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Critique Cowboy Bebop : un autre chef-d’œuvre massacré par Netflix ?

Après Death Note, et son adaptation ratée, la plateforme a-t-elle massacré une nouvelle œuvre iconique de l’animation japonaise avec sa série live-action Cowboy Bebop ? Critique.

Cowboy Bebop est un monument de l’animation japonaise, c’est indéniable. Les fans ne tarissent pas d’éloges sur l’œuvre de Shin’ichiro Watanabe, qui a marqué des générations par la poésie de son récit, le charisme de ses personnages et sa construction décousue mais diablement efficace. Alors quand Netflix a annoncé vouloir réaliser une série en prise de vues réelles, la plateforme devait s’attendre à subir les foudres des spectateurs qui n’apprécient que très rarement de voir un mastodonte hollywoodien fourrer son nez dans leurs séries préférées. Cowboy Bebop ne fait pas exception.

Pour rappel des faits, la série originale narrait les aventures de Jet, Spike et Faye, une bande de chasseurs de primes qui sillonnent la galaxie à la recherche de contrats juteux. Depuis que la Terre est devenue inhabitable, les criminels sèment le chaos et c’est aux chasseurs de primes qu’incombe la responsabilité de maintenir l’ordre, en capturant ces malfrats.

Cette adaptation est risquée pour le N rouge. Pour autant, l’implication du créateur de la série dans le processus avait de quoi rassurer les sceptiques. On pouvait compter sur Watanabe pour ne pas trahir son œuvre et ses enjeux. On s’est bien gouré.

Netflix, sans doute en mal d’inspiration, n’a de cesse d’aller piocher dans les monuments de la pop culture pour grossir les rangs de son catalogue. C’était déjà le cas en 2017 avec Death Note, qui est loin d’avoir rempli sa mission. Avec Cowboy Bebop, ce n’est pas aussi catastrophique, mais ça n’en est pas moins mauvais. Dès le premier épisode, Cowboy Bebop se rétame. La série ne parvient pas à choisir en distanciation à l’œuvre originale, hommage subtil et véritable fan service. Si prendre des libertés permet souvent d’offrir un second souffle à un récit, avec Cowboy Bebop, c’est presque une mission suicide.

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Ein est injustement relégué au second plan,une peluche attendrissante. Crédits : Netflix

La série de Watanabe brillait par sa subtilité, sa manière d’offrir une réflexion sur le poids du passé et la nécessité de s’en détacher. L’œuvre abordait aussi la notion d’inéluctable, grâce à un final au firmament, sans doute parmi les meilleures conclusions que le petit-écran nous a offertes. Elle n’oubliait pas non plus de développer son postulat de base : un western de l’espace léger et terriblement jouissif.

La série Netflix semble avoir passé ce volet sous silence, préférant transformer sa trame narrative en un monstre sérielle formaté pour appâter le spectateur à coup de cliffhangers. La singularité de Cowboy Bebop est sacrifiée sur l’autel de la rentabilité, chez une plateforme de streaming qui conçoit ses œuvres comme des purs produits de consommation, dont on se goinfre entre deux arrêts de métro.

La rose est fanée

L’intrigue consacrée à Vicious et Julia ne constitue pas un élément central de la série originale. Pourtant, avec sa volonté de captiver l’attention du spectateur à chaque épisode, Netflix a décidé de placer ce rêve sous-jacent au cœur de son récit. Forcément, le résultat est loin d’être à la hauteur. C’est d’ailleurs essentiellement ce que l’on peut reprocher à cette adaptation. On gardera les détails de l’intrigue secrets, mais à ce niveau là c’est presque criminel.

Car si la série prend de nombreuses libertés, tout n’est pas à jeter. Certains épisodes sont même plutôt bons, malgré quelques soucis de rythme. Le troisième chapitre est l’emblème de cet énorme gâchis, tant il est jouissif et frustrant. Si on prend un malin plaisir à renouer avec le ton léger de la série, dans un club “sadomaso” qui nous a fait esquisser quelques sourires, les choses se gâtent dans la poursuite des aventures de Spike, Faye et Jet. Le rire est forcé à certains moments, mais il y a une certaine aisance dans l’écriture des dialogues ce qui est loin d’être désagréable. Tout ce versant comique est principalement alloué aux différents acteurs, qui ne déméritent pas.

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Crédits : Netflix

Le casting qui remporte la mise

Car oui, la force de Cowboy Bebop est sans aucun doute son casting. Si certains inconditionnels fustigeront la plateforme pour ses choix, notamment parce qu’elle a décidé d’engager un acteur noir pour jouer Jet Black, force est d’admettre que le trio de tête est à la hauteur du défi. John Cho incarne avec brio un Spike hanté par son passé, mais à la légèreté déconcertante.

Daniella Pineda n’est pas en reste, même si elle a une certaine propension au sur jeu. Son personnage a été quelque peu revisité (pour le mieux). La série a décidé de s’affranchir de l’hypersexualisation de Faye, pour se concentrer sur son développement moral et ces changements vont bien au-delà du choix des costumes. La série ajoute une certaine densité à cette Jane Doe, attachante amnésique à la recherche d’un point d’ancrage. C’est aux côtés de Spike et Jet qu’elle va trouver refuge.

Enfin, Mustafa Fakir ne parvient pas toujours à trouver son registre, entre vieux loubards et figure paternelle. Il s’en sort beaucoup mieux dans la seconde partie de la saison, et particulièrement dans l’épisode 5, Darkside Tango. Jet a toujours eu tendance à être délaissé par Watanabe, ici, il prend plus de place et c’est loin d’être une mauvaise chose.

Mais en dehors de ce trio, il est bien difficile de trouver une incarnation d’un personnage iconique qui trouve grâce à nos yeux. Figure antagonique de la série, loin de prendre beaucoup de place dans l’œuvre originale, Vicious apparaît ici comme un gamin colérique et capricieux. Alex Hassel en fait des caisses. Le traitement qui lui est réservé mériterait que les têtes d’André Nemec et Jeff Pinkner soient mises à prix, tant il trahit l’essence même de la série et son propos. Le même constat s’applique pour Pierrot le Fou, sorte de cosplay raté du personnage dans la série originale ; trop bavard et trop caricatural.

vicious dans Cowboy Bebop
“J’ai l’air assez énervé là ? ” Crédits : Netflix

Des décors en carton-pâte

Du côté de sa direction artistique, Cowboy Bebop n’est pas non plus un sans-faute. Les décors désuets, qui auraient pu faire le charme de la série, ne parviennent pas à rendre hommage à l’imaginaire du visionnaire qu’est Watanabe. Si le Bebop est plutôt réussi, le reste dénote complètement avec les décors de l’animé. L’œuvre un peu “cradoque” est passée à la moulinette de Netflix et perd son âme à mi-chemin entre le film noir et le western.

On notera quand même que les nombreux anachronismes visuels, une ambiance foncièrement 70’s dans un univers futuriste, ne manquent pas de charme, notamment du côté des accessoires et des looks des personnages. Pour autant, la réalisation est trop peu ambitieuse. Les rares scènes qui font recette sont principalement des copier-coller de séquences de la série. Même la poétique mort d’Asimov (clin d’œil à l’auteur de science-fiction) ne parvient pas à nous émouvoir.

Les chorégraphies de combat sont en revanche plutôt maîtrisées et Alex Garcia Lopez ne s’en sort finalement pas trop mal sur ce point. Il faut dire qu’il a été à bonne école, puisqu’il a travaillé sur Marvel’s Daredevil et Marvel’s The Punisher.

Une douce symphonie

Seul moment de répit dans ce défilé de grand n’importe quoi, la partition de Yoko Kanno. Elle parvient à souligner le récit et sauve de nombreuses séquences, notamment les flash-back gothiques iconiques. Jazzy à souhait, la bande-originale n’a rien à envier à celle de la série, et sonne comme un doux retour à la maison pour les fans de la première heure. La compositrice a de nouveau fait appel aux Seatbelts pour jouer ces interludes musicaux, toujours aussi efficaces.

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Notre avis

Véritable affront à l’œuvre originale, Cowboy Bebop sur Netflix devient un pur produit de consommation dont on se goinfre. Pas ambitieuse pour un sous, la série repose sur le cahier des charges du N rouge et perd aussitôt de son intérêt. Pourtant, le casting était là, John Cho, Daniella Pineda et Mustafa Fakir s'en sortent admirablement et on en vient presque à espérer les retrouver sur nos écrans dans la peau des chasseurs de primes, loin de Netflix et sa fabrique à œuvres impersonnelles et calibrées.

L'avis du Journal du Geek :

Note : 3 / 10
26 commentaires
  1. Cool, le journal du geek démonte, je peux donc aller regarder. Si c’est la même chose qu’avec red notice, je vais adorer.

  2. J’avais un peu délaissé le site dernièrement mais les dernières critiques me donnent envie de revenir. MERCI le JDG de critiquer aussi justement les prods Netflix. Et de ne pas chercher à contenter tout le monde, notamment ceux qui argumentent en commentaire “Vous êtes trop critique /quand on débranche son cerveau c’est pas si mal / essayez d’en faire autant / bande de bobos parisiens”.
    Entre Marvel au ciné et Netflix chez soi, depuis 10 ans c’est le nivellement par le bas, la recherche du plus grand dénominateur commun, la quête de la RECETTE. Au point d’oublier que même le divertissement pourrait être confié à des personnes ayant une vision artistique.
    Alors continuez comme ça 🙂

  3. J’en viens à me demander si ce n’est pas fait pour proposer derrière une saison 2 plutôt que de faire honneur à l’original à la fin si marquée…

  4. Alors pour l’avoir vue…

    Non, cette série en Live action ne “massacre” pas la série originale…
    L’esprit de l’animé est bien là… Les différents protagonistes sont respectés et l’ambiance musicale est juste parfaitement rendue et raccord avec l’animé… Bref, d’un point de vue respect de l’oeuvre originale… Le contrat est remplit…

    Mais… Car oui, il y a un gros “Mais” !

    Mais elle fait clairement moins bien… Les scènes d’action sont molles et beaucoup moins punchy que dans l’animé… Largement en dessous même de ce qu’on est en droit d’attendre de nos jours.

    L’intrigue… Bah, le premier épisode de la série reprend le 1er de l’animé (pourquoi ?) mais en moins bien, donc…

    Pour le reste : Rien de transcendant non plus… La série est loin de nous emporter avec elle et jamais on en rentre vraiment dedans… Il manque ce petit je ne sais quoi (en plus des “actions molles” :p) qui transportait si fortement dans l’animé.

    Bref, pas un massacre, loin de là : ce live action est juste sans saveur…

  5. Cette série a juste servit de support au wokistes et leur cancel culture. L’oeuvre originale apparement pas assez progressiste a ete totalement vidée de sa substance. Toute ressemblance avec la série originale est purement fortuite…
    Un noir, une lesbienne, un trans, une femme toute puissante face au hommes faibles et miserables. Et une fin qui permet de sortir une saison 2 en mode girl power. Bien loin de l’esprit et de la fin dramatique de l’originale.
    Bref, j’ai regardé en entier, c’est totalement nul, creux, sans saveur… On sourit de reconnaitre les references a l’anime mais pas plus…
    Encore un autre navet pro LGBT, ca ma convaincu de me desabonner de netflix.

  6. J’adore les critiques de cette série hahaha. Vous me donnez encore plus envie de regarder. Donc en 2 jours j’ai regardé entièrement la série.et bien j’ai kiffé et j’ai hâte de retrouver cette deuxième saison !!!!

  7. Ne pas oublier de préciser que Cowboy Bebop, c’est aussi pour beaucoup l’introduction par canal+, à la fin des années 90, d’une nouvelle manière d’envisager le manga : sur une tranche horaire qui n’est plus celle des enfants, en vost, avec des choix de séries plus modernes et matures (cowboy bebop, Evangelion, Escaflown…). Pour tout ceux qui ont grandi biberonnés au Club dorothée, cowboy bebop a souvent été une claque. Alors forcément, on tique un peu quand on y touche. Surtout si c’est pour produire quelque chose de moins bien que l’original qui n’a par ailleurs pas pris une ride.

  8. Totalement contre cette critique alors que je suis pourtant fan de l’anime original. Certes il y’a des libertés prises pour cette série qui diffère de l’anime, notamment mettre un perso blanc en black, l’apparition d’un personnage clé qu’on ne voit qu’à la fin, l’acteur asiatique choisit pour Spike qui ne m’avait pas convaincu.
    Mais au final c’est une très bonne relecture, et même si Vicious comme vous dites n’est pas comme dans l’anime, ils en ont fait un méchant crédible et les acteurs sont bons et fidèles à leur personnage, l’ambiance de dingue de l’anime est fidèlement retranscrite autant par l’humour, la bande son, que l’image et les plans de caméra.
    Vraiment j’ai adoré, et même si c’est pas un c/c de l’anime, ça reste une très bonne adaptation de la part de Netflix, comme ils ont fait pour Kenshin, Dragon Quest, Ni No Kuni, The Witcher, Fulmetal Achemist, Bleach etc…
    En vrai les bonnes adaptations je les trouve plus nombreuses que les mauvaises comme Death Note et Saint Seya.

  9. Sûrement une critique d’un gars qui n’a jamais vu la série originale.

    Alors ok c’est pas parfait, mais franchement moi j’ai retrouvé l’esprit de la série.

  10. Absolument d’accord avec tous les commentaires qui sont contre cette critique…. Soit le type a rien vu.
    J’ai ré regardé la série juste avant ( par hasard) donc j’étais prêt.
    Tout est là.
    Et évidemment et heureusement qu’ils prennent des liberté, il y a très peu de ‘ fil rouge’ dans le manga !!
    Donc centré sur vicious, pquoi pas.
    Sinon ça n’aurait chiant.
    Spolier.
    Juste le copié collé de la baston en ombre sur le mur avec pierrot le fou, est dingue quand vous connaissez la série… Apparemment pas vous

  11. Doit-on parler de massacre…definitivement pas!!!
    Est-ce l’adaptation revee d’un grand classique du manga…peut etre pas…mais c’est une adaptation qui tient la route et permet, une fois passe le premier episode de finir la saison avec quelques resurgences du passe et un bilan relativement positif.

    *Les bons points: l’esprit de l’anime est la, le cast est plutot bien choisi, la musique et l’intro nous plongent directement dans le bain, les decors et l’ambiance font un ecart avec l’original mais on s’habitue vite a cet univers retro-moderne avec des touches Cubaines et des tons a l’ambiance jazzy.

    *Les mauvais points:
    -le premier episode: copie celui de l’anime sans jamais reellement l’egaler. Cet episode en particulier souffre de choregraphies de combat un peu en deca.
    -fait pour la masse et donc moins profond que le manga.
    -certains episodes ou protagonistes tombent dans le cliche ou la surenchere

    *au final, un bilan mitige pour les fans, plutot positif pour les moins puristes, et une opportunite pour tous de (re-)decouvrir l’anime original. La serie, a recommender en mode canape, fait le travail de decouverte de l’univers et de detente qui va avec. On est loin du massacre mentionne, mais ce live action tombera sans doute vite dans l’oubli.

    PS: si saison 2 il y a, je la regarderai avec plaisir.

  12. Oue enfaite toutes les critique se pompe le dard entre elles pour sortir les meme points fort ou poiint faible .
    A croire que les mecs sont pas foutus d avoir leur propre opinion et que tout les sites doivent dire exactemznt les meme resumer .
    Pathetique

  13. C’est fatiguant ces critiques wans fin… marvel.. comics… game of throne .. cest moins bien ? Oui .. c’est mauvais ? Non loin de là.. et pourtant j’ai apprécié l’œuvre originale et j’ai été ravi de cette adaptation.. franchement qu’elles soient toutes de ce niveau ! Très honnêtement je pense que l auteur a regarder l original il y a peu .. juste pour son article … pathétique

  14. Perso grand fan de l’oeuvre je trouve que c’est reussi casting enorme a l’exception de vicious. L’humour est la et les scenes combat sont bien. Decor etc c top largement au dessus d’un certain mandolarian de dusney qui pourtant etait acclamé lol bref critiquer oour critiquer… Et oser comparer cette realisation a celle de death note… C’est de l’abus death note c t vraiment une des pire adaptation y a po photo mais cowboy bebop s’en sort bien je donnerai un 7/10 perso

  15. Je n’ai pas vue l’anime, du moins pas plus que le premier épisode. J’ai été très agréablement surpris par la série qui offre visuellement et techniquement quelque chose de nouveau. Je pensais me faire chier comme à chaque fois que je regarde une série mais là je suis bluffé. Honnêtement je me fais chier avec beaucoup de séries mais la c’est beau, c’est neuf, les acteurs sont top, c’est drôle et le scénario me plaît énormément. J’ai vu Red Notice juste avant aussi alors est ce que c’est le fait de voir un truc bien après ce nanar? 😀

  16. Personnellement je trouve que la critique de JDG (pas grenier hein) est pertinente. Mais… Ceux qui connaissent l’œuvre originale seront surement déçus tant Bebop est un monument. Il y a tellement a aborder que cela ne peut se faire dans une section commentaires. Les points qui m’ont le plus déçu:
    Les personnages principaux sont bons a l’exception de Faye qui, peut être a cause des choix du N rouge, est complétement dénaturée. Bien qu’elle a aussi cette facette, Faye n’a jamais était une gamine déjantée (ce n’est pas son trait de caractère dominant). Des choix bizarres car d’un coté on arête avec l’hypersexualisation de Faye (pourkwa pas) mais dans la foulée on place des scènes ou on la voit avec la charmante meccano. On veut être progressiste et bien-pensant mais il faut quand même montrer de la chair… On ne peut pas avoir un peu de subtilité ?
    Vicious ne ressemble juste a rien. Rien en rapport avec cowboy bebop. D’ailleurs ce n’est pas un personnage principal (dans l’original) donc le choix ici est 100% Netflix. Le fait qu’ils en font une caricature n’est (a mon avis) pas le meilleur choix.
    On ne ressent (presque) a aucun moment cette mélancolie qu’il y a dans l’œuvre originale. Ce moment ou nous sommes tirailles entre la (fausse) légèreté apparente et les sujets très profonds abordés. Je pense que c’est a cause du fait qu’il n’y a pas la “place” pour ça. Il faut absolument garder le rythme pour ne pas que le spectateur commence a s’ennuyer. Sauf que les moments de contemplation des décors ou d’un marché ou les gens vaquent a leurs occupations ponctues par des musiques parfaitement dans le ton de Yoko Kanno contribuent grandement à l’ambiance générale.

    Cela étant dit je ne parlerai pas de “Véritable affront à l’œuvre originale” il y a quand même de bons points notamment du coté de la musique qui reste tout aussi bonne que dans l’original. Forcement: Yoko Kanno et les Seatbelts.
    Les décors sont globalement dans l’esprit bien que manquent parfois d’envergure.
    Le cadrage et les plans de camera rappellent beaucoup des planches de manga ce qui dans la plupart des cas est très efficace.

    Globalement je dirais que certes ça ne vaut pas un Cowboy Bebop si vous connaissez l’original mais si ce n’est pas le cas ça reste une bonne série.

  17. It’s something 🌈🕺💃
    Pas de saveur , pas d’âme.
    Mais ça aurait pu être pire! Il y a un petit côté attachant, nostalgie merci, les acteurs ne sont pas mauvais, l’ambiance est (par moment) là aussi.
    Faut dire la vérité: y’a pas eu de respect pour l’œuvre originelle, point à la ligne.
    Merci la moulinette LGBT et les gens des quotas.
    Pas de saveur, pas d’âme.
    Netflix c’est le macdo du 7ieme art, plein de gens aiment ça et comme un grand philosophe l’a dit un jour:
    #Faut de tout pour faire un monde

  18. Personnellement je n’avais pas vu l’animé avant. J’ai regardé la série puis l’anime et de nouveau la série.
    Je trouve la série bien mieux que l’animé a la natation bien pauvre

  19. Honnêtement j ai regarder de nouveaux l anime au complet . Sur question dessin et effet spéciaux c est plus old school . La sitcom je l ai commence honnêtement c est par degout que je pas regarder 5 min . Les combats désolé sont pas crédible du tous prend le comique des America pie . C est du jet kundo l art de Bruce Lee . Les scènes mal joue et l humour nul . Personnellement de nouveau un navet . Sans aucun sens ni emossion . Je suis l air manga . Donc triste de voir qu on touche au classique . La seul réussite des ces années sont Ghost in the shell et l anime captain herlock .

  20. Loin d’être un massacre, je trouve que l’univers est là.
    Ok, il y a des libertés mais bon franchement on passe un bon moment.
    Faut savoir mettre de l’ eau dans son vin et profiter, voilà.

  21. Commes Red notice,une critique qui se veut construite et intelkigente .mais qui raconte encors n’importe quoi
    A commencer par le fait que oui la serie respecte vraiment l’animé ,par contre non les acteurs ne rendent pas specialement justice à leur personnages et les scenes d’action mznauent vraiment de puch comparé à l’anime
    On est loin d’un vrai massacre mais c’est juste que au final ca prend pas quand mémes,coincé entee rester fidele à l’animé en cipiant et ouvrir sur une plus longue histoire

  22. Je trouve cette critique beaucoup trop dure…l esprit de l anime est bien la…donc je vous conseille très fortement de regarder cette série Et de vous faire votre propre avis!

  23. Je ne comprends pas cette critique, la série est très rafraichissante. lorsque j’ai appris qu’il n’y aurait pas de saison 2, j’ai été déçu…

  24. EXCELLENTE SERIE !!! Contrairement à cette critique rigide de coincée.

    De l’aventure, de l’humour, des bons effets spéciaux, les personnages correspondent bien à l’animé.
    De bons ajouts pour personnaliser l’environnement et les ennemis.

    Bien sûr, ce n’est pas l’animé et il ne faut pas le voir comme une COPIE de l’animé.

    Alors déposez vos œillères et appréciez un bon moment en regardant cette série.

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