Non seulement le DJI Mavic Mini est petit mais en plus, il est super léger puisqu’il ne fait que 249g. Si le Mavic Mini se situe sous la barre des 250g, ce n’est pas un hasard puisque cela permet au constructeur chinois de proposer au grand public un drone qui ne demande aucune autorisation pour être utilisé. Attention, s’il ne demande pas de permis, il suit tout de même les règles des autres drones et il faudra toujours vérifier la possibilité ou non de faire voler un drone.
Le DJI Mavic Mini : petit mais costaud
Le DJI Mavic Mini succède donc au DJI Spark qui a vu sa commercialisation s’arrêter en milieu de mois si vous suivez un peu l’actualité des drones. Et comme c’est un Mavic, il peut se replier, ce qui n’était pas le cas du Spark. Parce qu’il vise le grand public, on retrouve la technologie « GeoFencing » qui aide les pilotes à éviter les zones restreintes, mais aussi le système d’identification à distance AeroScope aidant à protéger les lieux sensibles, des limites d’altitude intégrées et enfin, le retour automatique au point de départ si le drone perd la connexion ou atteint un niveau de batterie faible.
« Concevoir un drone aussi léger, compact et performant que le Mavic Mini a été l’un des projets les plus difficiles jamais entrepris au sein de DJI », témoigne Roger Luo, le président de DJI. « Intégrer des fonctionnalités haut de gamme dans un drone qui tient dans la main est l’aboutissement de longues années de travail, et nous sommes ravis d’ajouter une nouvelle classe de drones à la gamme de produits DJI. La longue durée de vol, le poids ultra-léger et la caméra haute définition du Mavic Mini en font le drone de DJI destiné à une utilisation quotidienne – et surtout, il est facile à piloter, quel que soit votre expérience avec les drones. »
Alors que le Spark était livré sans radio-télécommande, le Mavic Mini propose par défaut une radio-télécommande pour piloter le Mavic Mini. Sa batterie lui assure un temps de vol de 30 minutes, ce qui est impressionnant pour un drone de cette taille. La transmission se fait par WiFi et le Mavic Mini intègre des récepteurs GPS et des capteurs optiques inférieurs pour détecter le sol. La portée est 4km avec une transmission d’image HD limitée à 2km. Le port mémoire accueille bien évidemment les éternels Micro-SD et la recharge se fait via un port Micro-USB.
Une partie photo et vidéo améliorée par rapport au DJI Spark
Côté technique, le Mavic Mini embarque un capteur 1/2,3 pouces de 12 Mégapixels et permet ainsi de prendre des photos de 12 Mégapixels ou des vidéos allant jusqu’au Full HP 1080P à 60fps ou en 2,7K à 30fps. La nacelle qui contient la caméra est bien évidemment stabilisée sur trois axes. Avec le Mavic Pro, DJI introduit une nouvelle application, DJI Fly, plus simple et plus intuitive que DJI Go 4 plutôt orienté pour les amateurs experts. On y retrouve ainsi des tutoriels pour apprendre à voler, le mode Sport ou encore le mode CineSmooth pour lisser les mouvements et ainsi obtenir des vidéos plus cinématiques.
On retrouve bien évidemment les modes de vol préprogrammé comme le mode Rocket, Circle, Dronie, Hélice ou encore Timelapse. Mais ce n’est pas tout puisque DJI propose tout un tas de nouveaux accessoires pour une utilisation plus grand public. Il y a la protection d’hélice à 360°, la station de charge, l’attache-hélices, etc… DJI propose même des kits de personnalisation pour le dos du Mavic Mini.
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