Développer un métavers, cela nécessite bien sûr des ingénieurs logiciels. Mais c’est loin d’être le seul secteur d’activité nécessaire pour faire tenir debout un univers virtuel parallèle ! Les opportunités offertes par les métavers en cours de construction sont nombreuses, pour les designers en premier lieu. Il en faudra pour imaginer les différents objets du quotidien.
Play-to-earn
Mais ce sont tous les types de designers qui pourront être mis à contribution, que ce soit dans la modélisation 3D ou le design d’intérieur. Les maisons virtuelles des parcelles vendues à prix d’or dans Decentraland ne vont pas se remplir toutes seules… Très logiquement, le métier d’architecte va également connaitre une forte demande, pour concevoir les bâtiments, les villes et les paysages des métavers.
Et cette fois, il n’y aura plus de problème bassement terre à terre à gérer, comme la gravité, la propriété des matériaux ou leur longévité. Les architectes auront les mains libres pour créer les bâtiments les plus fous ! Les développements actuels de la finance décentralisée devraient également sourire aux joueurs, qui pourront gagner de l’argent en jouant (« play-to-earn »). On peut imaginer des joueurs chargés d’élever des Pokémon pour d’autres. Et les NFT sont aussi un moyen potentiellement très intéressant de gagner sa vie en tant que joueur.
Les scénaristes et tous ceux qui taquinent la plume pourraient aussi trouver une place dans les métavers, qui se devront de proposer à leurs utilisateurs des histoires à vivre. Les professionnels du tourisme, fortement touchés par la pandémie, ont aussi une expertise à faire valoir dans les univers virtuels. Sans oublier les spécialistes de la mode et des tendances vestimentaires.
Et bien sûr, comment imaginer un monde virtuel sans community managers ? Ils pourront assez facilement passer des réseaux sociaux aux métavers, où leur rôle sera prépondérant pour façonner les cultures des différentes communautés.
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Après une après midi sur parcours sup
Article transféré à l’intéressé
Merci
Ça commence à se voir que Facebook vous rémunère pour distiller des « infos » (pub?) qui sont légèrement partiales,
Quand on connaît l’éthique meta, ça donne envie de se supprimer son abonnement jdg!