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Demon Slayer c’est fini : 3 bonnes raisons de dévorer la série culte

Demon Slayer a tiré sa révérence au début du mois, avec 23 tomes et des millions d’exemplaires vendus à travers le monde.

Certaines fins arrivent plus vite que d’autres. Sans vraiment qu’on s’y attende, la saga Demon Slayer a tiré sa révérence ce 6 juillet en France, à l’occasion de la sortie du 23e tome relié. 23 tomes, c’est peu, surtout pour une série de l’ampleur de celle que la mangaka Koyoharu Gotōg imaginait depuis 2016.

Beaucoup imaginaient déjà une longévité digne de One Piece, dont le tome 101 est sorti en mai dernier (pour une saga toujours en cours de production), ou plus modestement de Naruto, terminé en 72 tomes. Il faudra finalement se contenter de 23 tomes, ce qui n’enlève rien à la qualité de la série, bien au contraire. Pour celles et ceux qui n’auraient pas encore franchi le cap, voici trois bonnes raisons de découvrir Demon Slayer.

Un shonen, mais différent

Derrière ses airs de shonen classique, Demon Slayer questionne de nombreuses autres facette du genre manga. L’univers de Koyoharu Gotōg est riche, les personnages attachants, et la relation fraternelle entre Tanjirô et Nezuko a rarement été aussi bien retranscrite que dans la saga démoniaque. Bien loin de l’ambiguïté amoureuse que l’on retrouve généralement entre les deux personnages principaux (pour peu qu’ils ne soient pas du même sexe), cette absence d’idylle rend leur épopée encore plus dramatique.

Un manga parfait pour découvrir le genre

Si vous n’avez jamais lu de mangas, c’est le moment de vous y mettre. Avec Demon Slayer, pas de mauvaise surprise : en plus de s’imposer comme l’un des plus gros succès mondiaux de ces dernières années, la saga est aussi très facile d’accès. D’autant plus que maintenant que les aventures de Tanjirô sont terminées, l’intégrale de la série est accessible facilement chez l’éditeur Panini.

Découvrir Demon Slayer tome 23

Son adaptation animée incroyable

Si le manga papier est déjà une réussite, le succès de Demon Slayer doit aussi beaucoup à son excellente adaptation animée. Le studio Ufotable a su retranscrire à merveille les créations de l’autrice, et les scènes de combat autant que les moments intimistes sont chorégraphiés d’une main de maître. La musique n’est d’ailleurs pas en reste, on vous conseille d’ajouter la bande originale à votre playlist de l’été, en attendant la sortie de la saison 3 prévue pour l’année prochaine.

La saison 1 est accessible sur Amazon Prime Video et Netflix.

Découvrir Demon Slayer sur Prime Video

La plateforme Crunchyroll bénéficie d’une partie de la saison 2, tandis que certains catalogues de Netlifx (Japon, Inde, HK, Philippines) proposent l’intégralité de celle-ci. Seul un VPN vous permettra d’y accéder depuis la France.

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2 commentaires
  1. “Un shonen, mais différent” c’est tout le contraire, c’est un shonen très classique, pas original pour un sou.
    Je comprends que l’on puisse aimer quand on a vu peu d’anime/lu de manga, il coche de nombreuses “cases à succès”, mais quand on en a vu plein Demon Slayer paraît très fade et sans aucune originalité.

  2. Bon Fade et sans originalité c’est quand même exagéré, même si sur le fond tu as raison. Pour le reste l’évolution des personnages et bien construite mais comme d’habitude le personnage principal a power up sur power up. Je regrette un peu la vitesse d’enchaînement des power up au détriment de gros flashback (ils sont très léger) sur les adversaires ou alliés pour ficeler l’histoire.

Les commentaires sont fermés.

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