Comme les NFT, le métavers s’est imposé comme la tendance de 2022. Propulsé par Mark Zuckerberg le patron de Meta, le monde virtuel présenté comme l’avenir d’Internet nous promettait un web décentralisé, encore plus immersif et totalement ouvert.
Aujourd’hui, les métavers existent mais ils sont encore très loin des mondes virtuels qu’on imaginait. Certaines initiatives sortent du lot, comme le premier sexshop virtuel ouvert il y a quelques jours sur la plateforme Decentraland, ou encore cette rentrée des classes virtuelles organisée par un groupe scolaire japonais pour réunir les élèves malgré la pandémie de covid-19. Malgré quelques actions isolées, il faut pourtant bien se rendre à l’évidence : le grand public ne s’y intéresse pas.
Selon une récente étude publiée par le cabinet Censuswide et relayée par nos confrères de BFMTV, le grand public a non seulement du mal à comprendre les enjeux du métavers, mais en plus, il s’en moque. Une avancée technologique qui peine à trouver son public, pour la simple et bonne raison que le monde virtuel promis par les géants du web est encore (très) loin de la réalité technique. La VR n’a pas encore investi nos habitudes, et certaines plateformes ressemblent davantage à un MMORPG des années 2020 qu’à un véritable univers parallèle.
Plus compliquées encore, les dérives éthiques et technologiques soulevées par l’émergence du métavers inquiètent. Les premiers viols et agressions sexuelles dans les mondes virtuels interrogent, mais c’est toute la question de la vie privée et des données personnelles qui posent question.
Il est peut-être encore trop tôt pour saisir les enjeux et les possibilités offertes par le métavers. Selon l’étude, les raisons de ce désamour pour les mondes virtuels viendraient principalement d’un décalage entre les attendre du public et les possibilités techniques (pour le moment limitées) offertes par cette technologie. Pour autant, les promesses sont nombreuses, et les investissements ne cessent de grimper : d’ici 2024, on estime que le marché aura dépassé les 800 milliards de dollars de chiffre d’affaires.
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Ben déjà il faut un casque potable 500 a 600 € pour la super entrée de gamme, une machine qui arrive à gérer ça 1500€ Mini
Ça fait cher le Like et les kikoolol
Et la clientèle visée souvent n a qu un phone ou une tablette
Bref Zuzu tu l’as dans le Metaver solitaire
Porter un casque à 500€ pour aller sur internet et faire mumuse avec un avatar, possédé virtuellement des biens franchement inutile à la valeur volatile ? Déjà que la VR sur console n’intéresse pas grand monde.
Avec le Gasoil à plus de 2€, j’ai autre chose a faire vraiment.
@Zineke : tu es parti dans la config de poney là et pas du tout dans l’entrée de gamme ! Si on prends un HTC Vive et la carte graphique nécessaire pour le faire tourner (ex : RTX 3070) : oui ça coûte encore un bras.
Mais il y aussi le très bon Meta Quest 2 en ce moment à 350€ (bientôt 450€ en Août, merci l’inflation) pour démarrer dans la VR.
Pour l’avoir testé, il a des performances très honorables , et fonctionne en solo sans PC.
Petit inconvénient : il faut un compte facebook pour le faire tourner , mais il suffit de créer un compte bidon spécialement pour lui si on a pas envie que Zuckerberg regarde ce qu’on fait avec.
Je suis le premier joueur VR sous contrat de l’histoire, ce monde je le connais et je vais vous expliquer les 4 principales raisons:
1/ La priorité c’est l’écologie.
2/ Le coût élevé de cette tech, même d’occasion.
3/ Le manque d’immersion hors salles free roaming.
4/ La faible relation avec le NFT et le réel.
Votre article comme beaucoup d’autre ne font que marquer votre ignorance sur les mondes virtuel, vous copier des artucles d’autre qui sont tout aussi incompler ! Les mondes virtuel existe depuis plus de 20 ans deja, des sexshop ,des viols est toute autre choses ont deja eu lieu depuis des lustres dans les mondes virtuel rien que pour citer second life qui existe depuis 2007, juste que vous vous etes pas interesser a la question…Est toujours parler de sexe dans les mondes virtuel quand la culture par exemple si developpe largement plus rapidement et avec beaucoup d’interrer demontre bien votre ignorance sur la question, c’est mondes sont passionnant pour le peu que l’ont y passe un minimum de temps pour comprendre les tenants et les aboutissants. Quand au sujet “du viol” franchement, trois pixel qui ce frote…faut pas deconner, une journaliste qui voulez faire une UNE oui…Allez contunier comme sa…je sent qu’ont s’enffonce….
Outre le pc qui peut s’avérer onéreux, je pense réellement que le public n’en n’a rien à faire, et si M. Zuckerberg semble penser que c’est le futur, la vérité est ailleurs apparement..
Je n ai vu personne ici ou dans l article ou encore ailleurs qui explique quel pourrait être l’intérêt de ces metavers.
Mais vraiment pas.
Évidemment, s il faut un casque pour y avoir accès, casque qui ne permet pas des interactions rapides en plus, je ne vois pas l intérêt.
Comme Second life a l époque, ça ne sert que de curiosité. Donc commercialement sans intérêt…
@Wolf aucun intérêt ton commentaire surtout si tu ne sais pas de quoi tu parles.
Second Life fut un excellent buisness commercialement parlant. Un collègue vivait grace a ces revenus sur SL. (Comme beaucoup de gens)
La VR n’est pas nécessaire dans un métavers. Actuellement, la plupart des métavers sont en cours de développement, je n’en connais pas de terminé à ce jour.
C’est sur que le Web3.0 fait gueuler pas mal d’écolo (les gilets jaunes du Web3.0). Ne serait-ce que se renseigner sur les possibilités offertent par le web3 ne vous fera pas de mal.
@Web2-Inculte
Je te retourne la remarque.
Donne des exemples, des chiffres pour étayer tes propos !
“Second Life fut un excellent buisness commercialement parlant”
Oui mais non, ça dépend par rapport à quoi tu le compars.
Pour moi 200’000 utilisateur avec un max de 80’000 utilisteurs connecté, ça reste un marché de niche.
Peut-être riche mais de niche quand même.
Avec la hype de l’époque c’était peut-être intéressant durant quelques mois…
Effectivement, la VR n’est pas une obligation pour le metavers.
Celui-ci permettra un interpolation entre plusieurs applications (vous achetez un skins dans un jeu [sous forme de NFT par exemple], et celui-ci pourra être utilisé dans un autre jeu ou une autre plateforme [réseau social ou autre]).
Le web 3.0 promet aussi une décentralisation totale du réseau…
Je rappel que les réseau P2P, la plupart des darknet ainsi que d’autre technologie existent déjà depuis des années et sont sensée être décentralisée. Malheureusement, c’est pas vraiment le cas, il y a toujours des serveurs centraux pour le “bootstrap” et donc une infrastructure client/serveur. C’est un vrai défi technologique.
Concernant le côté blockchain, les crypto monnaie sont désastreuse au niveau énergétique car le “proof of work” qui permet aux mineurs de valider les transaction et ainsi gagner un peu de monnaie, est par design inefficient, c’est volontaire (d’où le besoin d’un grosse quantité de calcul).
Pour un web3.0 on peut faire une blochain plus efficace, qui permet de résoudre le problème de consommation de calcul.
Cependant, le stockage risque de poser problème, étant donné que chacun doit avoir une copie de celle-ci.
Je rappel que la blockchain du bitcoin fait déjà 424Gb, si ont doit utiliser plusieurs blochain pour différents services, il va falloir quelques terra-octet de donnée de stockage pour pouvoir juste profiter du web3.0 car chaque actions faites par chaque utilisateur augmente la taille de celle-ci. Alors pour un internet qui comptabilise des milliards d’utilisateurs… hum hum
Pour le moment le web 3.0 c’est un vrai bordel, personne à l’heure actuelle peut se venter de dire qu’il sait exactement à quoi cela va ressembler. Il a encore beaucoup de choses à définir, concevoir, etc…
Pour le moment c’est plus une hype marketing qu’une réel révolution (au mieux une évolution).
Mais on verra bien , peut-être que l’avenir nous surprendra… wait and see