En 1905, Albert Einstein publie sa théorie de la relativité générale. Cette dernière permet de comprendre le fonctionnement de l’extrêmement grand. Elle s’opposera à la mécanique quantique, découverte dans les années 20, qui permet de définir les interactions subatomiques. Durant les dernières années de sa vie, Einstein tentera de trouver une “théorie du tout” unifiant ces deux mondes derrière une même équation.
Ni lui, ni personne n’a aujourd’hui réussi un tel exploit. Mais une nouvelle étude, menée par des chercheurs de l’université royale de Londres, propose une nouvelle approche. Les scientifiques ont en effet imaginé un modèle dans lequel les lois d’Einstein respectent la mécanique quantique et inversement. Cette “théorie du tout” a le grand avantage de préserver la vision classique de l’espace-temps comme Einstein l’a théorisé il y a plus d’un siècle.
La “théorie postquantique de la gravité classique”
Les scientifiques ont utilisé une approche singulière pour amener leur théorie du tout. Au lieu de déformer les équations d’Einstein et de conserver les règles de la mécanique quantique (comme c’est le cas dans la théorie des cordes par exemple), les chercheurs ont conservé la vision de l’immensément grand d’Einstein.
Ils ont plutôt ajusté les idées de la mécanique quantique en permettant aux particules d’interagir avec un espace-temps non quantique. Un petit changement, ô combien technique, mais qui a de lourdes répercussions. En permettant ces interactions, les scientifiques estiment que l’espace-temps pourrait être victime de “fluctuations aléatoires”. Une idée permise par la mécanique quantique actuelle, mais minimisée.
Comment prouver une théorie ?
Les scientifiques anglais veulent que leur théorie soit prise au sérieux par la communauté scientifique et pour ce faire, ils ont mis au point une expérience permettant de prouver l’existence de “fluctuations fortes” de l’espace-temps. En mesurant avec précision la masse d’un objet (comme une galaxie) sur une longue période, il serait alors possible d’observer des fluctuations. En fonction de leur intensité, la théorie anglaise pourrait gagner en crédibilité.
Cette théorie n’est pour l’heure qu’une idée de plus, basée sur de simples “intuitions” et des “preuves indirectes”. Elle dispose donc d’un crédit assez léger dans la communauté scientifique qui a vu, au fil des décennies, de nombreuses théories du tout apparaitre puis disparaitre. Chaque nouvelle génération de scientifique arrive avec sa solution, jusqu’à présent sans succès.
En prenant les équations de la gravitation d’Einstein comme base, cette théorie du tout anglaise propose néanmoins un nouveau point de vue dans la recherche d’une vérité unique. Les scientifiques se sont acharnées ces dernières années à retravailler les équations d’Einstein. Toutes ces expériences cherchant des erreurs ou des manquements dans les travaux du plus célèbre des physiciens n’ont permis que de rappeler le génie qu’il était.
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“En 1905, Albert Einstein publie sa théorie de la relativité générale.”
Nope, c’est la relativité restreinte qui est publiée en 1905. La relativité générale ne sera publiée quand 1915.
Non mais entre les fautes d’orthograffffe, les erreurs historiques et l’utilisation de mauvais mots (“se sont face”) …
Faites un peu gaffe les gars, relisez-vous ! Deux articles que je lis et les deux avec des fautes …