Le contexte est clairement établi : le Centre Chabrol, un institut spécialisé dans la recherche biologique, s’est transformé en un véritable cauchemar. Suite à l’incubation d’une nouvelle espèce de champignons, quatre cobayes et tout le personnel dans les sous-sols sont coupés du monde extérieur. Y a-t-il des survivants ? Quelle est cette menace qui nécessite une telle mise en quarantaine ?
Chaque participant, équipé d’un casque et d’une caméra, est envoyé dans ce complexe labyrinthique, tandis que le reste de l’équipe, stationné au quartier général, le guide à travers ses avancées. Les images transmises en temps réel par la caméra du casque permettent à l’équipe de contrôle d’interagir avec l’environnement du complexe : ils peuvent ouvrir et fermer les portes via une interface de commande, activer le système d’alarme, détecter les mouvements suspects et communiquer des instructions précises via un talkie-walkie.
Bien que tout soit minutieusement scripté, le rythme et la performance des comédiens sont suffisamment crédibles pour qu’au bout de quelques dizaines de minutes, nous nous retrouvions, paniqués, à hurler des instructions souvent incohérentes.
La première expérience Panik room au manoir de Deveaux plongeait les participants dans le noir. Ces derniers se déplaçaient à l’aveugle, guidés uniquement par les instructions de leurs coéquipiers en salle de contrôle. Ici, le scénario du Centre Chabrol offre aux explorateurs la possibilité de voir directement leur environnement. Cela diminue un peu l’angoisse induite par l’inconnu mais instaure une nouvelle dynamique de jeu où la course est permise.
La Panik Room n’est pas un escape game, c’est un thriller cinématographique dans lequel nous devenons les acteurs principaux pendant 90 minutes.
- Prix : Entre 35€ et 49€ / Personne
- Durée : 90 minutes
- Nombre de joueurs : Entre 3 et 6 personnes.
- Age : Interdit aux moins de 12 ans et déconseillé aux moins de 16 ans.
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