En 1996, les producteurs de Jurassic Park nous proposaient Twister, un film catastrophe avec des chasseurs de tornades. En 2024, les producteurs de Jurassic World nous proposent Twisters, un film catastrophe avec des chasseurs de tornades. Si la vie trouve toujours un chemin, Hollywood a trouvé celui du perpétuel recommencement. Les studios américains sont officiellement coincés au jour de la marmotte et on est désormais à minuit moins cinq qu’ils aient l’idée d’y renvoyer Bill Murray. Heureusement pour nous, ils sont trop occupés à lui faire renfiler sa combinaison contre les fantômes.
Bref, les remakes, les reboots, les revivals et les legacyquels ont encore un avenir radieux tant que les projets originaux font des bides au box-office et qu’un septième Jurassic Park arrive à obtenir la présence de Scarlett Johansson et qu’un septième Scream allonge l’argent pour le retour de Neve Campbell. Tout ça pour dire qu’il y a quelqu’un, quelque part, qui a, un jour, reposé son regard sur le Twister de Jan de Bont et qui s’est exclamé « tiens, et si on lui rajoutait un s ?! ». Si la prise de risque pouvait être calculée sur la fiche de salaire, cette personne doit rendre beaucoup, beaucoup d’argent.
Bon, on tire gentiment sur le développement débordant de créativité qui a conduit à ce que les salles de cinéma proposent un Twisters à l’affiche, mais cela ne signifie pas pour autant que le projet sera lui-même catastrophique. On a déjà vu des idées bien plus capillotractées accoucher finalement d’un bon film ou d’une bonne série. Et puis il suffit de voir l’équipe accolée au métrage. La réalisation a été confiée à Lee Isaac Chung, réalisateur émérite d’un épisode de The Mandalorian. Le scénario à Mark L. Smith (Overlord, The Revenant) avec la participation de Joseph Kosinski (réalisateur de Top Gun : Maverick, le futur F1).
Et, surtout, il faut bien l’admettre, Twister-sans-s ne volait pas très haut à l’époque, ayant gagné sa petite aura grâce à l’efficacité de Jan de Bont, papa de Speed – un Speed 3 est d’ailleurs en discussion, quelque part – et au casting porté par Bill Paxton et Helen Hunt. Un charme qui continue de fonctionner chez les amateurs du genre ou pour la génération ayant grandi avec, mais il serait malhonnête de le qualifier de réussite exemplaire. Alors de là à lui donner une suite…
Avec Twisters c’est parti, les fous rires sont garantis
Suite n’est pas le bon terme puisque ce Twisters se présente davantage comme un remake du premier. Daisy Edgar-Jones a remplacé Bill Paxton dans le rôle du personnage central habité par un trauma et Glen Powell fait une superbe Helen Hunt auquel on aurait collé toutes les qualités qui pourraient aller avec sa belle gueule. Il est cool, intelligent, sympa, généreux, empathique, compatissant, drôle, dragueur juste ce qu’il faut… Le genre de mec qui arrive à un entretien d’embauche pour dire que son seul défaut est d’être perfectionniste.
Aucun personnage ne semble réellement exister. Edgar-Jones est un concentré de clichés. Powell est un Sims à qui on aurait monté tous les attributs au maximum. Et malgré beaucoup d’autres têtes connues comme le futur Superman David Corenswet, Anthony Ramos – qui a s’est engagé chez les G.I. Joe dans Transformers : Rise of the Beast – ou encore la star montante Katy O’Brian (Love Lies Bleeding), le reste du casting occupe simplement le décor sans rien risquer d’autre qu’être oublié par le spectateur ou le scénario.
Et si on ne vous a pas encore parlé de l’histoire en tant que telle, c’est uniquement parce qu’elle est accessoire et ne s’en cache pas. Héroïne se rêvait chasseuse de tornades avant qu’une tragédie ne la frappe, elle part se planquer à New York avant que Copain ne revienne la chercher, lui promettant l’argent et la technologie qui lui permettra de sauver des vies. Sur place, elle rencontre BeauGosse, chasseur youtubeur casse-cou. Tout ce petit monde va affronter des tornades jamais vues.
Encore plus impressionnants que les tornades : les facilités scénaristiques. Quand Twisters veut se lancer dans un remake de Twister, il ne fait pas semblant et décide de se présenter comme un film lui-même venu tout droit des années 90 avec une écriture de protagonistes et une succession d’événements qu’on n’avait plus vus depuis et on comprend pourquoi. Tout est convenu, attendu et sans aucune tension puisque le métrage met constamment en avant les mêmes personnages que l’on sait protégés par la magie de scénario. La prise de risque n’était pas dans le projet Twisters, elle ne le sera pas plus dans le film Twisters.
Attention, tornaze
Ce qu’il a de bien dans le genre du film catastrophe, c’est qu’on vient moins pour le film que pour la catastrophe. On veut voir des vaches et des figurants qui volent, des dégâts colossaux, une mère nature déchaînée. Et avec vingt-huit ans de plus au compteur, autant dire que Twisters a la technologie pour pousser le délire bien plus loin que son aîné, d’autant qu’il y a un S dans le titre. Si le long-métrage assure son service destruction, tout ce qu’on a dit précédemment sera pardonné et oublié.
Sauf que le métrage a décidé de rejouer la carte du premier ici aussi, améliorant simplement les effets visuels. Twisters se refuse à jouer la carte du « plus gros » qui habite normalement n’importe quelle suite facile et qui, pour un film catastrophe, serait à propos. La fameuse promesse de tornadeS n’est pas tenue et on se retrouve face aux mêmes tourbillons que le premier. Cependant, comme on le disait, Twister à vingt-huit ans.
Ce qui sous-entend que, depuis, une multitude de films catastrophes ont profité des avancées numériques et des envies de lâcher les chevaux pour nous promettre du grand spectacle avec de vraies apocalypses. Le Jour d’après, 2012, San Andreas, Geostrom… Twister pouvait impressionner en 1996, mais pour qu’il ait une légitimité en 2024, la concurrence exigeait que Twisters pousse autant les curseurs qu’avec Glen Powell. Ce qu’il ne fera jamais. Tout juste si les vingt dernières minutes proposeront un poil plus de générosité et d’ambition, sans trop faire d’efforts. Catastrophe il y a eu.
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Votre analyse sent presque le trauma face à un orage d’avril un peu virulent.
“Twister c’est parti
Les fous rires sont garantis
Avec Twister…”
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Un film qui, dans les années 90 – et notamment cette année 96 – était une proposition atypique parmi tous les films Catastrophe, redevenus à la mode à ce moment là. Et Personne ne semble avoir fait en sorte de comprendre ce que c’était vraiment.
D’abord, la menace en titre, ces Tornades :
En préambule on peut signaler une certaine cohérence dans le studio Universal, pourvoyeur de quelques bons films Catastrophe prompts à alimenter les parcs d’attraction éponymes, et qui en a souvent produit certains dans lesquels les cataclysmes ont l’allure d’être vivants. Déjà “Backdraft” ajoutait des sons bestiaux au Feu, nous présentant celui-ci comme une entité (“mon animal”… “ça respire, ça mange, et ça hait”). Puis Spielberg lui-même nous sort ses dinosaures, mi animaux à protéger, mi monstres dévoreurs.
Alors quand Jan de Bont a filmé ses tornades, il les a montré de la même manière : des créatures sauvages de la Nature, à chasser… des géants, des Titans, terrifiants (l’une d’entre elle attaque de nuit, pendant une projection en plein air de… “Shining”), Céleste (“à quoi peut ressembler une F5 ? – au doigt de Dieu”).
Aller vers le danger, puis mettre à l’abri tout le monde avant une série de destructions plus ou moins arbitraires (la tornade donne l’impression de vous suivre si vous la provoquez)… c’est un tantinet un film de Kaijus.
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Ensuite, il y a la force du casting :
Un duo bien équilibré entre Helen Hunt, ici dans drôle de mélange entre Linda Hamilton et Jodie Foster… un peu femme-enfant aussi (elle a subi un trauma un peu basique quand elle était petite), irradiante et pugnace et c’est vraiment dommage que l’actrice n’ait plus jamais joué de rôles d’action comme celui-là, tellement elle était top. En plus, on peut facilement tomber amoureux d’elle.
Et de son côté Bill Paxton joue un étonnant décalque de André Dussollier (le ton péremptoire, les costards clairs, les cheveux hérissés, les dents en avant), mais en version américaine virile.
Quant aux autres, loin d’être des clowns exaspérants il s’agit surtout de la crème des seconds rôles américains. Tous les visages qu’on voit là, on les a déjà vu quelque part et on les a apprécié, même sans connaître leurs noms.
Des Alan Ruck, Joey Slotnik, Jeremy Davies etc etc, même chez les scientifiques rivaux, avec Abraham Benrubi qui passe une tête (c’est une prod Spielberg, comme “Urgences”). Sans compter cette curiosité : Philip Seymour Hoffman (le seul qui deviendra une star, tout en continuant d’être un excellent second rôle) qui fait du Jack Black avant Jack Black.
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Ils sont tous caractérisés en une poignée de détails, par exemple leurs attitudes, assez différentes (bien que tous rigolos, il y en a qui seront plus mesurés, et d’autres qui planent complètement)… ou bien lors de cette course dans laquelle chacun va écouter son type de musique préférée (Hoffman a des tas d’écrans dans son van et se passe un clip de Deep Purple, un autre écoute Guillaume Tell de Rossini, deux autres chantent à tue-tête “Oklahoma !”)…
Tout ça a une ambiance sacrément jeune, cool, outsider et avec plein de bagout (scientifico écolo grunge). Très simple – les doux-dingues adeptes du Système D contre les fans de High-tech – mais sans qu’il y ait de réel antagonisme entre gentils et méchants.
Et on peut imaginer que Tous seraient la version adultes des jeunes héros Amblin, continuant ainsi de pourchasser des phénomènes incroyables… c’est beaucoup un film d’aventures.
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Et enfin, il y a le rythme :
De Bont garde la même logique que son “Speed”, à savoir un film qui est tout le temps en mouvement, tout le temps dans l’urgence, trépidant (merci aussi aux musiques de Mark Mancina – très inspirées de la BO de Hans Zimmer pour “Backdraft” – et à la participation de Van Halen)… Faisant quelques petites pauses bucoliques avant de se relancer de plus belle, et ne s’arrêtant jamais avant d’être arrivé à bon port.
Il y a bien sûr la poursuite des tornades, qui ressemble aussi bien à de la capture de pure-sangs qu’à un acte kamikaze – et pas fait pour les douillets et ceux qui ont peur de se salir. À cela s’ajoute une compétition avec des concurrents (et plagieurs, et coincés) pour savoir qui va recueillir des tas de données précieuses en premier, pour le bien des habitants du Midwest et la gloire qui va avec.
Et aussi une sous-intrigue, mais qui en fait centrale au film : Paxton revient juste pour signer les papiers du divorce et commencer très vite une vie plus tranquille… et évidemment va se rendre compte, au fur et à mesure qu’il accepte de faire marcher le projet scientifique de sa vie, qu’il a toujours un talent inné pour “sentir” la formation de tornades, qu’il est toujours accroc à l’adrénaline, et que son ex et lui s’aiment toujours… c’est bien un joli film de remariage.
Dans des paysages qui ont eux-aussi un charme étrange, composés de plaines vertes aussi immenses que le ciel, et où pourtant le danger le plus colossal arrive à se cacher et vous surprendre…
C’est LE film de tornades, avec des gens biens, de l’entraide, de bonnes valeurs et une menace exponentielle qui provoque la fascination.
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“…Sur la couleur pose tes mains
Et tes pieds
Sans bouger
Avec Twister”
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Le premier film avait la mention “Par les producteurs de Jurassic Park”…
Celui-là a “Par les producteurs de Jurassic World”.
Est-ce que ça veut dire qu’on va avoir une énième suite tardive-remake-fan service… et trop dévitalisée ? Il y a un peu de ça.
Mais on peut porter au crédit de ceux qui ont été en charge de ce projet (dont Joseph Kosinski, déjà derrière les grands retours de “Tron” et “Top Gun”) d’avoir élagué toutes les références explicites au film original, évitant ainsi le genre de lourdeurs qu’on trouve dans les deux derniers “Ghostbusters”.
Et que le réalisateur Lee Isaac Chung, qui a d’ailleurs été élevé dans le Midwest, n’oublie pas de se concentrer aussi sur le côté intimiste, comme à son habitude.
Sauf que ce “Twisters” tombe alors dans un excès inverse, puisqu’il a beau se passer dans le même univers (a priori, puisqu’on a le module “Dorothy”), il ignore de manière éhonté tout l’apport historique qu’ont apporté les personnages du premier volet… et on se retrouve alors avec un manque de consistance dès lors qu’il n’y a pas le moindre chasseurs de tornades vétérans dans les parages – ni Helen Hunt, qui voulait faire sa propre version avec l’équipe de “Blindspotting”, ni même un des nombreux seconds rôles toujours vivants (encore une fois, ce sont des supers acteurs).
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Manque de cohérence aussi, puisque le personnage qu’incarne Daisy Edgar-Jones semble manifestement avoir été conçue comme la fille de Jo et Bill Harding, additionnant toutes leurs particularités mais sans être finalement leur descendance :
Elle est blonde (alors que l’actrice est naturellement brune), fait encore plus gamine mais est un chef naturel, a un traumatisme passé et finit par passer la même garde-robe que Jo – et on peut facilement tomber amoureux d’elle…
Elle “sent” les tornades, revient d’abord temporairement dans son pays après avoir cherché la tranquillité chez les citadins, pour mieux finir ce qu’elle a jadis commencé et retrouver le goût de l’aventure, comme Bill.
Et aussi comme dans ces films où des jeunes femmes carriéristes doivent choisir entre une vie de rond de cuir dans une grande ville, et une vie en jeans chez les cowboys – avec un petit ami potentiel dans chacune de ces existences.
Vous savez très bien ce que (et qui) elle va choisir, même si ce film là va se montrer très prude (Spielberg a imposé qu’on coupe un baiser final ? par peur des hormones ?).
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Étrangement le personnage de Jonas, rival arrogant du premier film, se retrouve lui divisé en deux :
L’un est le chef des rivaux, un amoureux malchanceux et entrepreneur, désespérant – et Anthony Ramos rajoute une autre suite-remake peu pertinente à sa filmographie.
L’autre c’est Glen Powell, l’acteur qui a plus de menton que d’yeux (bref une grande gueule née)… Sauf que lui il est très cool, pas seulement parce qu’il fait encore son numéro de mâle alpha frimeur, moins con qu’il n’en a l’air. Mais il représente aussi un héros viril à l’ancienne, très compétent, sérieux quand il le faut, qui sait ce qu’il fait etc. Ça fait toujours plaisir à voir dans un paysage cinématographique à la Chalamet.
Donc c’est aussi une comédie romantique, un poil screwball (y a du Cary Grant là dedans) mais qui fonctionne sans un tempo soutenu… ce qui sera toutefois moins intéressant que la comédie de remariage du précédent film, où les amoureux y ont déjà un Passé et ont peu de temps pour se décider. Là au contraire les protagonistes ont tout leur temps, ça fait de l’urgence en moins dans le rythme du long-métrage.
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Dommage par contre que les seconds rôles de cet opus ne soient pas aussi bien traités cette fois, Chung ayant complètement loupé le coche avec Sasha Lane (pourtant connue depuis des années), Katy O’Brian (juste après la sortie de “Love Lies Bleeding”, pas de bol) ou David Corenswet, dont le stoïcisme idiot le réduit bien à être un sous-Henry Cavill.
Non seulement ils n’ont pas grand chose à jouer à part les mêmes partitions collégiales (les gentils se marrent tout le temps, les autres sont des coincés), mais ils sont tous coulés dans le même moule homogène, sans personnalité, interchangeables. On y ajoute juste des équipements modernes, des gadgets pour faire le show, l’utilisation des réseaux sociaux aussi bien pour faire de la promo que pour alerter la population, et une identité un peu plus texane, mais c’est tout.
Quant au propos social du film, où on pointe du doigt ceux qui profitent des catastrophes au lieu d’aider tout de suite les sinistrés, non seulement il est très prévisible mais en plus c’est un élément scénaristique basique aujourd’hui, qu’on peut caser n’importe où.
Indispensable depuis qu’on a eu notre lot d’images de populations sinistrées à cause de catastrophes environnementales. Suffisamment mis en avant dans ce film pour se sentir concerné, sans que ça n’entame trop le côté spectaculaire.
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Donc suite-remake ou reboot, qui ne marche certainement que parce que l’original a presque trente ans… Il y en a que ça peut rebuter de voir l’ancien, par peur de comportements d’antan qui seraient moins appropriés aujourd’hui. Ou de mode ringarde. Ou bien d’effets spéciaux trop obsolètes – sauf qu’entre les deux, y a pas photo : visuellement, c’est très très similaire, il n’y a rien de neuf, les tornades sont créées et représentées identiquement (c’est à peine plus lisible), les effets de destruction mélangent toujours le réel et le virtuel etc. Un peu plus réaliste, rognant la partie “Surnaturelle” associée à ses monstres aériens (le son est moins grondant, moins agressif). Même l’apparition d’une tornade “diabolique”, faite de flammes, ne dure pas assez longtemps pour ajouter un niveau supplémentaire de menace – l’enjeu étant maintenant de trouver un moyen de détruire ces tornades.
Et le déroulé scénaristique ne varie pas non plus, avec la même rivalité (inoffensive) entre les amateurs débrouillards et ceux qui se reposent trop sur la technologie. Jusqu’à reprendre plein de dialogues, à la ligne près (“Content que tu sois revenue ! – Je reviens pas !”)… Et même plein de scènes, dont celle de la salle de cinéma mais en en changeant le sens, passant de la terreur nocturne à l’objet méta un peu chic (le “Frankenstein” de James Whale, le Quatrième Mur – ceux qui verront le film en 4DX vont être aux anges).
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Le charme que peut générer ce film envers les non-initiés, c’est en fait celui de 1996 mais en moins rythmé, moins galvanisant (pas trace des supers thèmes musicaux de Mancina), moins brutal, moins fou…
Les initiés eux risquent de trépigner régulièrement devant une intrigue qui peine souvent à avancer.
Mais d’ici à ce que une suite soit lancée (plus ambitieuse ? plus véloce ? avec enfin quelques vétérans dans le lot ?), on peut au moins profiter d’un film d’aventure secrètement écolo, secrètement midinette, pas très boursouflé, très américain et avec toujours ces super paysages à perte de vue.
T’es un ouf … sérieusement… je constate aussi que c’est volontaire, à comparer la note entre twister et deadpool wolverine… c’est l’inverse, et totalement. Je passais par la pour vérifier car il semble que ce soit pareil pour borderlands, qui me semblait peut-être intéressant et je trouvais bizarres la note qui lui avait été donné sur ce site, d’après un article que je viens de lire sur un autre site. Donc ducoup l’auteur de l’article sur journal du geek lui aurait donné une mauvaise note, et il semblerait que ce soit peut-être un bon film, selon une véritable logique … Bref je note aussi que ce phénomène est assez récurrent, dans tous les médias, et socialement…
J’ajoute pour finir, que le dernier deadpool me semble bien être un mauvais film de façon quadruple (le film, deadpool, l’histoire autour de wolverine, l’histoire autour du tva) et pourtant wolverine quoi … et le tva !!! des pépites en général! En plus les combat entre deadpool et wolverine sont pas mal!! Le concept des deux qui sont “immortels” aussi!!!
Mais aussi que twister comporte deux imperfections, la fréquence des tornades! Et le manque de … “sciences” on va dire, au moins dans les dialogues même si c’est pas forcément concret, des dialogues plus fournis auraient été appréciés au minimum (et pour le côté concret, peu s’en préoccupé selon le niveau des fonctions cognitives et/ou les connaissances, je manque par exemple moi-même de connaissances scientifique, surtout sur ce sujet, j’ai largement un goût pour la chose quand même mais j’accepte sans problème la fiction selon sa qualité).
En conclusion je donnerais un 2 maximum, surtout pour les gros gros fans de deadpool, à deadpool wolverine, et entre 3,5 et 3,9 à twisters selon les attentes, étant un film qui reste agréable à regarder tout du long.