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Attention rappel massif de vélos : comment savoir si le vôtre est concerné ?

Plusieurs vélos vendus par les enseignes Carrefour, Système U et Intersport sont concernés par une vaste campagne de rappel. Comment savoir si le vôtre présente aussi un défaut de freins ?

Ce week-end, avec l’arrivée des beaux jours, de nombreux Français ont profité de l’occasion pour ressortir leurs vélos. Si vous venez d’acquérir un engin avec assistance électrique, la vigilance s’impose néanmoins. En effet, sur Twitter, l’organisation gouvernementale Alerte Conso tire la sonnette sur des problèmes de freins concernant les vélos équipés de la marque Radius.

Le constructeur équipe de nombreuses marques comme Scrapper, Vario, Nakamura ou encore TVT et WoodSun. Ce lundi 9 mai, de nombreux vélos font ainsi l’objet d’une campagne de rappel. Selon l’organisation, les risques encourus ne sont pas moindres. Sur le site de Rappel Conso, il est mentionné que les utilisateurs pourraient avoir des blessures externes. Il est donc conseillé de ne plus utiliser le produit, et de contacter le point de vente pour le rapporter.

Comment savoir si votre vélo est concerné ?

Si vous avez votre bécane depuis plus de deux ans, rassurez-vous, vous n’êtes pas en théorie concernés. Les véhicules vendus entre le 1er février 2021 et le 28 avril 2022 présentent en revanche des risques.

Pour vous assurer que vous pouvez enfiler les kilomètres à bord de votre fidèle destrier,  il suffit de vous rendre sur le site rappel.conso.gouv.fr à la rubrique “automobiles et moyens de déplacement’‘. Ensuite,chercher la marque de votre vélo et regarder les noms de modèles et références. En cas de doute, vous pouvez également contacter votre vendeur pour plus d’informations.

Plusieurs vendeurs français sont concernés, pour les vélos avec assistance électrique de la marque TVT par exemple, les enseignes Cora, Système, Centre Auto et Brico/Intermarché, Leclerc et SPL ont vendu le modèle concerné. Pour les vélos SUNN, c’est chez Intersport et des vendeurs indépendants de cycles que les modèles concernés ont été commercialisés.

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3 commentaires
  1. Ne vaudrait-il mieux pas équiper un vélo ancien de bonne marque robuste et durable avec un moteur électrique additionnel ? Soit au moyeu du pédalier même si trop grande répartition des masses sur la médiane du vélo + nécessité de mettre le nez dans le pédalier et modifier le cas échéant les plateaux. Soit sur la roue avant l’idéal en termes de stabilité et de répartition des masses même si perte de maniabilité patente, en revanche pas de modif de la transmission dans ce cas de figure. Il existe même des kit hermétiques et étanches en demi-flasque attenant à la jante incluant à l’intérieur le moteur, le contrôleur de tension et même la batterie. Par exemple y a le système Teebike qui coûte la bagatelle de 800 balles et présentant des inconvénients qui fourmillent : +8kg et encore y a pire, tout passe par votre smartphone car pas de commande dédié, non pourvu d’un capteur de pédalage, bruit pas tjrs bien optimisé niveaux décibels, support pour l’infotainement externe et la lecture des paramètres pas du tout pratique.
    Un vélo de bonne facture équipé d’un moteur elec intégré ça coûte aux alentours de 2000€, ça peut monter bien plus sur le haut de gamme, et en effet dans l’article, les chaînes d’hypermarchés s’y mettent en vendant des poids morts, des sous-marques de 600€ à 1000€ environ, munis d’équipements de base de très mauvaise qualité : cadre, pédalier-pédales, roues pneus/jantes, potence, cintre, selle, freinage, câblerie-tringlerie, mais t’as une transmission Shimano c’est déjà ça LOL.
    Ça reste cher et il faut faire des choix dans ses démarches et ses investissements, en même temps, qu’est-ce qui n’augmente pas en ces temps difficiles de tromperie généralisée, de flou artistique, de disette et de vaches maigres.

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