Une nouvelle étude de taille, menée sur plus de sept millions d’individus vient de rendre ses conclusions. La prise de médicaments sildénafil permet de réduire de près de 70 % les risques de développer une maladie comme Alzheimer. Un résultat qui peut surprendre, surtout quand on sait que les médicaments sildénafil n’ont pas grand-chose à voir avec notre cerveau, eux que nous connaissons dans la vie de tous les jours comme des petites pilules bleues, souvent associées à la marque : « viagra ».
Mais en plus des bienfaits que nous lui connaissons déjà, le viagra aurait bien d’autres capacités. Capables de traiter les troubles érectiles, mais aussi l’hypertension pulmonaire, ces petites pilules bleues sont en train de faire leurs preuves dans bien d’autres domaines. Elles seraient en effet un remède efficace contre le paludisme ou certaines formes de cancer. Dans cette nouvelle étude, d’une ampleur encore jamais vue, le docteur Cheng, chercheur au sein de la Cleveland Clinic, a réussi à isoler 13 molécules responsables du développement de la maladie. C’est par exemple le cas de la protéine « tau ». Cette dernière est bien moins présente chez les personnes soignées avec du viagra.
Des risques réduits, mais pas de preuves directes
Pour le moment, seules des expériences avec des cellules in vitro avaient permis d’obtenir de tels résultats. C’est donc la première fois que l’utilisation du viagra arrive sur une population. Après avoir fait des tests sur plus de 1600 médicaments candidats pour vaincre ces 13 modules de développement de la maladie, les chercheurs se sont tournés vers le viagra qui en plus d’avoir fait ses preuves au niveau des effets secondaires, et aussi un des médicaments les plus performants de la liste.
Selon les données transmises dans l’étude, le risque serait réduit de plus de 69 % pour les personnes prenant du viagra plutôt que les non-utilisateurs. Ce résultat serait encore plus prononcé chez les personnes souffrant d’un diabète « gras » de type 2, ou encore les personnes atteintes d’hypertension. L’étude précise néanmoins qu’il ne s’agit ici que d’un constat, une sorte d’avant après, et aucunement d’une démonstration de l’effet du viagra sur les personnes souffrant d’Alzheimer. Si le médicament produit un effet qui réduit les risques de développement de la maladie, ce qui est fort probable au vu de l’étude, ce dernier est encore inconnu du monde scientifique.
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Je sais que l’orthographe est devenu secondaire pour certaines personnes mais là… Rien que le début de l’article en gras.. Vous pourriez vous relire un minimum si vous voulez avoir un minimum de crédibilité !