De plus en plus d’urbains se tournent vers la trottinette électrique et les nouveaux véhicules électriques individuels (NVEI), plus rapides et flexibles que les transports en commun ou la voiture. Rapides puisqu’ils peuvent aller jusqu’à 25km/h, une trottinette électrique est considéré comme un véhicule terrestre à moteur, et vous avez donc l’obligation de l’assurer en responsabilité civile pour les dommages que vous pourriez causer à autrui. Les utilisateurs de trottinettes électriques ne sont considérés ni comme des piétons, ni comme des voitures, ils n’ont le droit de circuler sur le trottoir, mais uniquement sur la chaussée. En cas d’accident, la responsabilité du conducteur peut être engagée. Si votre trottinette n’est pas assuré, vous serez tenu de payer le préjudice de la victime.
En effet, les accidents de ces NVEI peuvent être graves et parce que leur vitesse dépasse les 4 km/h, ils ne sont pas couverts par la responsabilité civile et les assurances actuelles n’apportent que des réponses partielles à des situations pourtant bien réelles. Pour pallier ce manque, Luko, propose l’assurance trottinette & NVEI qui propose une manière simple de se protéger, tout en protégeant les autres usagers de la ville.
Souscrire à l’offre Luko pour la rentrée
Simple, rapide, 100% en ligne et collaborative, l’assurance trottinette Luko se veut comme parangon de l’assurance moderne. A partir de 3,33 euros par mois, le trottineur peut ainsi bénéficier d’une couverture adaptée à ce nouveau mode de transport : dommages corporels, dommages matériels en cas de collisions, vol… mais aussi mieux protéger les autres grâce à la responsabilité civile (couvrant les dommages à un tiers ou matériels) et à l’assistance juridique (en cas de poursuite).
- Pour 3,33 euros par mois, vous disposez ainsi des garanties minimum légales avec la responsabilité civile, pour protéger les autres en cas d’accident + Défense Pénale et Recours
- Pour 10,07 euros par mois, vous disposez toujours de la responsabilité civile, ainsi que des garanties sur les dommages collision, le vol, les catastrophes naturelles, ou encore en cas d’accident.
Il est possible de souscrire à cette assurance directement sur internet en deux minutes, et la résilier tout aussi facilement.
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L’assurance est-elle obligatoire ?
Les nouveaux véhicules électriques sont considérés par la loi comme des véhicules terrestres à moteur (VTM), ainsi vous avez l’obligation de vous assurer a minima au titre de la responsabilité civile pour les dommages que vous pourriez infliger à autrui avec votre véhicule.
Néanmoins, il faut savoir que la responsabilité civile incluse dans votre contrat d’assurance habitation ne suffit pas toujours à remplir cette obligation. En effet, l’usage des VTM est souvent exclu de ces contrats (pensez à vérifier le vôtre), il vous faut donc souscrire à un contrat spécifique comme vous le feriez pour une moto ou une voiture.
Idem, même si votre responsabilité civile est couverte par votre assurance habitation actuelle, une couverture dédiée peut-être intéressante si vous voulez étendre votre protection avec des garanties utiles comme la couverture :
- Vol et dommages matériels ;
- Dommages corporels (pour les dommages infligés à vous-même) ;
- Défense pénale en cas de recours en justice.
Quels sont les Nouveaux Véhicules Électriques Individuels (NVEI) concernés par l’assurance ?
Si la plupart des nouveaux bolides que l’on croise sur la route sont des trottinettes électriques, sachez que l’assurance NVEI couvre :
- Les trottinettes électriques ;
- Les gyroroues ;
- Les longboards ;
- Les hoverboards ;
- Les gyropodes ;
- Les scooters électriques ultra-légers.
- Bref, vous avez du choix en matière d’engins de micro-mobilité !
Quels risques si je n’assure pas ma trottinette électrique ?
Le premier risque est de causer des dommages matériels ou corporels à un tiers à bord de votre NVEI. Vous serez tenu d’indemniser les victimes avec vos finances personnelles, faute d’assurance. Cela peut avoir des conséquences dramatiques lorsque votre responsabilité est impliquée, et les dommages et intérêts à verser peuvent rapidement atteindre des sommes importantes.
Le second risque est de vous faire verbaliser : si vous roulez sans assurance, vous encourez une amende forfaitaire, allant de 500€ à 7500€.
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