Comme on pouvait s’en douter, et alors que le MCU peine déjà à exploiter l’idée du multivers, c’est bien dans leur propre réalité qu’évolueront Eddie Brock et le symbiote. Le voyage dans le Marvel Cinematic Universe aura été de courte durée, le personnage a d’autres problèmes. Quantité de problèmes même.
Il est recherché par les autorités, Venom par des créatures sanguinaires envoyées par Knull. Comme le laissait entendre la bande-annonce, Sony prépare l’arrivée du grand méchant de son univers cinématographique. Avant de matérialiser un affrontement dantesque, ce sont ses sbires qui se chargeront de pourchasser nos deux personnages. Dans le même temps, la Zone 51 s’apprête à être démantelée pour laisser sa place à un laboratoire très secret situé à plusieurs kilomètres sous terre. Le gouvernement y étudie bien des aliens, mais pas de bons hommes verts. L’armée est sur la trace de Venom et compte bien ajouter le symbiote noir à sa collection. Fuyant tous ces ennemis, Venom et Eddie se lancent dans un voyage à travers le Grand Ouest américain.
Trois intrigues diverses, trois approches pour un peu moins de deux heures, les scénaristes n’ont pas ménagé leurs peines afin d’offrir un semblant de rythme à cette production. Entre roadmovie, traque acharnée et comédie romantique, le film de Kelly Marcel ne choisit jamais. La narration navigue mécaniquement entre ces différentes intrigues et tonalités, sans jamais parvenir à leur donner corps. Comme ses prédécesseurs, ce nouveau film repose sur un montage des plus douteux. Il semble empêtré entre les ambitions de la réalisatrice et les impératifs de Sony Pictures bien décidé à faire naître son propre Thanos. Comme la créature qu’il met en scène, Venom : The Last Dance en ressort difforme.
Si l’idée d’un roadtrip en guise d’adieu n’est pas à jeter, force est de constater que The Last Dance échoue à tous les niveaux. Le développement des personnages est traité par-dessus la jambe, la narration étant trop occupée à placer les pions pour un prochain film centré sur Knull. La séquence finale enfonce d’ailleurs le clou, l’antagoniste n’instille pas la moindre crainte chez son auditoire. Il ne sera rien d’autre qu’une ombre qui plane sur l’intrigue, tandis que ses créatures démoniaques pourchassent les deux compères. Pensez Avengers premier du nom, avec l’invasion de New York ordonnée par Thanos, mais écrite par des scénaristes en pleine crise d’épilepsie. Le film se contentera d’ailleurs de jeter certains enjeux au moyen de répliques peu inspirées, sans jamais véritablement leur donner de la consistance ou le moindre impact. Par exemple, l’impossibilité pour le symbiote de se transformer totalement intervient comme un accessoire au service d’un semblant de tension dramatique, avant d’être reniée pour faire naître des scènes tantôt comiques, tantôt dramatiques.
De briques et de Brock
Dès le premier film, le talent de Tom Hardy semblait largement sous-employé dans cette comédie qui ne parvenait pas à dépasser son statut de blockbuster pas franchement premier de la classe. Let there be carnage ne faisait guère mieux, même si les duels internes entre le parasite et son hôte pouvaient parfois prêter à sourire. Ils sont reproduits ici, sans le même ludisme. Kelly Marcel tente d’insuffler du drame dans ce buddy movie faisandé et ne le fait qu’aux moyens de répliques risibles. Et pourtant, il y a occasionnellement quelques sursauts de créativité, comme lorsque Venom fait honneur à son titre en offrant une séquence dansée au symbiote. Reste que cette exubérance est livrée au milieu de nombreuses séquences au mieux incohérentes, au pire complètement ratées. Même le déluge d’action en guise de final, plutôt réjouissant, ne suffit pas à réveiller les spectateurs groggys.
Eddie et Venom ne sont d’ailleurs pas les seuls personnages malmenés ici, celui de Juno Temple est un autre exemple du gâchis que représente Venom 3. L’héroïne est à l’épicentre d’une séquence flash-back affligeante, nouvel impair pour un film qui en raconte trop sans jamais vraiment en dire assez. Pas assez délirant pour être un nanar, The Last Dance n’a rien d’une ultime valse endiablée, c’est un nouveau faux pas pour Sony Pictures. Pourtant, tout n’est à jeter. La saga profite d’une copie visuelle assez efficace, ce troisième film livre quelques séquences plutôt plaisantes à l’instar de la confection d’un cocktail qui ne manque pas d’énergie ou d’une course poursuite en moto qui n’hésite pas à jouer avec son environnement. Ce n’est néanmoins pas suffisant pour faire de Venom : The Last Dance une belle surprise. L’on a aussi beaucoup de mal à pardonner l’esthétique des autres symbiotes, dégoulinante de CGI impersonnelles et qui complètement en opposition avec l’esthétique pourtant plus réaliste de la première moitié du film.
Déjà la fin pour l’univers ?
Six ans après ces débuts, l’univers des personnages Marvel chez Sony est déjà en bout de course. Avant même d’avoir commencé, il reposait sur une pléiade de protagonistes secondaires dans les comics, qui intéressent peu le grand public et qui ne sont que peu de choses sans leurs rivalités avec Spider-Man. Venom est l’anomalie au sein d’une licence vouée à l’échec. Si le symbiote s’en sort plutôt bien, aidé par son apparition dans la trilogie de Sam Raimi, les autres essais de Sony Pictures ont été faits avec pertes et fracas. Morbius a été un véritable bide dans les salles obscures, Madame Web encore plus. Les deux métrages ont rapporté respectivement 162 et 97 millions de dollars au box-office mondial. Avec des enveloppes estimées à plus de 100 millions, les opérations n’ont pas été rentables. Et les choses ne devraient pas aller en s’arrangeant.
Dans quelques semaines, c’est avec Kraven Le Chasseur que les spectateurs ont rendez-vous. Si la présence d’Aaron Taylor-Johnson pourrait attirer quelques regards, le projet a connu un développement tumultueux qui n’est que rarement de bon augure. Initialement prévu pour l’année 2023, le film de J.C Chandor a été repoussé à trois reprises. Tandis qu’il devait profiter d’une sortie concomitante avec Spider-Man 2 chez PlayStation, le personnage était au cœur de la narration du jeu Insomniac, c’est finalement à une période très chargée dans les salles obscures du monde qu’il se montrera. Kraven le Chasseur arrive également à une période où les super-héros n’ont pas la cote.
Rappelons qu’il s’agit officiellement du dernier film Sony dédié à un personnage Marvel promis à une sortie sur nos écrans. L’avenir est plus qu’incertain pour Sony Pictures et sa licence qui peine à s’imposer comme une référence dans le domaine. Spider-Man 4, qui vient d’être officialisé, n’entre pas dans cet univers et aura sans doute plus à faire avec Avengers 5 et 6.
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je me fis pas au critique, moi j’ai bien aimé les deux précédents, c’est pas les films de l’année mais ils sont pas horribles non plus. A voir une fois certes mais des films culte, nous n’en avons plus depuis très longtemps.
Je suis d accord de ne pas se fier aux critiques, mais personnellement, j’ ai été déçu par Venom 2! Moi qui suis fan de Venom et carnage ! Mais la relation d Eddy avec Venom, montrait quasiment la vie d un couple ! Un gars/une fille ! Venom n’ est pas un petit chien docile ! Et mon préféré carnage ! Aurait pu être plus exploiter et plus présent dans le film ! Je vais aller voir le 3, en espérant qu’il sera la moins gnangnan !
J’ai vue le dernier venom fin un peu triste pour ce duo avec venom et Eddie mais reste un bon film à voir absolument pas trop d’accord avec la critique aussi.
… Je veux juste une dernière danse
Avant l’ombre et l’indifférence
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Au point où on avance, c’est à dire toujours pas loin du tout, autant copier-coller les premières analyses à propos de “Venom”, et les adapter.
Pourquoi se fatiguer la tête ? L’équipe du film elle-même n’arrive à faire aucun effort.
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“… Faudrait que t’arrives à en parler au passé
Faudrait que t’arrives à ne plus penser à ça
Faudrait que tu l’oublies à longueur de journée
Dis-toi qu’il est de l’autre côté du pôle
Dis-toi surtout qu’il ne reviendra pas
Et ça te fait marrer les oiseaux qui s’envolent
Les oiseaux qui s’envolent
Les oiseaux qui s’envolent…”
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Et le malentendu qui continue, pour ceux qui croient toujours que le Venom cinématographique est un Super Vilain ou Antihéros populaire, oubliant qu’il est l’un des meilleurs Ennemi Juré de Spider-Man… Et ceux qui se disent « oh que c’est complexe, que c’est sombre »… Alors qu’en fait non. C’est pas comme ça que ça a été créé, et que ça s’est perpétué.
Avant Venom, c’était (déjà) une idée commerciale avec la costume vivant de Secret Wars… et sa ligne de jouets.
Puis une idée (de lecteur) d’avoir pour Spider-Man un équivalent de Bizarro ou Man-Bat.
Alors OK, au début ça marchait très bien avec sa thématique du harceleur, plutôt intéressante… Mais le succès aidant, ils en ont fait une sorte de Punisher bis, en monstrueux. Et voilà Venom en grosse star autant chez les ados que les plus jeunes (et même les fans de Rap), le faisant même apparaître dans les séries animées de Spidey les plus Tout Public. CQFD.
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D’où un film se contentant finalement de la même chose, contrairement à un Deadpool poussant sa logique plus loin – avant de devenir lui aussi trop commercial :
C’est un personnage vraiment très populaire auprès de beaucoup de gens ? Il le restera ici en gardant son capitale « sympathie », son côté loser musculeux, qui ici commence enfin à assumer ses fautes, mais sans trop choquer…
Donc oui, comme dans les anciens comics Eddie Brock reste un con, égoïste, crasseux, souvent grotesque, qui a beaucoup de bagout. Ce qui explique la présence de Tom Hardy, et maintenant de Rhys Ifans (lui aussi un bon tchatcheur) en… gentil philosophe comique de service ? Même pas Knull ?
Car Venom, c’est du comic bavard, bourrin mais qui est devenu beaucoup moins inoffensif depuis les années 2010, et encore plus à l’arrivée du King in Black (prononcé tel quel en VF dans le film, même pas traduit en “Roi en Noir”), et son cortège d’intrigues sombres et mythologiques…
Et c’est assez effarant de se dire que ce qu’on a aimé il y a pas longtemps dans les comics, on n’en retrouve que des bribes minuscules sur grand écran.
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“…Tu comptes les chances qu’il te reste
Un peu de son parfum sur ta veste
Tu avais dû confondre les lumières
D’une étoile et d’un réverbère
Ça continue (encore et encore!)
C’est que le début (d’accord, d’accord!)
Mais, ça continue (encore et encore!)
C’est que le début (d’accord, d’accord!)
D’accord, d’accord, d’accord, d’accord…”
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Et c’est tout, ça s’arrête là, y a pas grand chose à ajouter, si ce n’est une petite « surprise » de voir le film prendre le temps d’évoquer la vie passée du Dr Teddy Payne (qui ?), de montrer ses origines dans une séquence flashback, son traumatisme par rapport à son frère (c’est assez ridicule), son humanité face à des réfugiés d’un autre monde et des militaires etc… Ça aurait pu faire du personnage (Juno Temple) la vraie héroïne de cet épisode, préoccupée par le sort de migrants, avec une espèce de solidarité féminine (la belle Clark Backo).
Sauf que cela est un désamorcé par le fait que le film est évidemment centré sur Venom, et donc sur la comédie grasse et onaniste telle que conçue par Tom Hardy dans le premier… idée toujours « à la bourre», tant on a l’impression d’être dans un truc ringard des années 90 – on en est encore à s’intéresser à la Zone 51 !?
Vraiment très gênant, surtout parce que l’acteur principal reste son propre interlocuteur, au lieu d’avoir un autre acteur pour jouer le symbiote. Et d’avoir ainsi une vraie dynamique entre deux égos différents.
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Alors oui, on a des scènes passant comme des vignettes obligées, avec tout ce qu’on se doute qu’il va y avoir. Dont quelques copier-collers tirés du comic – mais sans justicier portant symbole sur la poitrine… C’est à ça que correspond ce terme de Fan Service dans sa définition la plus péjorative : se contenter de plaquer des références plus ou moins emblématiques – un Knull en CGI (mais pourquoi ?) menace et envoie ses troupes (mais quels lecteurs se souviennent des Xenophages ?), depuis sa prison stellaire en se prenant pour Thanos… Eddie et le symbiote sont en cavale… une organisation mystérieuse les traquent ainsi que les autres aliens… le soldat Rex Strickland est de mauvaise humeur… on voit la spirale de Knull… plusieurs symbioses, même avec des animaux…
Mais sans qu’il n’y ait aucune construction menant à ces scènes, aucun liants.
C’est fait à la va-vite et génère un tas d’actes manqués – le “Létal Protector” (purée cette VF) ne s’interroge pas sur les limites de la justice violente à part pendant une petite minute, le Codex n’existe qu’à l’état de pay-off (la séparation), le road trip vers New-York reste désespérément bloqué sur la Côte Ouest (!!?)…
Et d’illogismes – pourquoi le symbiote ne génère pas les habits qui manquent à Eddie ? comment a survécu Mulligan avant qu’on lui injecte un (autre ?) symbiote ? pourquoi ne pas juste se cacher et foutre la paix aux Xenophages puisqu’ils ne réagissent qu’au Codex, à la base ?
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“… Y a des couples qui se défont
Sur les lames de ton plafond
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
Personne…”
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Et bien sûr le coté « morfal » du Symbiote, venant plus de la période où il était porté par Mac Gargan, est de plus en plus pénible. Et la stylisation à la Clayton Crain reste toujours artificielle et peu lisible, la faute à des costumes entièrement en images de synthèse – contrairement à dans “Spider-Man 3”.
Le tout à peine moins censuré, comme dans les 90’s, où ici un chouia de sang gicle… à l’état de poussière.
Tandis que Knull, et c’est ça le plus intéressant dans les comics, se présente normalement comme un guerrier actif, l’épée en main (fortement inspiré du Elric de Michael Moorcock, quand-même !). Ici il coincé sur son trône, on n’a pas la moindre incarnation sur Terre, malgré les quelques symbiotes présents qu’il aurait pu posséder… Les combats entre lui et Venom se limiteront à zéro, sans qu’il y ait d’invasion concrète, ni même le moindre dragon symbiotique.
Donc question action épique, ça restera complètement banal – des monstres génériques, avec plein de pattes et dents. Avec en plus un gros ventre mou de vingt minutes, passées à faire de la comédie familiale qu’on aurait pu caser dans des bonus blu-ray (en scènes étendues).
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Donc ça se laisse voir, pépère, fonctionnel, moins restreint mais toujours très pauvre en décors, peut-être opportuniste envers la Chine – la présence comique de Mme Chen, les yeux de Venom plus en amande que le modèle d’origine.
Mais sans génie et générant juste un peu d’empathie, Kelly Marcel ne pouvant confirmer si elle a un certain talent pour raconter des histoires sans avoir un auteur chevronné à ses côtés. Ni si elle possède elle-même une vision d’auteure aboutie.
Pas plus que Tom Hardy, en dehors d’inviter des potes pour pas faire grand chose (Stephen Graham), ne sait faire preuve d’une bonne implication dans des rôles plus Grand Public – et qu’est-ce que c’est que ces idées avec les chaussures, les motos et les animaux ?
C’est juste à voir comme un épisode de plus… du feuilleton Sony.
Tout ça pour cacher un manque d’ambitions, faute de moyens alloués par le studio (ou à cause du véto de Kevin Feige) pour donner plus d’ampleur au film.
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Et puis parce que ce sont des productions alimentaires avant tout, ne tenant pas compte de la présence d’acteurs ayant déjà été dans un film Marvel, ni de quelconque lien – si vous croyez que Knull va débarquer chez les Célestes juste parce qu’il fait sa grosse voix…
Et où toutes les scènes molles de ces films auraient pu être remplacées par d’autres contenant la présence de Spider-Man. C’est à ça qu’aurait dû ressembler le Sony’s Spider-Man Universe, qui n’aura passé ces quelques années qu’à courir avec une jambe en moins (et peut-être même les bras).
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Voilà quoi, c’est plus très marrant à force.
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“… Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
Personne, personne, personne, personne, personne, personne
Personne!
Personne!…”
Vu hier soir avec mes enfants : très bon film on a vraiment passé un bon moment je n’ai pas regardé ma montre pendant 1h50 alors que la note allociné est de 2.6/5
Joker 2 note allociné 2.4/5 note quasiment similaire est un bid total vraiment ennuyant pourtant je suis fan de film psychologique… donc les notes et les critiques merci mais chacun son opinion Salut.
Je suis honnêtement d ‘accord avec vous et puis le cinéma c’est pour s’evader
Après « Wolverine et Deadpool », « Joker2 » je suis un peu déconcerté par l’univers Marvel. Des films aux dialogues travaillés mais une ambiance sans queue ni tête. Faut croire que « Joker1 » a bougé les lignes, mais je me vois pas payé 11 euros pour un film avec de si mauvaises notes ! Un comics, un Marvel c’est une histoire à problème, pas une démonstration de guignols sur grand écran.
Ca tombe bien puisque Joker c’est pas Marvel 😀