Véritable monument de l’horreur, Alien revient sur le devant de la scène en 2024. Le septième film de la saga imaginée par Ridley Scott est aussi attendu que redouté, il faut dire que toutes les incursions du xénomorphe au cinéma n’ont pas été accueillies dans la liesse. 20th Century Fox l’a d’ailleurs bien compris, en situant cette nouvelle histoire entre Alien, le huitième passager et Alien, le retour. Entourée de deux icônes, cette nouvelle proposition s’offre toutes les chances de séduire les amateurs de science-fiction et d’épouvante. Avant sa sortie estivale, le film produit par Scott lui-même s’offre une première bande-annonce.
C’est l’occasion pour le studio de rassurer les fans de la première heure, épuisés par plusieurs tentatives ratées. Il faut bien avouer que le film fait pour l’instant la démonstration de solides arguments. En plus de rendre hommage aux premiers films, cette suite pourrait inviter des séquences de haute volée capables de traumatiser des générations de spectateurs comme ses aînés. Romulus n’a d’ailleurs pas résisté à la tentative et rejoue la scène la plus emblématique.
Du reste, il semblerait que le réalisateur ait misé sur de nombreux effets pratiques, le numérique pourrait ne pas être au cœur du procédé. C’est déjà une bonne nouvelle. L’actrice Cailee Spaeny expliquait récemment que les équipes en charge des effets spéciaux sur Alien (1986) avait été conviée pour ce nouveau projet. “Nous avons eu des marionnettistes qui travaillaient sur les facehuggers (surnom donné par les fans aux larves ndlr). Ça paraissait très réaliste”.
Un réalisateur qui a de l’expérience
Ridley Scott préfère se concentrer sur la renaissance de son péplum et un nouveau cinéaste a été recruté pour donner vie à cet opus. Le 20th Century Studios a ainsi invité une figure montante de l’horreur pour faire éclore Alien : Romulus. Fede Alvarez sera à la mise en scène, lui qui a réalisé Evil Dead en 2013 et Don’t Breathe : La Maison des ténèbres. Devant sa caméra, quelques jeunes pousses du cinéma ont aussi été recrutées. C’est le cas de Cailee Spaeny. L’actrice est de tous les rendez-vous, elle qui était à l’affiche de Civil War et Priscilla cette année. Elle vient aussi de rejoindre la distribution d’À couteaux tirés 3.
Dans ce projet, elle donnera la réplique à Isabela Merced (Madame Web) et Archie Renaux (Shadow and Bone). David Jonsson Fray, Spike Fern et Aileen Wu viennent compléter la liste. Ils incarneront de jeunes humains vivant dans un monde lointain et qui se retrouvent confronté à la forme de vie la plus terrifiante de l’univers. Dans les dédales d’un vaisseau, ils vont tenter par tous les moyens d’échapper à leurs poursuivants.
Fede Alvarez est à l’écriture du scénario aux côtés de Rodolfo Sayagues, les deux hommes n’ont visiblement pas pris la direction du prequel ou de l’explication de texte comme l’avaient fait Prometheus et Covenant. Tout n’est pas gagné pour autant, Romulus doit encore montrer ce qu’il réserve aux adorateurs de la franchise, et le convaincre que cette suite était nécessaire. Rendez-vous le 14 août prochain au cinéma pour découvrir Alien : Romulus.
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Faut penser à virer le responsable du casting, 0 charisme pour les persos…
En même tu sais déjà, qu’il y en aura qu’un ou deux qui vont survivre grand max. Donc le casting excuse moi, on s’en fout un peu.
C’est du réchauffé de réchauffé, je ne vois aucune prise de risque, le scénario n’a pas l’air d’apporter quoi que ce soit de plus à l’univers. Et c’est bien dommage.
Le problème de cette saga, c’est que chaque nouvelle proposition est enfermée dans sa Sigourney weaver mania. Forcément il faut une femme forte (c’est pas un mal du tout) mais c’est tellement forcé que ça en devient “lame” comme disent les anglais… Il n’y a rien de nouveau, chaque annonce d’un nouveau Alien est une bombe et chaque sortie est une farce.
B.A ultra générique ou les Xenos peuvent être remplacer par n’importe quel croque mitaine de la pop culture.
c’est affligeant de banalité.
Alvarez a déja violé Evil Dead et Texas Chainsaw avec du gore vulgaire et putassier, il n’est pas à une infamie prêt.