La rentrée va être musclée au cinéma. Près d’une décennie après leur dernière mission, les Expendables reprennent du service. Après le premier opus réalisé par Stallone, la saga continue son parcours sur nos écrans. Cette fois-ci, Scott Waugh est à la réalisation, c’est à lui que l’on doit l’adaptation de Need for Speed avec Aaron Paul. Il ne fait pas les choses à moitié pour ce quatrième opus. Toujours menée par Stallone, la troupe de mercenaires semble bien décidée à en découdre. La première bande-annonce déploie d’ailleurs une énergie folle pour convaincre les amateurs de récits d’action. L’estampille n’a visiblement rien perdu de son entrain. Navire qui se retourne, scène de combat dans l’intimité du domicile conjugal et répliques badass à gogo, pas de doute, on est bien chez les Expendables.
Sur un titre des Red Hot Chili Peppers, c’est un florilège de scènes de combat et d’explosions qui se dégage. Tout ce beau monde prend visiblement un malin plaisir à jouer les gros bras. L’équipe a une mission capitale sur les épaules. Ils doivent empêcher le début d’une troisième guerre mondiale en dérobant une arme nucléaire. Rien que ça. S’il doit se passer de certains de ses comparses emblématiques, comme Hale Caesar (Terry Crews) pour ne citer que lui, Barney Ross peut compter sur de nombreuses nouvelles recrues. Parmi elles, 50 Cent fait ses premiers pas dans la saga Expendables aux côtés d’Iko Uwais (The Raid).
Jason Statham – qui n’est jamais loin quand il s’agit de baston – va gagner en importance au sein du lore. Ce quatrième volet évoluera d’ailleurs principalement autour de son parcours. La séquence d’ouverture de la bande-annonce s’évertue d’ailleurs à le mettre sous le feu des projecteurs. Il sera moteur de l’action, même si l’aspect collégial d’une telle réunion devrait être conservé.
Une saga qui décoiffe
Ce nouveau volet a moins des allures de réunions de stars des années 80-90 que ces prédécesseurs. The Expendables peut se targuer d’avoir au fil de sa carrière recruté des acteurs parmi les plus légendaires du genre. Bruce Willis, Jet Li, Chuck Norris Arnold Schwarzenegger ou encore Jean-Claude Van Damme, la licence fleure bon la nostalgie. Sa réception critique a néanmoins été plutôt mitigée jusqu’ici.
Sur Rotten Tomatoes, le premier opus n’affiche que 42% de critiques positives chez la presse contre 64% pour le public. Sa suite fera un peu mieux avec respectivement 67% et 62%. Le troisième volet n’a en revanche pas convaincu malgré sa promesse d’un divertissement de grande envergure. Lionsgate espère sans doute que cette nouvelle apparition de la fine équipe redorera son blason.
Les studios viennent de réaliser une très belle opération avec le quatrième volet des aventures de John Wick et ambitionnent sûrement déjà d’égaler un tel exploit. Pour le découvrir, il faudra patienter jusqu’au 11 octobre prochain. C’est dans les salles obscures que The Expendables 4 donne rendez-vous à son public.
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Au début vous écrivez : “semble bien décider {qui?} à en découdre”…
Vous avez oublié de dire qui la troupe veut essayer de décider. Ah moins que ce soit ‘décidée’ le participe passé qui a une autre signification ?
Je sais que beaucoup maintenant ne se soucient plus des é ou er et je suppose que ça permet à chacun de comprendre ce qu’il préfère.
Mais pour ceux qui essayent de trouver le sens des phrases à partir des mots qu’ils lisent, ce n’est pas toujours facile.
Demand(er/ez/é) à un anglais comment il faut prononc(er/ez/é) :
– les poules du couvent couvent…
Mais peut-être que l’écriture approximative serait l’amie de ceux qui essayent d’apprendre à parler français :
– lé poulent du couvan couves ?
Sans compter le nom propre écorché de l’acteur en photo écrit une première fois « Stalonne » avant d’être finalement écrit correctement quelques lignes plus loin : Stallone