Cette semaine, Nautilus était diffusée pour la toute première fois sur France 2. Après la diffusion de ses deux premiers épisodes, la série profitera de cinq soirées dédiées jusqu’à la mi-septembre, avant un final qui s’annonce riche en émotions.
Privée de Disney+, Nautilus s’offre France 2
À l’origine, c’est sur Disney+ que Nautilus aurait dû amarrer. La plateforme de streaming avait commandé cette nouvelle adaptation de Jules Verne et ses 20 000 Lieues sous les mers, avant finalement prendre la décision de ne jamais la diffuser. Le tournage étant déjà terminé, le projet était voué à rejoindre le cimetière des œuvres abandonnées sur l’autel de la rentabilité et des changements de plans. Il sera finalement sauvé in extremis par la chaîne américaine AMC. Aux États-Unis, la série a bénéficié d’une diffusion sur la chaîne du câble, avant d’être finalement vendue à France Télévision pour la diffusion française.
C’est une aubaine pour les téléspectateurs et les téléspectatrices, qui pourront profiter gratuitement de leur série sans avoir à passer par une chaîne ou un service de streaming payant. De quoi remplacer les Jeux Olympiques, dont la cérémonie de clôture a marqué la fin des hostilités il y a quelques jours, avant le coup d’envoi des Jeux paralympiques.
Nautilus, ça parle de quoi ?
Adaptée du roman de 1869 écrit par Jules Verne, la série Nautilus est librement inspiré de 20 000 Lieues sous les mers. Le titre de cette nouvelle production tire d’ailleurs son nom du célèbre sous-marin du Capitaine Nemo, prince indien privé de trône et de famille, en quête d’une vengeance qui promet d’être sanglante. Pour arriver à ses fins, le héros recrute une équipe de forcenés, vole un navire et se lance à la poursuite d’un légendaire trésor viking enfoui dans les piliers d’Halvar.
Entre steampunk et naturalisme, le bestiaire livré par Nautilus s’annonce impressionnant. Au casting, les téléspectateurs ont d’ortes et déjà pu reconnaître Shazad Latif (Penny Dreadful) dans le rôle de Nemo, épaulé par Georgia Flood, Thierry Frémont, Pacharo Mzembe, Arlo Green, Tyrone Ngatai, Ling Cooper Tang, ou encore Andrew Shaw et Anna Torv. La série, écrite et produite par James Dormer, Joanna Devereaux, Chris Loveall et Cameron Walsh promet s’impose déjà comme la bonne surprise de cette fin d’été. Rendez-vous lundi 19 août pour la suite des aventures de Nemo et sa bande. Pour les plus impatients, l’intégrale de la série est d’ores et déjà accessible sur France.tv, toujours gratuitement.
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Une série qui aurait pu être meilleure si elle n’avait pas été woke…
Je l’ai regardé et il y a rien de gênant en lien avec le wokisme.
Si c’est parcequ’ils y a des indiens dans l’histoire et que ce sont les anglais les méchants vous avez peut être un autre problème que le wokisme.
Allez plutôt relire Jules Verne et son personnage de Nemo.
Non ce n’est pas Woke.
Mais par contre mal joué, surjoué et des effets spéciaux dignes des années 90. C’est plan plan.
C’est désespérant de voir un commandant de navire de donner l’ordre d’aller à droite. Si je monte sur un bateau et que ça arrive je quitte le navire en chaloupe, mais à part ça c’est regardable.
On se laisse distraire par cette courte série tant les programmes TV sont affligeants, laquelle n’échappe cependant pas aux relents WOKES évidents, pour qui refuse l’endoctrinement : entre autres, les méchants Blancs, l’inclusion de la sauveuse androgyne qui se défend d’être une femme, prétextant que la plupart des gens voient ce qu’ils ont envie de voir … C’est cependant clair pour qui garde les yeux en face les trous et ne prend pas les vessies pour des lanternes !