Passer au contenu

Ce manoir virtuel se vend en NFT pour plus de 400 000€

La « Mars House » s’est vendue pour 616 132 dollars canadiens, soit un peu plus de 400 000 euros. Néanmoins, son nouveau propriétaire ne pourra pas y vivre : cette maison est 100% virtuelle.

Crédits : Krista Kim

On pouvait penser que l’effervescence autour des NFT n’allait être que passagère, mais l’engouement semble se poursuivre voire même s’intensifier. Après la vente du jeton cryptographique du premier tweet de l’histoire pour la modique somme de 2,9 millions de dollars, et cette histoire, un brin plus loufoque, de la vente du bras d’une joueuse de tennis en NFT, voilà que le phénomène gagne le monde de l’immobilier.

Dernièrement, une maison baptisée « Mars House », créée par l’artiste Krista Kim, s’est vendue pour la modique somme de 616 132 dollars canadiens. Cela peut sembler peu pour une bâtisse de ce type, disposant de nombreuses fenêtres offrant une vue imprenable sur les montagnes, d’une décoration chic et de grands espaces de vie. Mais la particularité de ce manoir, c’est qu’il n’existe pas, même s’il est décrit comme étant basé à Toronto, au Canada. Il s’agit d’une œuvre numérique, en l’occurrence, « la première maison numérique NFT au monde ».

Ce qui s’est vendu, c’est donc le NFT de cette maison virtuelle, soit son certificat d’authenticité numérique garantissant qu’il s’agit d’un bien unique au monde. Le nouveau propriétaire ne pourra donc pas y habiter, mais il lui sera possible de l’explorer en réalité virtuelle ou en réalité augmentée grâce à un fichier 3D. Pour l’acquérir, il aura déboursé près de 288 Ethereum, dont une unité valait 2138 dollars canadiens au moment de l’achat, soit plus de 400 000 euros au total. Ça fait tout de même un peu cher pour y organiser ses futurs apéros Zoom virtuels.

Acheter sur Amazon

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

Source : BlogTo

5 commentaires
  1. JdG ne font que profiter d’un épiphénomène qu’ils ne comprennent pas eux-même. C’est du clickbait pour augmenter leurs recettes publicitaires. Ils ne savent pas de quoi ils parlent.

  2. oui, je dois avouer que je ne comprends pas trop…. vu que c’est virtuel et unique, ce n’est pas exposable et vu que ce n’est pas non plus un placement à proprement parlé aussi parce que c’est du viturel. C’est vraiment juste pour en parler…..

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Mode