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NSDR : c’est quoi cette méthode de repos sans sommeil ?

Vous avez du mal à dormir, mais avez-vous déjà essayé le NSDR pour se reposer sans sommeil ?

Le sommeil est un élément crucial dans la vie de chacun. Une mauvaise nuit et la journée se gâte, tandis que ceux qui les enchaînent peuvent développer des soucis de santé. Mais avoir une bonne nuit de sommeil réparateur n’est pas si évident pour tout le monde. Entre le stress, la frénésie du quotidien ou encore la charge mentale, le fardeau de bien dormir peut vite s’alourdir sur nos épaules.

Nombreux sont ceux qui développent des techniques pour s’endormir plus vite ou avoir un sommeil plus réparateur : méditation, applications du sommeil, sport, médicaments, homéopathie, etc. Récemment, des chercheurs ont mis en avant un procédé révolutionnaire. Son doux nom ? Le NSDR. Il s’agit d’une alternative pour se reposer, corps et mental, sans sommeil. Comment ça fonctionne ?

Comment pratiquer le NSDR ?

Cet acronyme est pour l’appellation anglaise “Non-sleep deep rest” (repos profond sans dormir) et promet un petit miracle. Inventée par Andrew Huberman, un neuroscientifique de l’université de Stanford, la technique repose sur des principes largement utilisés dans la discipline du yoga, notamment le yoga nidra. Le but est de s’installer confortablement, en position assise ou allongée, de fermer les yeux et de se laisser emporter par une relaxation ou une respiration guidée.

En ce faisant, vous entrez alors dans un état proche du sommeil, mais pas tout à fait. Le NSDR a le pouvoir de ralentir les ondes cérébrales et à nous projeter dans la troisième phase du cycle du sommeil. C’est la phase nommée “sommeil lent” qui est en réalité la plus réparatrice pour le corps. Les sessions peuvent durer entre 10 minutes et une heure. Le neuroscientifique fait d’ailleurs lui-même certains guides vocaux sur YouTube, accessibles gratuitement.

Quels sont les avantages et limites du NSDR ?

Les bienfaits sont multiples. En 10 à 20 minutes, le médecin vous promet une sensation de repos intense, et donc un regain d’énergie comme après une sieste réparatrice ou une bonne nuit de sommeil. Mais ce n’est pas tout, le NSDR devrait également booster votre concentration. Au vu du peu de temps demandé et de son terrain d’action, c’est une technique qui pourrait plaire à tous les travailleurs dans les bureaux. Tout le monde n’a pas des locaux équipés de salles de siestes, mais un environnement calme et sombre devrait faire l’affaire.

Il faut tout de même faire attention à ne pas être dérangé. Veillez donc à couper vos notifications, à fermer la porte à clé ou à vous isoler. Enfin, il faut garder à l’esprit que le NSDR ne se substitue pas au sommeil sur le long terme. Si vous avez des difficultés à dormir, n’hésitez pas à consulter un professionnel de santé pour éviter les complications.

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1 commentaire
  1. C’est complètement faux ! C’est moi qui ai inventé cette façon de se reposer, depuis plus de 40 ans que je la pratique…

Les commentaires sont fermés.

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