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Cet anti-moustique intelligent fonctionne avec Amazon Alexa et Google Assistant

Adieu les piqûres de moustiques en été. Une start-up a inventé un système de répulsif contrôlable à la voix grâce aux assistants Google et Amazon.

En été, ou plus généralement dans les zones humides, les moustiques deviennent rapidement le fléau de vos soirées en plein air. Pour y échapper, il est toujours possible de miser sur des bougies à la citronnelle, des manches longues, ou des insecticides. De son côté, la start-up américaine Thermacell mise plutôt sur un système antimoustique capable de créer une zone de protection autour de vous, à la manière d’une moustiquaire invisible pour éloigner les insectes.

antimoustique liv smart application
© Liv smart

Liv Smart, un répulsif intelligent

Présent sur le marché depuis près de vingt ans, Thermacell a lancé cette semaine son nouveau système de protection intelligent baptisé Liv-Smart. Selon la marque, il s’agit du premier antimoustique connecté destiné à un usage domestique. Jusqu’à présent, la firme s’était concentrée sur des dispositifs portables et à commande manuelle. Cette fois, elle passe un nouveau cap en intégrant à ses appareils une application smartphone et des commandes vocales pour les rendre compatibles avec Google Assistant et Amazon Alexa.

antimoustique liv smart
© Liv smart

Avec une offre à partir de 699 $ pour un kit de trois répulsifs capables de couvrir une surface d’environ 87 m², le système Liv-Smart se décline aussi en packs de quatre répulsifs (pour 120 m²) vendus 799$ et cinq (pour 150 m²) à 899$. Composé à 5,5% de métofluthrine, une molécule synthétique approuvée par l’EPA (Environmental Protection Agency), le système fonctionne en chauffant une cartouche de liquide répulsif, pour diffuser un nuage inodore et invisible.

L’effet n’est cependant pas permanent. Depuis votre smartphone, il est nécessaire de créer des plages horaires pour déclencher l’appareil, qui pourra être activé à distance via une connexion Wi-Fi. Une fois la connexion établie, il est ensuite possible de contrôler les appareils à la voix, à la manière de n’importe quel appareil connecté.

Si pour le moment, le dispositif ne permet d’éloigner que les espèces de moustiques les plus inoffensives, il pourrait par la suite être utilisé dans des régions moins accueillantes.

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9 commentaires
  1. Bon les gars cet été vous testez ça en Camargue et faites votre rapport en octobre .
    Un bon journaliste doit donner de sa personne 🙂

  2. Si le Journal du Geek donnait dans le gonzo, ça se saurait !
    Vous connaissez NordVPN ? Ils font une super promo IN-CROY-ABLE !

  3. Et pourquoi pas une rubrique “news pour milliardaires” ? Avec des pubs super-chéro ?
    Nous ici on aurait toujours une news pour 14 pubs vpn.

  4. Un simple diffuseur électrique branché sur une prise électrique connectée à l’enceinte vocale, fait le même job pour moins de 20€…

  5. “pour le moment, le dispositif ne permet d’éloigner que les espèces de moustiques les plus inoffensives”

    Ça n’éloigne que les moustiques qui ne piquent pas ?

    Sinon les autres ont raison : une prise connectée et un diffuseur ça marche aussi. Donc qu’apporte de plus ce système ?

  6. Ok pour critiquer mais on est sur le JDG non ? On est pas sur le journal du rafistoleur du dimanche en mettant sa cartouche sur une prise sur un réseau etx. Là c’est propre c’est adapté c’est design puis ça va a l’extérieur . Je viens pas défendre non plus le prix mais pour ceux qui ont les moyens…. Pourquoi pas

  7. La différence entre les diffuseurs à mettre sur les prises et le dispositif présenté ici, réside très probablement dans le type de molécule utilisé.
    Pour avoir utilisé des diffuseurs, ils sont la plupart du temps bourrés d’insecticides nocifs à la fois pour la santé et l’environnement. Comme la grande majorité de insecticides d’ailleurs de façon générale (notamment ceux en bombes aérosols).
    A priori, le produit présenté ici utiliserait une molécule validée par l’EPA qui reste une institution solide dans la défense de l’environnement.
    Certes, le produit est cher, parce qu’il vient de sortir. Les prix pourraient chuter en fonction de la demande. S’il est efficace et le devient sur des moustiques vecteurs du paludisme par exemple, il pourrait notamment intéresser des pays et susciter des achats en masse, ce qui aurait potentiellement un effet baissier sur les prix.
    A voir, si cela peut contribuer à ruiner les charniers que sont Monsanto et compagnie, ma foi, banco !

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