Aujourd’hui c’est la sortie officielle de Skull and Bones, le jeu de piraterie d’Ubisoft. Attendu depuis une dizaine d’années, le titre n’a finalement convaincu qu’une petite partie des joueurs. C’est sûrement parce que les autres n’avaient pas la bonne manette. À l’occasion de cette sortie, Ubisoft et la marque Biborg dévoilent le concept d’une manette en forme de gouvernail de bateau pirate. Celle-ci se dévoile en vidéo pour notre plus grand plaisir.
S’appuyant sur leur passion commune pour les jeux vidéo, les équipes de deux entreprises ont développé “The Ship’s Wheel Controller” en pensant aux fans de l’univers pirate. Dotée de fonctionnalités avancées telles que le retour haptique, des commandes gâchette inédites et même la possibilité de lancer des chants de marins grâce à une touche dédiée, cette manette repousse les limites de l’immersion vidéoludique.
Concrètement, les boutons se placent sur les poignées du gouvernail, et celui-ci tourne pour donner la direction à votre bateau dans le jeu. Visuellement, la manette est bluffante de réalisme, si bien qu’on se dit qu’elle est trop belle pour être vraie. C’est le cas. Malgré l’enthousiasme généré par cette annonce, la manette en question n’existe pas encore.
La campagne de lancement orchestrée par Biborg vise à susciter l’intérêt et l’engagement des joueurs autour de cette nouvelle façon de jouer à Skull and Bones. Elle nous donne un aperçu alléchant de ce que pourrait être l’avenir du gaming. Bien que la manette en forme de gouvernail de bateau ne soit encore qu’un concept, elle soulève des questions excitantes sur le potentiel des accessoires de jeu pour repousser les frontières de l’immersion. La marque suggère même : “Si la campagne génère de nombreux commentaires et suscite un engouement chez la communauté Ubisoft, qui sait ce qu’il pourrait se passer ?”
Les critiques se multiplient pour Skull and Bones
Malheureusement, les choses sont mal parties. Skull and Bones ne sort officiellement qu’aujourd’hui, mais reçoit des critiques du monde entier depuis une semaine. D’abord disponible en open bêta pour tous les joueurs, cela fait quelques jours que ceux qui ont commandé l’édition Deluxe y ont complètement accès en avance. Les remarques fusent sur les réseaux.
Beaucoup reprochent au jeu d’être en retard de plusieurs années sur la proposition de gameplay, mais aussi sur son visuel. Le tout est vendu à 80€, un prix qui a été dénoncé par les joueurs plus d’une fois, et ce malgré les justifications d’Yves Guillemot. Pas plus tard que ce 14 février, un utilisateur a remarqué que tout le doublage des personnages n’avait pas été finalisé, en plus d’avoir constaté des bugs et de subir l’absence d’abordage. Pour un jeu de piraterie, c’est un comble. Skull and Bones ressortira-t-il vaillant de cette aventure longue de 10 ans ?
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Donc ça fait une pub pour quelque chose de mauvais…
Encore une fois l’objectivité chez cette auteure est à la trappe. Et c’est bien dommage…
Vos articles sont de pire en pire, même niveau que jeuxvideo.com. Vous devriez avoir honte