Cela fait déjà 14 ans que les Tuche ont débarqué dans nos vies. Cette famille, rigolote, attachante, et diablement riche, a évolué depuis sa première apparition sur grand écran en 2011. Jeff, Cathy et leurs enfants sont revenus dans un cinquième volet. Leurs aventures les emmènent en Angleterre, où le petit-fils devra faire ses preuves pour entrer dans l’équipe de football d’Arsenal.
À cette occasion, TF1 a décidé de diffuser Les Tuche 3, un puissant condensé de memes et de références (tout comme les autres volets). Si vous n’avez pas encore regardé God Save the Tuche et que vous préférez rejoindre les rangs des nostalgiques, on vous propose de passer en revue les expressions les plus cultes des précédents films de la saga. Voici notre top 3 de celles qu’on utilise le plus dans la vie de tous les jours.
1. La classique
On vous le demande : qui, depuis 2011, n’utilise pas de manière presque quotidienne l’expression “des frites, des frites, des frites !” au moment de passer à table ? Certainement pas nous. On doit cette phrase iconique au tout premier film Les Tuche, quelques minutes avant que la famille apprenne avoir gagné une somme astronomique au loto. Cette locution est devenue un incontournable des repas lorsque les assiettes se font attendre. Il faut évidemment l’accompagner d’un tappage de poing sur la table, sinon le meme ne serait pas complet.
On peut aussi citer le fait que les frites soient faites à partir de pommes de la terre, une alternative à la fameuse “patate”. Cette phrase est prononcée par Cathy Tuche dans le troisième volet lorsque la famille habite à l’Elysée suite à l’élection du patriarche à la tête de l’état français.
2. La ref épicée
Et on mange quoi avec des frites ? De la sauce Samouraï évidemment. Dans Les Tuche 3, Jeff apprend au chef de la résidence présidentielle ce qu’est la sauce Samouraï : “la mayonnaise qui pique, qui pique. C’est tellement fort que t’as les yeux qui piquent, SAMOURAÏ !” On ne pourrait pas dire mieux. Est-ce qu’on criera de manière inctrôlée le mot samouraï lors de nos sessions de jeux sur Assassin’s Creed Shadows ? Bien sûr.
3. Notre excuse pour tout
En 2025, on oublie les excuses bidons pour ne pas aller aux évènements planifiés dans notre calendrier, et on adopte la transparence de Jeff Tuche. Chômeur invétéré, l’inaction est dans son ADN de père en fils et ce depuis des générations. Quand on lui demande un service, c’est donc avec un naturel qu’il répond : “Je peux pas, j’ai pas le temps, j’ai rien à faire.”
C’est une expression qu’on utilise tellement souvent qu’on aurait pu oublier que c’est le grand manitou Jean-Paul Rouve qui l’a prononcée en premier dans le premier film de la saga. La phrase est aussi culte que “je peux pas, j’ai aqua poney” ou “je peux pas, j’ai piscine”, sauf qu’elle est bien plus honnête.
Bonus : on joue sur les chiffres
Tu peux faire une ref, mais pas quinze (ah oui, on parie ?). Comme on veut laisser personne sur la tuche, on s’autorise une dernière citation. Celle-ci a le mérite d’être utilisée dans n’importe quelle situation tant qu’elle peut être adaptée. Il s’agit de la scène mythique des cartes bancaires dans Les Tuche 2. Jeff se rend soudainement compte qu’il a perdu non pas une, ni deux, mais ses 15 cartes de crédit, d’un seul coup. Évidemment, quand on les range toutes au même endroit… Elle se décline à l’infini tant que les chiffres sont à l’honneur, alors n’hésitez pas à l’utiliser, plutôt quinze fois qu’une.
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