HappyVore innove sur le marché de la viande végétale avec des Croq’Coulis 100% français

D’abord concentré sur les alternatives végétales à la viande, la marque HappyVore a depuis pris du galon, en s’éloignant des produits carnés pour proposer des produits végétaux plus autonomes. À l’image de son concurrent Hari&Co, la marque française n°1 du marché du traiteur végétal français a élargi ses horizons cette année, en lançant une nouvelle gamme de produits baptisé Croq’Coulis. Derrière un nom somme toute mystérieux, c’est une initiative assez inédite qui voit le jour.

Un cœur coulant… salé

Cocnrètement, la gamme Croq’Coulis se présente comme un petit steak végétal, dans lequel se niche un cœur de sauce coulante. Pour le moment, deux saveurs sont référencées, avec Aubergine coeur sauce tomate, et Patate douce carotte et cœur curry coco, que nous avons eu l’occasion de tester. Fruit de 3 années de recherche et de développement en interne, Croq’Coulis veut s’imposer comme une “expérience sensorielle gustative inédite”, avec kl’objectif de séduire 21 millions de consommateurs et consommatrices français supplémentaires cette année.

Nutriscore A, et français

Toujours Nutriscore A, riche en protéines, source de fibres et d’Oméga-3, la nouvelle gamme d’HappyVore se distingue par sa texture autant que par sa composition. La marque lancée en 2019 par Guillaume Dubois et Cédric Meston est entièrement fabriquée en France, et propose déjà une dizaine de références à son catalogue. En plus des ingrédients “de base” (lardons, haché…) destinés à la cuisine, elle s’est depuis quelques années déjà lancée sur le secteur très concurrentiel du prêt-à-manger, avec des boulettes, des saucisses

Interviewé par le Journal du Geek il y a quelques années, Guillaume Dubois nous expliquait : “C’est intéressant de produire en France, parce que du point de vue des ingrédients, tout est disponible sur place : on a du pois qui est une excellente protéine, on a du soja, du blé, de la fève, des huiles végétales, de la betterave… Il y a un réel intérêt à faire du made in France. Même si ça coûte un peu plus cher, on pense que ça a du sens, à la fois d’un point de vue environnemental, mais aussi du côté des emplois“.

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