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Harry Potter en série : où en est le projet face à la grève ?

Le retour du petit sorcier à lunettes s’annonce ambitieux, mais les moldus vont devoir prendre leur mal en patience.

Le monde magique d’Harry Potter n’est pas près de s’essouffler. C’est une belle machine que la Warner semble prête à recycler encore et encore, tant qu’il restera un peu de puissance magique à puiser dans ces baguettes en plume de phénix. Tandis que l’univers poursuit son bout de chemin vidéoludique avec Hogwarts Legacy et le futur free-to-play Quidditch Champions, la saga compte également s’inviter à la télévision. En avril dernier, la plateforme Max (anciennement HBO Max) dévoilait son nouveau projet fou : celui de relancer Harry Potter en une série pour de nombreuses années à venir.

22 ans après l’École des Sorciers, Warner Bros espère offrir une saison par roman afin de faire honneur aux événements que les films ont éclipsés. Il semblerait bien que le géant du divertissement soit inquiet du projet Percy Jackson de Disney et souhaite en faire de même avec sa propre saga littéraire. Suivant cette annonce, Deadline révélait que la série pourrait faire surface en 2025 pour une diffusion jusqu’en 2035. Mais tandis que les grèves des acteurs et scénaristes en quête de meilleures conditions de travail continuent de paralyser Hollywood, les fans commencent à se demander si le retour d’Harry Potter n’en sera pas impacté.

Un projet au point mort, mais qui ne perd pas ses ambitions

Interviewé par le Total Film Magazine, le producteur légendaire de la franchise David Heyman s’est ouvert concernant le développement du reboot. Les aficionados risquent d’être déçus : la série n’a pas bougé d’un poil. “Nous n’en sommes qu’au début. Nous n’avons pas encore embauché de scénariste ou même commencé à écrire. C’est un peu peu tôt” déclare-t-il. Depuis les différentes déclarations de l’autrice J.K. Rowling accusée de transphobie, on ne peut pas dire que le nom Harry Potter ait la meilleure des réputations. Pourtant, la réalité de l’industrie fait que l’on imagine difficilement quelqu’un refuser un tel poste. Leurs recherches pour l’équipe créative parfaite n’a donc sûrement pas commencé.

J’espère que nous ferons quelque chose de vraiment spécial, qui nous donnera l’opportunité de voir les livres et de profiter d’une série qui les explore un peu plus en profondeur” a également ajouté Heyman. Pour l’heure, le producteur est avant tout sollicité pour le long-métrage Wonka, qui invitera les spectateurs à découvrir Timothé Chalamet dans la peau du fameux chocolatier farfelu. Ce préquel à l’histoire imaginée par Roald Dahl fera son entrée en salles le 13 décembre prochain (si celui-ci ne subit pas les conséquences de la grève à son tour).

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2 commentaires
  1. JK Rollins à parfaitement raison il n’y a que 2 genres dans la nature tout le reste n’est que Trans… gression.
    Dumbledore étant homo, reste plus qu’à trouver, reste plus que Weasley passe de roux à black , comme la petite sirène de disney, qu’Herminone ne soit en fait qu’un trans, que Harry devienne latino, comme Luffy de One piece, et que Rogue soit un supremasciste blanc qui à voter pour Trump…

  2. je vous signale que c’est le mangaka qui a dit à netflix que luffy ressemble à un latino. Le manga est en noir et blanc pas évident de voir si c’est latino ou pas hein. Remarque, un enfant qui grandit sur une île style caraïbes, pas étonnant qu ‘il soit un peu bronzé vous ne pensez pas ?
    Si vous êtes si pointilleux vous trouvez que tout le monde a des yeux très ronds très manga ?
    Franchement One piece de Netflix est très belle réussite.

    Ps : je suis sûr que vous serez gêné qu’on vous dise que Jesus ressemblait en réalité à un arabe avec des cheveux crépus et non pas à un mec blanc aux cheveux longs occidentaux. Et personne a crié au wokisme sur ce cas-là…

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