Bonne nouvelle pour les abonnés à Paramount+ ! Le service de SVOD disponible en France depuis décembre dernier s’offre enfin une sélection de programmes pour les aficionados de japanimation. Mieux encore, la plateforme va même réserver un documentaire exclusif à l’une des œuvres les plus cultes des années 80. Dès le 15 août prochain, la plateforme s’enrichira de cinq séries emblématiques pour les enfants des années 80 et 90. Il sera alors possible de retrouver Goldorak, Capitaine Flam, Albator, Dragon Quest : La Quête de Dai (la version de diffusée chez nous en 1994) ainsi que les 143 premiers épisodes de One Piece en version remastérisée.
Parmi cette sélection, c’est Goldorak qui sera mis à l’honneur dans un documentaire inédit intitulé GOLDORAK GO ! pour le plus grand plaisir des fans du Prince Actarus. Il est temps pour cette œuvre majeure en France d’avoir droit à son moment de gloire, 45 ans après sa première diffusion dans Récré A2 en 1978.
Le robot a la cote
Cette production exclusive compte mettre les petits plats dans les grands pour rendre hommage à ce monument de la pop culture. L’anime de Toei Animation a une importance toute particulière sur le territoire français. Si celui que l’on appelle UFO Robo Grendizer dans sa langue d’origine n’est pas aussi connu à l’international, son impact sur le divertissement dans l’Hexagone est considérable.
Son arrivée sur Antenne 2 a véritablement révolutionné la programmation jeunesse jusqu’à populariser l’animation japonaise sur tout le territoire. Pour rappel, la France est aujourd’hui le second marché mondial du manga après le Japon : ce n’est pas rien. À l’aide de témoignages d’experts et de personnalités, le reportage plongera au cœur de la success-story de cet anime afin de mieux comprendre son importance dans le cœur des Français. Qu’est-ce qui a pu faire de ce robot géant une véritable icône chez nous ? Rendez-vous le 15 août prochain pour en découvrir tous les secrets.
En plus de ce projet surprise, Goldorak aura prochainement droit à un jeu vidéo surprenant par le studio français Microids. Celui-ci sera ensuite accompagné par un nouveau anime reboot, financé en partie par l’Arabie Saoudite. Ce sont eux qui, après la France, sont les plus friands de cette production des années 80 qui a eu le même effet de popularisation du genre.
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