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Critique Five Nights at Freddy’s : un bon petit somme ? đŸ»

SuccĂšs surprise aux États-Unis, Five Nights at Freddy’s dĂ©barque chez nous peu aprĂšs Halloween pour faire frissonner les amateurs de films d’horreur et les fans du jeu vidĂ©o. Ou aucun des deux. SĂ»rement aucun des deux.

La formule mathĂ©matique de la sociĂ©tĂ© Blumhouse est simple : produire plus avec moins pour gagner plus afin de produire plus gros. Pour le dire simplement, un paquet de petits films d’horreur bas budget viennent remplir les salles ou les platesformes de streaming, engrangent un paquet de billets verts qui permet ensuite de financer des mĂ©trages plus consĂ©quents. Est-ce que ça marche ? Five Nights at Freddy’s a coĂ»tĂ© entre 20 et 30 millions de dollars et avait dĂ©jĂ  rapportĂ© 80 millions dĂšs son premier week-end d’exploitation sur le sol amĂ©ricain. Au fond, pourquoi faire compliquĂ© quand faire simple rapporte gros ?

Parce qu’on peut le dire, le long-mĂ©trage d’Emma Tammi tirĂ© de la sĂ©rie de jeux vidĂ©o du mĂȘme nom est une poule aux Ɠufs d’or aussi automatique que les animatroniques qu’elle met en scĂšne. Reprenant rapidement des Ă©lĂ©ments des jeux dont il s’inspire, le film essaie de justifier son existence avec un scĂ©nario mettant en scĂšne Mike (Josh Hutcherson), un homme hantĂ© par un lourd passĂ© qui peine Ă  garder un emploi et Ă  s’occuper seul de sa petite sƓur. En dĂ©sespoir de cause, il accepte un boulot mal payĂ© en horaires de nuit : gardien de nuit dans un vieux restaurant dĂ©labrĂ© et abandonnĂ©, le Freddy Fazbear’s Pizzeria. Ce qu’il ignore, c’est que les animatroniques qui hantent encore le lieu n’ont rien d’automates inoffensifs.

Five Nights At Freddy's Peluches
© Universal Pictures

Le film, par contre, est bel et bien inoffensif, une production en pilotage automatique qui rĂ©pond aux clichĂ©s du genre horrifique. La musique grĂ©sille ? La lumiĂšre vacille ? Une ombre va forcĂ©ment surgir dans la nuit et ce n’est pas un assassin qui s’enfuit. Les effets de surprise ont la gentillesse de prĂ©venir de leur arrivĂ©e cinq minutes avant, de sorte qu’on obtient le don d’omniscience nous permettant de voir le futur et d’anticiper chaque effet. Soit, nous sommes des dieux, soit le long-mĂ©trage rĂ©cite le manuel du petit froussard.

Alors certes, Five Nights at Freddy’s dĂ©ploie une ambiance cauchemardesque aussi originale qu’une comĂ©die française avec Christian Clavier, mais si, au moins, il pouvait nous offrir un petit peu de sang, un effet gore ou une lĂ©gĂšre envie de fermer les yeux pour autre chose que dormir ? À votre bon cƓur, messieurs dames ? Non ? Non. Le mĂ©trage reste Ă©pouvantablement sage, voire tout public si on omet un trĂšs rapide aperçu du talent criminel de nos machines. Nous voilĂ  devant un film d’horreur timide, pudique, qui ne tient qu’une seule promesse : celle de ne pas payer sa facture d’électricitĂ©.

Les enfants semblent ĂȘtre le sujet du film et le cƓur de cible d’un film qui Ă©vite constamment d’embrasser son concept pourtant intĂ©ressant, avec de rĂ©elles bonnes idĂ©es pour lĂącher les chevaux, comme l’usage de ces animatroniques au potentiel horrifique aussi majeur que nos amis les clowns. Un lieu dĂ©labrĂ©, des automates dans le mĂȘme Ă©tat et des victimes qui ne demandent qu’à rencontrer le Terminator dĂ©guisĂ© en ourson gĂ©ant, on tenait notre plaisir pas coupable de cette pĂ©riode d’Halloween si seulement. Si seulement.

Critique Five Nights At Freddy's
© Universal Pictures

Bref, pas de quoi remplir la dent creuse d’un amateur d’hĂ©moglobine affamĂ©, ni mĂȘme d’un passionnĂ© de la franchise d’ailleurs. Car, et c’est encore plus surprenant lorsqu’on sait que le crĂ©ateur de « FNAF Â» Scott Cawthon a participĂ© au scĂ©nario, Ă  part des rĂ©fĂ©rences ici et lĂ , rien de ce qui faisait le plaisir du jeu n’est vraiment employĂ© dans cette adaptation.

Les camĂ©ras ne sont qu’un prĂ©texte scĂ©naristique lĂ  oĂč elles auraient pu ĂȘtre un vrai outil de mise en scĂšne (au mieux effleurĂ© dans le film) et la narration s’embarrasse de bien trop d’élĂ©ments secondaires pour tenter de construire quelque chose autour d’une bĂȘte adaptation qu’elle en oublie d’ĂȘtre
 une adaptation. Sauf si on considĂšre Resident Evil Final Chapter comme une bonne adaptation de la licence. Oui, c’était un tir gratuit, mais c’est pour mettre en exergue un constat : on ne sait pas Ă  qui ce film s’adresse. Les amateurs d’horreur n’en auront pas pour leur argent et les fans du jeu prĂ©fĂ©reront sans aucun doute relancer une partie. Mais vu le succĂšs du film, on n’a sĂ»rement rien compris.

Un scénario en roue libre

Une chose que l’on a comprise en revanche, c’est combien le scĂ©nario n’a aucune idĂ©e de comment donner de l’intĂ©rĂȘt au massacre robotique et va mĂȘme tout faire pour Ă©viter de trop s’y attarder. La mise en place de l’histoire de Mike dure trop longtemps pour ĂȘtre honnĂȘte et une fois qu’on pense le film lancĂ©, il continue de prendre son temps, conscient qu’il faut occuper cinq nuits parce que c’est dans le titre.

On va donc partir sur un bel exemple de remplissage excessif, notamment via la quĂȘte personnelle de notre hĂ©ros : rĂȘver. S’il y a un Freddy dans le mĂ©trage, c’est bien celui des Griffes de la nuit puisqu’on passe un nombre de moments bien trop consĂ©quent dans les rĂȘves de Mike Ă  faire du camping avec des gamins. Pourquoi ? Parce que cela permet d’expliquer des trous scĂ©naristiques.

Five Nights
© Universal Pictures

Est-ce qu’on sous-entend que des Ă©lĂ©ments du scĂ©nario existent pour expliquer le scĂ©nario ? C’est pourtant le but non ? Certes, mais on vous rĂ©pondra qu’une narration bien ficelĂ©e n’a pas besoin de scĂšnes purement explicatives puisque tout dĂ©coule naturellement. Dans le cas prĂ©sent, on se retrouve face Ă  des sĂ©quences utilitaires dont le seul intĂ©rĂȘt est de palier Ă  un manque que l’histoire n’arrive pas Ă  palier avec son simple postulat d’origine. En gros, Five Nights at Freddy’s passe son temps Ă  s’arrĂȘter pour combler les trous, rĂ©pĂ©ter souvent la mĂȘme chose et surtout, tourner en rond. On est face Ă  un film qui ne sait pas oĂč aller, ni comment y aller.

Il suffit de voir la tragĂ©die du personnage de Vanessa, incarnĂ© par Elizabeth Lail. Un personnage dont la fonction est de fournir les Ă©lĂ©ments de comprĂ©hension d’intrigues au compte-goutte au hĂ©ros et au spectateur. À chaque fois que le film ne sait pas comment raconter quelque chose, il fait appel au Deus Ex Machina Vanessa. Un couteau-suisse scĂ©naristique qui dĂ©ambule pour colmater toutes les fuites avec la mĂȘme subtilitĂ© que le pas dĂ©licat d’un lapin robot rouillĂ© de deux mĂštres. Five Nights at Freddy’s, c’était vraiment cinq nuits de trop.

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Notre avis

Inintéressant, cliché, gentillet et écrit par une intelligence artificielle, Five Nights at Freddy's est autant un film d'horreur que Bob l'éponge. Un métrage tout public, voire mignon, qui passerait sûrement à cÎté de tout ce qu'il voulait faire si seulement il savait ce qu'il voulait faire. Enfin si, il sait ; et son box-office prouve qu'il a réussi. Il se passe définitivement quelque chose d'étrange chez Freddy.

L'avis du Journal du Geek :

Note : 3 / 10
8 commentaires
  1. On voit typiquement que les personnes ayant rĂ©diger ces lignes ne connaissent rien a l’univers fnaf et ne sont pas capable de regarder un film correctement, le lore change un peu de celui du jeu.
    On nous montre bel et bien le trauma vis a vis de disparition d’enfants ( scĂšne du dĂ©but oĂč il tabasse un type qui est au final un pĂšre) qu’il a vĂ©cu, et la relation avec le monde onirique qu’à Mike DU DÉBUT JUSQU’À LA FIN ( livre, somnifĂšre, Ă©vocation qu’il dort beaucoup) lĂ  oĂč les enfant tuĂ© en profite pour interagir avec lui.
    Concernant le fait que ça ne soit pas assez gore et que l’on voit venir les scùne surprenantes, on est pas sur du SAW, la on veut les ambiance de l’univers et l’histoire de l’univers en respectant l’image du jeu ( apparition/disparition, indice de screamer).
    Pour le cas de Vanessa, bah logique qu’elle comble les trou de l’intrigue quand on sait a la fin que c’est la fille de William afton ??? Elle est un peu au courant de tout ce qui c’est passĂ© mais est trop traumatisĂ© pour en parler ???
    Bref, j’en passe, en tant que fan et connaissant le lore entier de fnaf, ce film c’est du minimum 7,5/10 si on est un peu relou.

    Je vous le confirme donc comme vous l’aviez si bien dis, vous n’avez rien compris.

    Et ça m’embĂȘte car on tombe dans les premier rĂ©sultat sur votre article quand on cherche des avis, je vous invite donc Ă  regarder le lore entier des jeux et bouquin fnaf, de re-regarder le film ( les yeux ouverts cette fois) et on verra si vous avez toujours le mĂȘme contenu.

  2. j’ai trouver que le film Ă©tait une bonne interprĂ©tation , les personne qui connaisse l’histoire des jeux five night at Freddy’s savent que ça suis pas totalement l’histoire ,mais devrais savoir que il y a beaucoup de ressemblance et que d’adapter un jeux comme ça en films il devais forcement des changement, s’attendre a un film gore c’est que vous ne connaisser pas le jeux . les animatronique ne doive pas faire peur au enfant justement pour les attirĂ©e et que le jeux en aucun cas n’est gore se sont des screamer en aucun cas on vois des chose gore donc dire que se n’est pas ressemblant au jeux car ce n’est pas gore alors rejouĂ©e au jeux merci . le jeux mais plus de l’angoisse et du tresse que de la violence . et toute une histoire sur un tueur en sĂ©rie qui tue des enfant et les mais dans les animatronique et qui finie par ĂȘtre lui aussi bloquer dans son costume et encore toute l’histoire Ă©tait encore un peux flou le film nous apporte des rĂ©ponse qui Ă©tait encore flou jusque la . alors merci a scott d’avoir fais se film et merci pour c’est jeux et cette histoire . merci a la communautĂ© au au fan qui on compris et aimer les jeux comme le films .

  3. J’ai vu ce film, j’ai jouĂ© au jeu. Clairement ce film est ratĂ© car on s’y ennuie et il a Ă©tĂ© Ă©crit avec les pieds.
    La critique ici est parfaitement honnĂȘte. Il a fait venir dans les salles uniquement pour sa licence. S’il y a une suite ce sera un Ă©chec (bon il doit pas y en avoir en vrai).

    Pour le fait de reprocher l’attente d’un film Gore
 regardez la bande annonce, c’est clairement ce qui est prĂ©sentĂ© (et aussi l’intĂ©gralitĂ© des scĂšnes “gore” du film.

    Pour ce qui est du “stress” car c’est l’essence du jeu
 jour 2 1/2 c’est fini. On sait tout des animatronics c’est limite la fĂȘte. Y a plus qu’à attendre la rĂ©vĂ©lation finale
 qui est tĂ©lĂ©phonĂ©e.
    Seuls et Mike et sa soeur sont correctement Ă©crit, les autres c’est des caricatures ou du vide. La policiĂšre est un bot de jeu vidĂ©o qui donne les infos quand on a validĂ© une Ă©tape.

    Je n’a pas ressenti 1 seule fois l’ambience des jeux. 0 tension, 0 stress, 0 horreur.

    L’adaptation de Nicolas CAGE Willy Wonderland est tellement plus gĂ©nĂ©reuse pour son public et assumĂ© dans son style. J’ai passĂ© un bien meilleur moment mĂȘme si ce n’est pas fidĂšle au gameplay du jeu.

  4. HonnĂȘtement ça m’attriste de voir Ă  quel point la critique est gratuite. Mais bon apparemment les gens qui ont rĂ©digĂ© cette critique ne connaissent absolument rien de cette incroyable franchise qu’est fnaf.
    Il y a deux trois points Ă  Ă©clairer regardant leur critique que j’ai trouvĂ© assez exaspĂ©rants

    > Non, le film n’est pas gore. Ça n’a rien Ă  voir avec le style de la franchise et ça m’exaspĂšre de voir que les gens n’arrivent pas a comprendre ça. Les gens attendent des films de ce style une violence gratuite qui ne les reprĂ©sente absolument pas et finalement ils condamneront cette violence gratuite dans leur critique de toute façon.

    > MĂȘme si il est vrai qu’on ne peut pas parler « d’horreur Â», j’ai trouvĂ© l’ambiance du film et particuliĂšrement de la pizzeria extrĂȘmement bien rĂ©ussie. Les quelques jumpscares sont pour moi assez efficaces (sur moi en tout cas ça a assez bien fonctionnĂ©) et mĂȘme si on avait quelques moments de flottement, l’ambiance est bel et bien prĂ©sente du dĂ©but Ă  la fin.

    > Pour moi, la prĂ©sence de Scott est justement ce qui a permis d’arriver Ă  ce rĂ©sultat et pas Ă  un bain de sang ridicule et sans fond. Il a pour moi permis de prĂ©server sa franchise, d’éviter de la dĂ©figurer.

    > Et mĂȘme si le personnage de Vanessa Ă©tait quand mĂȘme relativement Ă©nervant, son statut dans le film explique assez bien ses apparitions et ses dialogues.

    ArrĂȘtez d’ĂȘtre mauvaises langues, on dirait vraiment des critiques gastronomiques qui se fichent complĂ©ment de ce qu’ils mangent et qui se contentent seulement de noter sans apprĂ©cier. (Vous apprĂ©cierez le parallĂšle avec « le Menu Â»)

    Pour moi ce film c’est facile un 8,5/10 et j’attends la suite avec impatience ! Je suis pour ma part tout à fait satisfait.

    1. Merci de ton commentaire je suis dĂ©sespĂšre des personne qui sont la que pour critiquer , je comprend pas que on puisse autant dire de chose nĂ©gative alors que le film nous montre l’histoire de fnaf meme s’y cela n’est pas parfait comme beaucoup de chose ça repond a des question que on se posai et ça nous raconte l’histoire de fnaf et nest pas que la pour le sang, le gore et d’autre chose de film d’horreur


  5. Voici ma critique perso

    Pour les points positifs: Les costumes sont juste parfait, les proportions les couleurs et leurs mouvements sont fidĂšles aux jeux. Les rires de Freddy sont peut ĂȘtre un dĂ©tail mais qui fait quand mĂȘme plaisir aux fans. La pizzeria est trĂšs bien faite, avec plein de dĂ©tails trĂšs cohĂ©rents. Balloon Boy est juste un jumpscare gratos, ça m’a bien fait marrer. Les personnages Mike, Aby, la policiĂšre et son pĂšre son assez intĂ©ressants dans l’ensemble.

    Pour les points nĂ©gatifs: Le film est trop concentrĂ© sur la vie de Mike et Aby que sur le lore de la licence FNAF. Je pense que le film se veut original, mais Ă  un tel point qu’il en oublie l’histoire principale. J’imagine aussi que Mike n’est pas un agent de sĂ©curitĂ© que l’on a jouĂ© dans les jeux, mais quand mĂȘme il passe le plus clair de son temps Ă  dormir
 Ils n’ont aussi malheureusement pas jouĂ© sur les camĂ©ras. Exemple: Quand on est sur une cam qui vise un animatronique, ce dernier ne bouge plus, mais les autres en profitent pour s’approcher de la salle de surveillance.
    Ils n’ont aussi pas jouĂ© sur le comportement des animatroniques ! Dans certains jeux quand Freddy s’approche il faut mettre un masque d’ours pour qu’il nous laisse tranquille, quand Bonnie (qui prend toujours le couloir de gauche) arrive devant la porte vous ne pouvez plus la fermer, quand Chica (qui lui prend toujours le couloir de droite) s’approche il a le mĂȘme comportement que Bonnie, et pour Foxy il faut TOUJOURS surveiller qu’il ne sorte pas de derriĂšre son rideau sinon c’est la mort presque assurĂ©e. Tous ces caractĂšres n’ont pas Ă©tĂ© respectĂ©s. Pareil pour le muffin, de base il est inutile mais ils l’ont fait plus apparaitre que Chica
Pour les jumpscares: prĂ©visibles, pas assez de tension (aprĂšs c’est un film -12 donc peut ĂȘtre que c’est fait exprĂšs donc j’en tiendrai pas compte). Pour Mike : son histoire est trop dĂ©veloppĂ©e. Le lore de l’histoire c’est des esprits d’enfants condamnĂ©s dans des animatroniques, qu’est-ce qu’on s’en fiche d’Aby qui prĂ©fĂšre Mike que sa tante, ou du passĂ© de Mike. Encore le passĂ© de Mike peut interfĂ©rer avec les enfants animatroniques mais elle est trop dĂ©taillĂ©e
 Et pardon hein mais le moment oĂč les animatroniques deviennent gentils et qu’ils commencent Ă  construire un fort c’est juste ridicule
 Et je vais pas m’étendre sur le talent d’acteur du petit frĂšre de Mike je pense que mĂȘme la prod a remarquĂ© (j’ai oubliĂ© son nom tellement son histoire est ininteressante). Et aussi: le fait que la tante engage des tarĂ© juste pour faire virer Mike pour qu’elle obtienne la garde de l’enfant ??? Toutes ces scĂšnes oĂč les tarĂ©s cassent des trucs, parlent Ă  la tante, parlent de leur plan etc.. ne servent Ă  rien et ne font pas avancer l’histoire de FNAF.

    Conclusion : Si vous ĂȘtes fan hardcore de la licence, n’allez pas le voir vous serez déçu, moi mĂȘme je ne connais pas parfaitement les jeux et pourtant je sais que certains points sont illogiques et pas en rapport avec les jeux. Mais si vous n’avez jamais jouĂ© aux jeux je vous le conseille ça peut ĂȘtre une trĂšs bonne dĂ©couverte vous risquez d’ĂȘtre surpris.

    Pour ma note: En ayant un esprit de quelqu’un qui n’a pas jouĂ© aux jeux et qui ne connaissait pas du tout l’histoire je mettrais un 18/20. Mais avec mon esprit d’origine je mets un 12/20

  6. Le film est incroyable je comprends pas pourquoi les gens ne l’ont pas apprĂ©ciĂ© je trouve vraiment bien que le film ne suive pas le lore du jeu, pas trop des livres aussi mĂȘme si il y a quelques rĂ©fĂ©rences c’est un autre lore ce qui est beaucoup plus intĂ©ressant que d’avoir encore le mĂȘme lore.
    [spoiler]La scùne de la cabane avec les animatronics est trùs bien puisque ça rappelle que les animatronics sont avant tout des enfants mort qui ont donc un esprit d’enfants.[/spoiler]
    Le film est -12 ans donc il fallait pas s’attendre à beaucoup de gore surtout que fnaf n’est pas gore, les VHS sont fait par les fans, pas par Scott.
    [spoiler]La scĂšne des springlocks Ă©tait incroyable, les fans qui s’attendait Ă  juste du gore n’avait pas grand intĂ©rĂȘt, la scĂšne des springlocks n’est pas gore. Dans le jeu fnaf c’est normal puisque ce n’est pas rĂ©aliste alors que dans le film il ne cri pas, c’est donc beaucoup plus rĂ©aliste et intĂ©ressant.[/spoiler]
    En tout cas merci beaucoup Ă  Scott pour ce film incroyable qui devrait ĂȘtre beaucoup mieux notĂ©s que ça.

  7. Je trouve navrant que les personnes qui ont Ă©crit cette article ne soit pas capable de comprendre l’intĂ©rĂȘt du film. Moi qui suis fan de la franchise, je trouve que l’adaptation en film est vraiment une rĂ©ussite malgrĂ© ses petits points faibles Ă©videmment. Mais de lĂ  Ă  dire n’importe quoi comme le fait l’article je trouve ça dĂ©cevant. Honteux d’avoir un avis aussi nĂ©gatif. Je trouve dommage que tout ce que les gens attendent d’un film d’horreur ce soit le sang et les tripes. Respecter les franchises et arrĂȘter de vouloir des choses stupides.

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